nola Posté(e) 16 juin 2014 Posté(e) 16 juin 2014 C'est bien pour ça que je suis défavorable à cette réforme tout en étant favorable aux 4 jours et demi. C'est ce que les collègues ne comprennent pas: tous ces délires ne sont pas des dérives, mais le cœur même de la réforme. Comment se fait-il que les deux syndicats majoritaires aient approuvé un tel décret et n'aient pas organisé, dès janvier 2013, une riposte nationale? On est face à un gouvernement qui prolonge la politique sarkozyste à tous les niveaux. On ne s'attend tout de même pas à ce qu'ils nous fassent des cadeaux, et encore moins avec Valls comme premier ministre, non? Qu'est-ce qu'on a à perdre?
Sarri Posté(e) 16 juin 2014 Posté(e) 16 juin 2014 Elle fait C'est bien pour ça que je suis défavorable à cette réforme tout en étant favorable aux 4 jours et demi. C'est ce que les collègues ne comprennent pas: tous ces délires ne sont pas des dérives, mais le cœur même de la réforme. Comment se fait-il que les deux syndicats majoritaires aient approuvé un tel décret et n'aient pas organisé, dès janvier 2013, une riposte nationale? On est face à un gouvernement qui prolonge la politique sarkozyste à tous les niveaux. On ne s'attend tout de même pas à ce qu'ils nous fassent des cadeaux, et encore moins avec Valls comme premier ministre, non? Qu'est-ce qu'on a à perdre? Elle ne la prolonge pas, elle l'applique et avec l'assentiment des syndicats majoritaires. Ceux qui suivent ça avec la tête hors de la mêlée et qui n'en subiront pas les conséquences directes doivent bien se marrer. Nous serons des fonctionnaires territoriaux avant le retour de la droite en 2017 et nos gros syndicats auront participé à ce chef d'oeuvre. Pendant ce temps-là, le privé fait le plein...
prof désécol Posté(e) 16 juin 2014 Posté(e) 16 juin 2014 A ce propos, lire ceci : http://69.emancipation.fr/spip.php?article156 Conseil Syndical du SNUipp 13, le 7 mai 2014 " [...] C’est pourquoi le SNUipp 13 s’adresse à la direction nationale du SNUipp pour lui demander : De se prononcer pour le retrait du décret Hamon, le retrait du projet de décret annualisant les PE remplaçants ou sur postes fractionnés. D’annoncer que le décret sur les rythmes scolaires n’est pas amendable, qu’il rompt de ce fait toute concertation visant à le mettre en œuvre avec le ministre Hamon (comités nationaux ou départementaux) et qu’il prend position pour l’abrogation pure et simple de ce décret. Une telle position de notre syndicat porterait un coup aux objectifs du gouvernement et de son ministre Hamon et ouvrirait la voie à la nécessaire mobilisation pour gagner. " Manifestement, le Snuipp national n'a pas pris en compte cette demande... C'est une demande d'une section. Les autres n'y sont pas forcément favorables. Autrement dit, le SNUIpp national se rangerait à l'avis des sections départementales qui : - ne se prononcent pas pour le retrait du décret Hamon - considèrent que le décret sur les rythmes est amendable - ne rompent pas les concertations visant à le mettre en œuvre avec le ministre Hamon. C'est très instructif. Et concrètement, dans ces conditions, quelles sont, pour reprendre tes mots, "les alternatives qui ne reposent pas sur le municipalisation, le principal danger de cette réforme" ? Le SNUipp se range du côté des sections majoritairement favorables à la suspension et la réécriture. Tu ne réponds pas à ma question. Concrètement, dans ces conditions, quelles sont, pour reprendre tes mots, "les alternatives qui ne reposent pas sur le municipalisation, le principal danger de cette réforme" ?
nola Posté(e) 16 juin 2014 Posté(e) 16 juin 2014 Le transfert de compétences vers les mairies étant le principal but de cette réforme, on peut dire qu'elle est réussie.
Frédo45 Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Elle fait C'est bien pour ça que je suis défavorable à cette réforme tout en étant favorable aux 4 jours et demi. C'est ce que les collègues ne comprennent pas: tous ces délires ne sont pas des dérives, mais le cœur même de la réforme. Comment se fait-il que les deux syndicats majoritaires aient approuvé un tel décret et n'aient pas organisé, dès janvier 2013, une riposte nationale? On est face à un gouvernement qui prolonge la politique sarkozyste à tous les niveaux. On ne s'attend tout de même pas à ce qu'ils nous fassent des cadeaux, et encore moins avec Valls comme premier ministre, non? Qu'est-ce qu'on a à perdre? Elle ne la prolonge pas, elle l'applique et avec l'assentiment des syndicats majoritaires. Ceux qui suivent ça avec la tête hors de la mêlée et qui n'en subiront pas les conséquences directes doivent bien se marrer. Nous serons des fonctionnaires territoriaux avant le retour de la droite en 2017 et nos gros syndicats auront participé à ce chef d'oeuvre. Pendant ce temps-là, le privé fait le plein... Pfff... Les syndicats à l'exception de la CFDT et l'UNSA ne cesse de critiquer la politique du gouvernement. C'est encore le cas en ce moment à la SNCF et pour les intermittents. Ca a été le cas toute l'année dans la fonction publique en général. Tu dis vraiment n'importe quoi... Mais par contre, on ne sait toujours pas pour qui tu roules et je crois qu'on ne le saura jamais...
Frédo45 Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Tu ne réponds pas à ma question. Concrètement, dans ces conditions, quelles sont, pour reprendre tes mots, "les alternatives qui ne reposent pas sur le municipalisation, le principal danger de cette réforme" ? Les alternatives : réécriture du décret en dissociant très clairement le rôle des municipalités et celui de l'éducation nationale. Les projets éducatifs locaux existent déjà depuis longtemps dans de nombreuses communes. Ils oeuvraient sans interagir avec l'école. Le gouvernement doit revenir sur l'idée de les imbriquer sans pour autant fermer la porte à la mise en place d'activités périscolaires, voire en les favorisant pour les élèves des milieux défavorisés qui n'ont pas forcément accès à la culture. Le mieux serait soit d'augmenter considérablement le nombre d'heures d'école et d'y intégrer ce périscolaire, soit de créer un service public national d'accès à la culture. Mais ces deux propositions ne recueilleront pas l'adhésion.
Lena Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Besoin d'un coup de main svp : Où est le texte qui impose 1h30 mini de pause le midi? Une copinaute a compris le projet suivant dans son RPI: - des pauses de 1h20 le midi - des journées de 6h05 (si si ) Qu'elle ait des billes
Zarko Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Le gouvernement doit revenir sur l'idée de les imbriquer sans pour autant fermer la porte à la mise en place d'activités périscolaires, voire en les favorisant pour les élèves des milieux défavorisés qui n'ont pas forcément accès à la culture. Le mieux serait soit d'augmenter considérablement le nombre d'heures d'école et d'y intégrer ce périscolaire, soit de créer un service public national d'accès à la culture. Mais ces deux propositions ne recueilleront pas l'adhésion. Mais de nombreuses mairies proposaient déjà des activ ités sportives ou culturelles gratuites ou pour un prix modique (école de musique, clubs sportifs). Je ne vois pas ce que vont apporter des activités de moindre qualité (rap ou fabrication du couscous, parce que ce sera justement ce qui sera parfois proposé dans les quartiers défavorisés) dans les locaux scolaires....C'est une erreur lamentable cette réforme !
Zarko Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Lavérune : nouveaux rythmes scolaires, constats et perspectives C'est une évidence, Lavérune est une commune privilégiée qui dispose et se donne les moyens pour mettre en application la nouvelle loi. Et pourtant, après de nombreuses réunions et une année de fonctionnement, l'application des nouveaux rythmes scolaires soulève bon nombre d'interrogations : « On peut dire que l'organisation est la moins pire possible... », dira un enseignant en conclusion. Dans les faits, on s'aperçoit que la volonté de réduire la journée scolaire au départ fort louable, se traduit au niveau de la semaine par un constat évident : le temps passé à l'école ou en collectivité est aussi long pour la grande majorité et avec les cours le mercredi matin : « les enfants sont au bout du rouleau dès le jeudi après-midi. » De plus, les activités proposées jusqu'alors par l'agglo comme la piscine ou la patinoire ou encore les sorties culturelles deviennent un véritable casse tête, au vu de la faible amplitude des après-midis.
Zarko Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Contrainte d’appliquer la réforme des rythmes scolaires en vigueur depuis septembre 2013la nouvelle majorité a fait le choix de placer les activités le vendredi après-midi. Vous savez très bien que je ne suis pas une partisane de cette réforme. Toutefois, sachez que la Ville s'étant engagée à la mettre en place en septembre dernier, nous ne pouvons plus revenir en arrière. Nous sommes contraints de poursuivre. Heureusement, nous avons pu procéder à certains aménagements qui nous tenaient à cœur et cela, pour le bien-être des enfants. » C'est en ces termes que Josette Pons a répondu à Laurent Lopez sur le dossier des rythmes scolaires, lors du dernier conseil. L'élu Front national s'étonnait que la majorité n'ait pas fait le choix d'abandonner « une réforme qui met en cause la gratuité de l'école publique. Vous vous étiez engagés à le faire et nous vous aurions suivie. Or, le projet que vous nous présentez est assez onéreux, surtout pour des familles qui sont souvent dans le besoin ». Pas de saupoudrage des activités Le principal changement sera l'emploi du temps des enfants scolarisés dans le primaire. Ainsi, le temps scolaire de 24 heures sera réparti de la façon suivante : les lundi, mardi et jeudi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30. Les mercredi et vendredi, les enfants iront en classe de 8 h 30 à 11 h 30. « L'objectif est de respecter les rythmes d'apprentissage et de repos de l'enfant. Mais surtout, nous n'avons pas voulu reproduire le schéma du saupoudrage des activités quotidiennes comme cela était le cas auparavant. Nous préférons que les activités soient de meilleure qualité et, surtout, mieux suivies. Donc, nous avons dégagé le vendredi après-midi à ces fins». Véronique Delfaux en charge de l'éducation au sein de la majorité, a son idée sur une réforme qui ne la satisfait pas totalement. Son grand regret est de n'avoir pas pu toucher au mercredi matin. « C'est bien ce moment de la semaine qui pose problème. Cette matinée travaillée ne permet pas aux enfants d'effectuer une pause hebdomadaire bien nécessaire. Nous aurions préféré la consacrer aux activités sportives, mais c'est impossible ». Appel aux bonnes volontés Quelles seront les activités pratiquées durant le temps périscolaire ? « Pour l'heure, nous avons proposé notre vision des choses aux conseils d'école et au directeur de l'inspection académique. Ensuite, nous allons travailler avec chaque directeur d'école. Ces activités pourraient très bien être le prolongement du nouveau projet scolaire qui débutera en septembre ; cela, pour une durée de trois ans. Enfin, nous allons nous entretenir avec les associations désireuses de s'impliquer dans une telle démarche. » Sur ce point, Véronique Delfaux entend s'appuyer sur les nouveaux horaires pour convaincre toutes les âmes de bonne volonté. « Auparavant, il était difficile à un bénévole d'une association de se détacher en milieu d'après-midi. Avec l'emploi du temps que nous proposons, en dégageant le vendredi après-midi, nous permettons à celles et ceux qui bénéficient de RTT de s'impliquer dans l'éducation des enfants de Brignoles. » Les horaires des accueils périscolaires sont les suivants : le matin, les enfants seront accueillis à partir de 7 h 30 et le soir, de 16 h 30 à 18 heures, ils resteront au sein de l'établissement. Voilà comment le PS ouvre la voie au FN...
Zarko Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Béthunois : la réforme des rythmes scolaires ne s’appliquera pas partout PUBLIÉ LE 16/06/2014 PAR ELSA LAMBERT-LIGIER À Fouquereuil et Vaudricourt, la réforme des rythmes scolaires ne sera pas appliquée à la rentrée. Les maires « rebelles » nous expliquent pourquoi. Dans d’autres communes, la réforme sera appliquée à moitié. À Béthune, Annezin ou Fouquières, l’école sera bien étalée sur quatre jours et demi mais les ateliers périscolaires ne verront pas le jour. À la place, de la garderie. À Fouquereuil, les enfants continueront à aller à l’école quatre jours par semaine. « Les parents ne sont pas intéressés par la réforme, les enseignants non plus, explique Gérard Ogiez qui avance aussi un argument financier. On perd 64000 € de dotation d’État et si on ajoute les 30000 € pour la mise en place d’ateliers périscolaires prévus par la réforme, juste en encadrement, sans compter les fournitures et matériels, on arrive à 100000 € de perte sur nos revenus. Je ne veux pas reporter ça sur le contribuable. » Enfin, le maire de Fouquereuil évoque le projet de restructuration de l’école de la commune. « Pour l’instant, nous n’avons pas les installations suffisantes pour proposer du périscolaire de qualité. L’année prochaine, on aura peut-être plus de possibilités. » À Vaudricourt, même combat. « Il y a eu une pétition unanime des parents contre la réforme des rythmes scolaires, précise Roger Valet. Sur 100 élèves, au moins 80 parents l’ont signée. » Le maire de Vaudricourt dénonce également une « inégalité d’application entre le public et le privé. Des parents m’ont signalé qu’ils mettraient leurs enfants dans le privé si on mettait en place la réforme ». Comme ses collègues, il dénonce le surcoût : 30000 € qui s’ajoutent aux 20000 € de baisse de dotation de fonctionnement de l’État. « D’autant plus que nous avons réalisé une nouvelle école. Un investissement important. Ce n’est pas pour accueillir moins d’enfants à cause d’une réforme mal préparée. » Les maires «résignés»Les maires de Béthune, Annezin ou Fouquières-lès-Béthune ont bien pensé ne pas appliquer la réforme avant de finalement abdiquer. En revanche, point de TAP dans ces communes. Béthune. Malgré un courrier au ministre de l’Éducation nationale pour demander un report d’un an, Olivier Gacquerre s’est vu contraint d’appliquer la réforme à la rentrée. Les élèves termineront donc leur journée à 15 h 30 et iront à l’école le mercredi de 9 h à 12 h. Pas de TAP mais une garderie d’une heure gratuite. Parallèlement, le maire élargit le programme de réussite éducative à l’ensemble des écoles de la ville. Entre ce programme, l’heure de garderie gratuite et la restauration scolaire du mercredi, la facture sera comprise entre 100 000 et 120 000 €. L’année prochaine, Olivier Gacquerre voudrait instaurer des TAP regroupés sur une demi-journée et réfléchir à une mutualisation des moyens avec le SIVOM. Annezin. « Le courrier du ministre nous indiquant qu’on était hors la loi nous a fait changer d’avis », précise Patrick Vanderpotte, adjoint. La partie obligatoire, scolaire, prendra donc effet à la rentrée mais sans TAP. « Le coût de la réforme est excessif : 55 000 €. Il est difficile de trouver des personnes compétentes pour une demi-heure par jour et on impose ce principe au public mais pas au privé alors qu’il est financé par des deniers publics. » Pas de cantine le mercredi mais un ramassage scolaire organisé. « Rien que ça, ça nous coûte 10 000 € par an. » La garderie sera payante mais le tarif est en baisse : 50 centimes la demi-heure contre 1 € aujourd’hui pour que les parents qui viennent chercher leur enfant à 18 h paient le même prix qu’avant. Fouquières. « Je ne refuse pas la réforme, la loi, c’est la loi, mais ça va coûter combien ?», s’inquiète Jean-Paul Seulin. Des activités gratuites, type sport et dessin, seront proposées mais « pas selon le cadre gouvernemental qui exige des diplômes, note le maire. Sans compter le matériel, la réforme, c’est une somme équivalent à un emploi à temps plein ». Inquiets ?La semaine dernière, le ministre de l’Éducation nationale a prévenu que les maires qui résistent aux nouveaux rythmes de l'école primaire pourraient être condamnés devant la justice. « Je trouve ça regrettable, indique le maire de Fouquereuil. Je ne sais pas où est la démocratie dans ce cas-là ? On nous impose une mesure sans nous en donner les moyens. Si on nous impose l’ouverture le mercredi, je le ferai. » Le maire de Vaudricourt, Roger Valet, ne se dit pas particulièrement inquiet. « On verra. Je tiens bon. » Et si on l’oblige à ouvrir l’école le mercredi ? « Je ne peux pas commenter des choses qui n’ont pas encore été dites. » De son côté, l’inspection de l’Éducation nationale affirme que « la réforme sera appliquée dans toutes les écoles. Des projets ont été déposés en mars et validés par le directeur académique ». En cas de maires « récalcitrants », « le préfet prendra les décisions. Benoît Hamon a été très clair ». L’exceptionLa réforme des rythmes scolaires passera bien par Lestrem mais à un rythme quelque peu différent d’autres communes du secteur. La seule commune de l’arrondissement où il y aura classe le samedi matin à la place du mercredi matin, de 8 h 40 à 11 h 40 à l’école maternelle Henri-Cousin et de 8 h 35 à 11 h 35 à l’école élémentaire René-Flament. «C’est le choix des directeurs, des enseignants et des représentants de parents d’élèves qui ont voté à 70 % pour l’école le samedi, considérant que la coupure du mercredi est plus bénéfique que de l’école cinq jours d’affilée », explique Jacques Hurlus, le maire. La mairie ne prévoit aucun TAP dans ses deux établissements. Toutefois, un accueil périscolaire sera mis en place les lundi, mardi, jeudi et vendredi pendant 45 minutes à partir de 15 h 15 à l’école maternelle et 15 h 30 à l’école élémentaire. « Les trois premiers quarts d’heure seront gratuits, précise le premier magistrat. Je me suis renseigné auprès de communes qui appliquent la réforme depuis la dernière rentrée et il y a de gros problèmes de recrutement et de maintien des encadrants. » Sans compter l’aspect financier. La mise en place de TAP a été évaluée à 60 000 €. La mairie devra quand même débourser 20 000 € pour recruter 6 à 7 personnes et rentrer ainsi dans les normes d’encadrement imposées par la réforme et offrir la gratuité les trois premiers quarts d’heure.
nanda Posté(e) 18 juin 2014 Posté(e) 18 juin 2014 Dites si l pause de 12h est de 2 h, rassurez moi, on peut bien y caser les ape ? Je change de l'école et la directrice me dit non donc obligation de faire ça le soir. En plus c'est 1 h par semaine, les futurs collègues sont encore en train de faire de l'apéro. Moi je veux finir mes heures au plus vite des le début, je voudrai faire plus d'une heure par semaine. En plus, elle ne font que du soutien, moi je ne veux pas faire que du soutien. Quelqu'un a les textes exactes pour ces fameuses heures d'apc ? Merci par avance.
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