cleo17fr Posté(e) 10 juin 2014 Posté(e) 10 juin 2014 Faire autre chose ou accepter que des enfants ne viennent pas, c'est aussi se tirer une balle dans le pied. Le "faire autre chose" peut se répartir sur la semaine : 5 groupes qui tournent, c'est accepter qu'un groupe soit plus "tranquille". Les groupes de 6 sont plus confortables pour tous, on y gagne aussi. .
azerty Posté(e) 10 juin 2014 Posté(e) 10 juin 2014 Moi je ne peux pas juger mais dans mon département où il y a classe le mercredi depuis des lustres, ça n'a pas l'air de poser problèmes aux collègues qui y travaillent. J'imagine donc que c'est une question d'habitude pour les enfants et qu'ils se font à ce rythme finalement. ( et les adultes aussi peut être mais j'avoue que je ne suis pas sûre de m'y faire moi, trop habituée aux semaines de 4 jours ou aux temps partiels)
Goëllette Posté(e) 10 juin 2014 Posté(e) 10 juin 2014 Oui, c'est bien connu que c'est aux enfants de se faire aux lubies des chronos trics, et que c'est à nous, ensuite, de calfeutrer la réalité à savoir que ça ne fonctionne pas en l'état.
laflo03 Posté(e) 11 juin 2014 Posté(e) 11 juin 2014 Pour reprendre le sujet initial, je trouve qu'il serait plus judicieux d'alléger le vendredi (dernier jour de la semaine) que le mercredi matin. La fatigue se fait plus ressentir en fin de semaine. Je ferais plutôt tourner les groupes sur lundi/mardi/mercredi//jeudi et c'est pour le vendredi que j'essaierais de prévoir des ateliers qui demandent "moins d'effort". Une école maternelle de mon département propose de consacrer le vendredi à un décloisonnement sur toute l'école suivant un projet commun durant lequel les élèves pourront faire du théâtre, du chant, de l'eps... Je sais on en fait aussi dans nos classes mais le principe d'alléger le vendredi me semble intéressant.
Goëllette Posté(e) 12 juin 2014 Posté(e) 12 juin 2014 Je croyais qu'après avoir allégé la semaine, il n'y avait plus besoin d'alléger quoi que ce soit. Les activités spéciales le vendredi, ce n'est pas la panacée, mais ça démontre bien, s'il est besoin d'en faire, que la réforme est inutile voire aggravante.
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