Zarko Posté(e) 21 juin 2014 Posté(e) 21 juin 2014 Loir-et-Cher - Éducation Rythmes scolaires : une rentrée sous tension ?20/06/2014 05:46 réagir(0) Les écoliers du Loir-et-Cher auront classe le mercredi matin. 50 euros par élève Réforme La version définitive de l’organisation de la prochaine année scolaire a été présentée hier soir au conseil départemental de l’Éducation nationale. Cette fois-ci, plus question de reculer ! La réforme des rythmes scolaires s'appliquera à la rentrée prochaine dans l'ensemble des 301 écoles du Loir-et-Cher. Le gouvernement maintient le cap et toutes les municipalités, y compris les « réfractaires », devront respecter la loi. Seul l'enseignement privé reste libre de son organisation : dans le département, il a choisi de réduire les vacances scolaires plutôt que de revoir l'organisation de la semaine. Intérêts divergents Dans le public, si la réforme se déclinera en trois volets, présentés hier soir lors du dernier conseil départemental de l'Éducation nationale de l'année scolaire (lire encadré), la situation risque de beaucoup varier d'une commune à l'autre car tout le monde n'a pas, loin de là, la même lecture de cette réforme ! D'autant plus que les changements intervenus ces derniers mois, qu'il s'agisse du remplacement du ministre Vincent Peillon par Benoît Hamon ou de l'arrivée aux affaires de nouveaux maires, ont changé la donne.Un point commun est à retenir : tout le monde ira en classe le mercredi matin. Pour le reste, déplore le syndicat enseignant SNUipp-FSU par la voix de son secrétaire départemental Stéphane Ricordeau, « l'immense majorité des parents d'élèves » mais aussi « un certain nombre d'enseignants » manquent toujours d'informations. Et il redoute que la rentrée se déroule « dans la plus grande confusion, aux allures de chaos ».Il s'avère en effet difficile, dans plusieurs endroits, de conjuguer des intérêts divergents. Les maires pensent à leurs finances, les parents à leur organisation familiale et les maîtres refusent de voir s'allonger leur temps de présence à l'école alors que leurs rémunérations sont, comme celles des autres fonctionnaires, actuellement gelées.Or en milieu rural, les communes – qui se sont parfois associées pour mutualiser leurs moyens – cherchent à optimiser leurs ressources (locaux municipaux, agents…) pour mettre en place des animations périscolaires voire tout simplement une garderie. Quitte à jouer sur les horaires, en allongeant la pause méridienne par exemple. Car cette réforme leur coûte cher : de 100 à 150 € par élève, dont seulement 50 € abondés par l'État. Elle-même directrice d'école dans le nord du Loir-et-Cher, Virginie Grospart, représentante des enseignants du premier degré, insiste aussi sur les difficultés promises à ses collègues à temps partiel ou ceux dits « mobiles » dont le temps de travail est partagé entre plusieurs écoles. Comment conjuguer leurs propres contraintes horaires avec l'organisation définie par les communes ? Plus globalement, le SNUipp-FSU évoque un travail « titanesque mais illisible » et estime que la rentrée de septembre « sera la formidable démonstration de l'invraisemblable bazar installé à toute force. »Propos alarmistes ? Réponse en septembre, avec probablement des différences sensibles entre ville et campagne. repères Dans un communiqué commun, Michel Houdu (directeur des services départementaux de l'éducation nationale) et le préfet Gilles Lagarde détaillent l'organisation des écoles élémentaires et primaires du Loir-et-Cher à partir de la rentrée de septembre prochain.> Sans dérogation. C'est la règle générale, qui s'appliquera dans 204 écoles et prévoit 24 heures de cours, organisés sur 9 demi-journées par semaine.> Avec dérogation. 70 écoles bénéficieront d'une dérogation, précise le communique, « avec une répartition des enseignements selon une organisation horaire adaptée au projet éducatif territorial. Il s'agit, par exemple, d'écoles avec deux journées de six heures, 2 journées de 4 h 30 et 3 h le mercredi matin. »> Expérimentation. 27 écoles bénéficieront d'une expérimentation prévue par le décret Hamon du 7 mai dernier. Les cours auront lieu sur 5 matinées et 3 après-midi au lieu de 4. Mais attention : le volume horaire global reste de 24 heures.
Zarko Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Actualité > Marseille Rythmes scolaires à Marseille: les activités finalement regroupées le vendredi Publié le 22.06.2014, 11h15 Réagir Les activités périscolaires des enfants des écoles marseillaises seront regroupées le vendredi après-midi a annoncé le rectorat dimanche, clarifiant la situation après l'opposition durable du maire de Marseille Jean-Claude Gaudin contre l'application de la réforme des rythmes scolaires.Les 72.000 écoliers marseillais travailleront jusqu'à 16h30 les lundi, mardi et jeudi, et de 8H30 à 11h30 les mercredi et vendredi, jour où seront regroupées les activités périscolaires. "La majorité des écoles marseillaises (58,2%) s'est prononcée dans ce sens lors de la consultation organisée par la mairie de Marseille", a indiqué le rectorat dans un communiqué.La ville de Marseille s'est longtemps opposée à la réforme des rythmes scolaires et rappelait encore dans un courrier adressé aux écoles le 26 mai qu'elle maintiendrait quatre jours de classe à la rentrée.Elle estime que cette réforme va lui coûter 25 millions d'euros, pour recruter des animateurs dans les 445 écoles communales, renforcer le personnel municipal et organiser les activités périscolaires.Devant ce refus répété, le recteur Ali Saïb avait menacé le 12 juin "d'imposer une organisation du temps scolaire où les élèves viendraient travailler le mercredi matin".Vivement critiqué, M. Gaudin avait alors répondu dans un communiqué le jour-même que "respectueux de la légalité républicaine, il mettrait tout en oeuvre pour garantir le bon fonctionnement de l'école dans l'intérêt des enfants et des familles". Il qualifiait au passage legouvernement d'"autiste" dans sa manière "d'imposer brutalement et sans concertation un décret".Cette longue incertitude a également affecté les parents d'élèves et les personnels des écoles, laissés sans réponse alors qu'approche le début des vacances d'été. Donc le recteur de Marseille accepte quand celui de Nice refuse...
Zarko Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Région > Maubeuge et ses environs > Maubeuge Surprise à Maubeuge: les rythmes scolaires retoqués, les TAP ne seront pas appliquésPUBLIÉ LE 21/06/2014 CÉCILE DEBACHY Réagir Share on rss Le journal du jour à partir de 0,79 € C’est sans doute la plus grosse surprise du conseil qui s’est tenu vendredi soir, à Maubeuge. Alors qu’Arnaud Decagny et son équipe évoquaient depuis plusieurs semaines l’idée d’un regroupement des activités périscolaires le vendredi après-midi, le projet a tout simplement été retoqué par l’Inspection académique. En cause : l’absence de consensus des conseils d’école. Résultat : un nouveau projet sur la table, de nouveaux horaires et, surtout, le refus du maire de mettre en place des TAP. - A + Collection de liens Rythmes scolaires : le point à Maubeuge et en Sambre Début mai, profitant du nouveau décret Hamon, le maire de Maubeuge évoquait son envie de regrouper les TAP le vendredi après-midi « pour faire du qualitatif ». Une façon, aussi, de contourner une réforme qui n’a jamais trouvé grâce à ses yeux. « Si j’avais pu, j’aurais adopté la même position qu’Hautmont et Louvroil, mais les rythmes sont déjà en place à Maubeuge, je dois faire avec », répète-t-il à qui veut l’entendre. Seulement, ce vendredi matin, le DASEN (directeur académique des services de l’Éducation nationale), a fait savoir son désaccord. La Ville a donc dû trouver rapidement un nouvel emploi du temps, dans la journée, avec l’inspectrice du secteur. Résultat : une délibération de dernière minute s’est invitée à la table du conseil vendredi soir. « Nous avons donc opté pour de nouveaux horaires, à savoir 8 h 30-11 h 30 et 13 h 45-16 h. Dans cette configuration, nous ne serons pas en mesure d’appliquer les TAP », a expliqué Arnaud Decagny en préambule. Retour à la case départ Tollé à gauche. La bombe lâchée a eu l’effet escompté. Pour Nathalie Montfort, hors de question de voter une délibération dont Maubeuge toujours ! a pris connaissance vingt minutes auparavant. « Nous ne voulons pas délibérer ce soir, il faut examiner le projet en commission. » Si le maire Decagny souhaite passer en force – question de timing – il se ravise quelques minutes plus tard, sur les conseils avisés de ses services. La délibération sera de nouveau soumise au vote d’ici une dizaine de jours. Et sera, on l’imagine, adoptée par la majorité… Une façon de contourner une nouvelle fois cette réforme ? « Pas du tout, assure post-conseil Arnaud Decagny. En regroupant le vendredi après-midi, nous proposions de faire du qualitatif. Or, avec 30 ou 45 minutes, ça ne sera pas le cas, les activités ne seront pas intéressantes, les associations ne vont pas s’investir cette année. Et puis il y a le coût trop important », poursuit-il, en l’estimant à 500 000 euros l’année prochaine. En somme, « si on ne peut pas faire bien, on ne fait pas ». http://www.lavoixdunord.fr/tags/rythmes-scolaires
Zarko Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Nîmes : le débat inopiné tourne court sur les rythmes scolaires il y a 2 heures 0 JEAN-PIERRE SOUCHE Polémique autour de la réforme scolaire. N.B. TWITTER Vendredi 20 juin, en conseil municipal, les élus se sont exprimés sur cette actualité chaude. Vendredi 20 juin, la séance publique du conseil municipal a été surtout animé par la question des rythmes scolaires. Le débat a été lancé par l'élue communiste Sylvette Fayet. Laquelle a profité d'une délibération concernant des subventions aux écoles privées, pour réussir à commenter le choix de la municipalité concernant les rythmes scolaires. Une fois n'est pas coutume, le maire Jean-Paul Fournier a accepté la digression avant, sans doute, de le regretter. Intérêt de l'enfant en question Sylvette Fayet a ainsi critiqué le choix de la ville d'opter pour un regroupement des heures de temps périscolaire supplémentaire sur la demi-journée du vendredi après-midi : "L'intérêt de l'enfant n'a pas été pris en compte. S'il est plus facile d'organiser les activités périscolaires sur une demi-journée, le bon sens aurait voulu que vous n'accoliez pas cette demi-journée au week-end qui est déjà une rupture avec le temps scolaire", a déploré Sylvette Fayet. Choix de la demi-journée Attaqué, Jean-Paul Fournier a aussitôt répliqué : "Nous avons voulu consulter l'ensemble des conseils d'école avant de prendre une décision. Il s'avère qu'une majorité s'est dégagée au niveau des enseignants et des parents pour le choix de la demi-journée. La solution n'est pas idéale, je le conçois", a avoué l'élu. Mais il s'en est surtout pris au gouvernement : "Il a agi sans concertation avec le Parlement, c'est du jamais-vu". Coût de la réforme pour la ville : 3 millions d'euros Pour finir, l'élu a rappelé le coût de la réforme, 3 M€ pour Nîmes, et les probables répercussions financières sur les familles nîmoises. Il n'en fallait pas plus pour qu'à son tour, Françoise Dumas demande, obtienne la parole et reparte à l'attaque contre la ville : "Pendant un an, vous aviez travaillé sur un projet intéressant, vous n'étiez pas obligé de le remettre en cause. Vous avez fait une interprétation politicienne, qui ne va pas dans l'intérêt de l'enfant, des possibilités offertes par le nouveau ministre." Débat écourté Une remarque qui a fait sortir de ses gonds Jean-Paul Fournier : "En tant que parlementaire, vous devriez être choquée que sur cette réforme si importante, ni l'assemblée ni le sénat n'aient été consultés", a-t-il rétorqué du tac au tac. Puis, dans un éclair, le sénateur-maire a décidé de clore le débat et de revenir à l'ordre du jour. Au grand dam de Yoann Gillet qui n'a pas eu voix au chapitre et a immédiatement crié au scandale : "Vous ne pourrez pas faire l'impasse sur le FN pendant six ans, ça va très mal se passer", a menacé l'élu frontiste. Moralité : sans doute verra-t-on couler beaucoup d'eau dans la source de la Fontaine avant que Jean-Paul Fournier ne consente à nouveau à accepter les digressions.
Frédo45 Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Ah... parce que tu connais mes idées sur les rythmes??? Le SNUIPP national ( à nuancer avec certaines sections départementales et petites mains qui sont totalement désenchantées) que tu défends en bon petit soldat, change de cap tous les trois mois et tu viens donner des leçons de cohérence. Pourquoi pas... En tout cas, je note des progrès, puisque tu m'adresses enfin un message sans insulte... Je comprends très bien que tu ne m'aimes pas. Le moustique qui vient me piquer la nuit, je ne l'aime pas non plus... Mais je crois qu'ici, nos incompatibilités,qu'elles soient syndicales, astrologiques, affectives ou sexuelles tout le monde s'en fout alors trouve-toi un autre os et lâche-moi un peu le bas du pantalon... Tu te compares à un moustique. Ca te va assez bien... Mais si je comprends bien, tu es donc favorable à la réforme des rythmes... Parce qu'au cas où tu n'aies pas remarqué, le titre du topic est "Revue de presse sur les rythmes", topic sur lequel tu interviens abondamment... Et maintenant, tu viens expliquer que jamais tu ne t'es prononcé sur les rythmes. Cela confirme mon avis sur toi. Ton unique objectif est de taper sur le SNUipp quoiqu'il arrive et on ne sait toujours pas pour qui tu roules. Pour finir, ton ressentiment (pour ne pas dire plus) à l'encontre du SNUipp, les autres forumeurs s'en foutent certainement aussi, ça ne t'empêche dans chacune de tes interventions de taper sur le syndicat. Alors, tes leçons, tes incohérences et ta sournoiserie, tu peux en effet toi aussi te les garder (et je reste poli)...
Polythene Pam Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Heu, dites, ça vous dirait d'aller jouer un peu plus loin ?
Yves4238 Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 C'est vrai que l'UNSA n'a rien à se reprocher. Mais bon. C'est la petite guerre habituelle entre syndicats qui fait surement bien avancer le schmilblick......
Zarko Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 Ben ouais, chacun va se renvoyer la balle...ce n'est pas de cette façon qu'on gagne un match !
montagny Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 C'est vrai que l'UNSA n'a rien à se reprocher. Mais bon. C'est la petite guerre habituelle entre syndicats qui fait surement bien avancer le schmilblick...... L'UNSA n'a jamais changé d'avis depuis le début contrairement à la FSU qui a eu une bonne trouille en voyant sa base se barrer ! Alors, elle change de cap, obtient avec les maires frondeurs un assouplissement qui met encore plus la merde car produit encore plus de différence suivant le lieu où tu te trouves...alors que d'un autre côté, la grosse demande concernait un cadrage national pour éviter les bricolages et les aberrations par rapport à l'objectif initial !
nola Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 C'est vrai que l'UNSA n'a rien à se reprocher. Mais bon. C'est la petite guerre habituelle entre syndicats qui fait surement bien avancer le schmilblick...... L'UNSA n'a jamais changé d'avis depuis le début contrairement à la FSU qui a eu une bonne trouille en voyant sa base se barrer ! Alors, elle change de cap, obtient avec les maires frondeurs un assouplissement qui met encore plus la merde car produit encore plus de différence suivant le lieu où tu te trouves...alors que d'un autre côté, la grosse demande concernait un cadrage national pour éviter les bricolages et les aberrations par rapport à l'objectif initial ! L'UNSA n'a jamais réclamé un cadrage national. Les semaines avec des journées irrégulières, les journées toujours aussi longues ou les pauses midi de 3 heures ne leur posent aucun problème. Leur entêtement à défendre ça ne vaut pas mieux que les louvoiements du SNUIPP.
Zarko Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 C'est vrai que l'UNSA n'a rien à se reprocher. Mais bon. C'est la petite guerre habituelle entre syndicats qui fait surement bien avancer le schmilblick...... L'UNSA n'a jamais changé d'avis depuis le début contrairement à la FSU qui a eu une bonne trouille en voyant sa base se barrer ! Alors, elle change de cap, obtient avec les maires frondeurs un assouplissement qui met encore plus la merde car produit encore plus de différence suivant le lieu où tu te trouves...alors que d'un autre côté, la grosse demande concernait un cadrage national pour éviter les bricolages et les aberrations par rapport à l'objectif initial ! C'était déjà la m..de avant l'assouplissement !Entre 2x1,5h ou 4x45 minutes ou encore des allongements de pause méridienne ou encore des samedis matin ; c'était déjà mal barré !
montagny Posté(e) 22 juin 2014 Posté(e) 22 juin 2014 C'est vrai que l'UNSA n'a rien à se reprocher. Mais bon. C'est la petite guerre habituelle entre syndicats qui fait surement bien avancer le schmilblick...... L'UNSA n'a jamais changé d'avis depuis le début contrairement à la FSU qui a eu une bonne trouille en voyant sa base se barrer ! Alors, elle change de cap, obtient avec les maires frondeurs un assouplissement qui met encore plus la merde car produit encore plus de différence suivant le lieu où tu te trouves...alors que d'un autre côté, la grosse demande concernait un cadrage national pour éviter les bricolages et les aberrations par rapport à l'objectif initial ! L'UNSA n'a jamais réclamé un cadrage national. Les semaines avec des journées irrégulières, les journées toujours aussi longues ou les pauses midi de 3 heures ne leur posent aucun problème. Leur entêtement à défendre ça ne vaut pas mieux que les louvoiements du SNUIPP. Là tu t'égares... Le SE a toujours été contre l'assouplissement qui a donné des journée irrégulières, toujours aussi longues.... les pauses de midi de 3h je n'en ai pas connaissance par chez moi. C'est vrai que pour FO, on ne veut pas de changement, on ne bouge pas et après on gueule !
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