Cette nuit, j'ai rêvé... Venez dévoiler le secrets de votre incs.

[MadameTêtard]

J'ai rêvé que j'étais dans un parc. IL pleuvait des fleurs blanches.

J'en ai ramassé plein et j'ai demandé au TAC de me prendre en photo. Je relance les fleurs en l'air, mais eles étaient toutes déchiquetées et les petits bouts se sont bien collés partout sur moi façon goudron et plumes.

Et puis on est allés visité l'usine : une sorte de fonderie. Là, je sais qu'il manque un élément essentiel de mon rêve mais mon Incs ne veut plus me le montrer.

Bref, notre petit robot a fondu. ON l'a quand même retrouvé grâce à l'autocollant en forme de lapin, collé sur le rebord d'une des cuves...

Je suis fatiguée!!!

[kissy78]

J'étais sur un parking avec deux atsem de l'école. On vient de m'annoncer le décès de quelqu'un.L'une des atsem me dit qu'elle va aller voir Machine parce que cette dernière lui a confié ne pas être bien parce que Ljub a des vues sur sa fille. Connaissant le personnage ( un peu chaud le Ljub), elle ne veut pas que Ljub soit avec sa fille. Elle s'en va et moi je reste

Désolée Ljub!

[abcdefghij]

J'ai rêvé que j'étais impliquée (je ne sais plus comment) dans une arnaque à l'épargne. La fausse banque à laquelle j'appartenais proposait des placements avantageux... mais la victime ne revoyait plus son épargne. Je n'en tirais aucun bénéfice, apparemment, mais faisais ça pour rendre service à un inconnu.

Mon téléphone perso faisait office de siège social de la banque.

Bien sûr, une des victimes me téléphonait souvent pour me demander ce qu'il en était de son placement.

J'habitais dans mon rêve chez mes parents, et il fallait que je leur demande comment me sortir de là.

[stl]

[Ljub]

En effet !

Peut-être que t'as un surplus d'argent sur ton compte, et que tu te demandes comment t'en débarrasser .

[abcdefghij]

Ljub au coeur de nos rêves !

[Ljub]

Formidable ! T'as réussi à prendre une photo durant ton rêve !

Pour Sébastien, je vois ; le pyjama bleu, je l'ai.

J'adore l'idée qu'on puisse me voir roupiller dans le rêve de quelqu'un d'autre.

[abcdefghij]

Et peut-être que tu y rêvais... de Tide !

[Ljub]

Ca m'est déjà arrivé de rêver de Loiziriennes .

[abcdefghij]

Une réminiscence, Tide.

Je vais aller voir qui est ce gars.

Edit : OK, un illustre inconnu...

[Ljub]

Tu as vraiment un pyjama à pieds?

Je viens de googeliser S. Sagem, il existe vraiment!

J'ai cru que j'avais les pieds bleus dans ton rêve !

Non : je n'ai pas de pyjama à pieds.

[Ljub]

Deux rêves, dont le second qui m'a épuisé.

J'ai rêvé que James Hetfield et Kirk Hammett (respectivement le guitariste-chanteur et guitariste de Metallica) venaient faire un concert chez mes parents. James Hetfield avait amené son cochon d'Inde. Celui-ci, au moment où le concert commence, va se réfugier dans une prise de terre située dans le salon. Le concert se déroule très vite. A la fin, les deux me font une jolie dédicace (la signature de Kirk Hammett ressemble à une fleur), et l'un des roadies va récupérer le cochon d'Inde (je ne sais comment),

J'ai rêvé que j'étais en vacances à bord d'un bateau en bois. La croisière se passe mal car au loin, on distingue des lumières dues à des explosions de missiles (je distingue d'ailleurs un pont qui est touché par une énorme lumière jaune). Les personnes avec moi semblent plus ébahies par les lumières que paniquées. La panique survient lorsque le haut-parleur annonce que le bateau va couler. Heureusement, on n'est pas loin des quais. Dans la panique, je reconnais un type qui était dans ma classe en Première. On débarque ensemble, sans encombre, à proximité d'une grande surface. Il décide de voler une voiture (une Golf vert pomme) : je le suis malgré moi, plein de remords, tout en regardant le type courir quelques secondes après sa voiture et en me débarrassant de mon imperméable (rouge et bleu foncé). On longe ensuite une zone où il y a plein de campings, mais la route est sinueuse et meuble. Si bien que le bord de la route se dérobe.

Heureusement, la voiture ne se retourne pas, et on continue notre chemin. Je lui dis que c'était pas la peine de serrer à droite comme il n'y a personne qui arrive en face et que la route est plus solide au milieu. Il me répond qu'il préfère continuer à conduire en marche arrière. La voiture finit par tomber en panne : on se retrouve dans un camping pour la nuit. Je lui dis que le type à qui on a volé la voiture n'est sûrement pas loin et qu'il doit être dans l'un de ces campings, mais il ne me répond rien. Le lendemain, des enfants de l'école où je travaille me ramènent mon imperméable : je suis gêné, parce que je me dis que si le type à qui on a volé la voiture est dans les parages, il va le reconnaître, d'autant plus qu'il y a des témoins.

Je rentre ensuite à pieds chez mes parents. A 200 mètres de chez eux, dans un chemin en pente, je trouve une table. Je m'installe et commence à écrire mon aventure sur un brouillon. Alors que j'ai presque fini de remplir une feuille, les enfants qui m'avaient retrouvé l'imperméable arrivent en compagnie d'une femme (une brune élancée d'une trentaine d'années) : je comprends vite qu'il s'agit d'une inspectrice de police.

Elle commence à me poser des questions sur ce je j'écris. Je lui réponds que c'est un rêve que je retranscris. Elle ne le lit pas, mais me parle maintenant de mon imperméable (que je n'ai pas touché depuis que les enfants me l'ont rendu). Elle fouille à l'intérieur, et en sort quelques grammes de substances illicites. Elle goûte et me demande si je suis au courant que c'est de la drogue. Je lui réponds que je me suis fait voler l'imperméable, que les enfants me l'avaient retrouvé et que quelqu'un l'avait utilisé entre-temps.

Elle ne me contredit pas, mais je devine qu'elle est au courant de tout, et je commence à transpirer. L'entretien est interrompu par le passage d'un bruyant side-car. Celui-ci prend un virage à gauche, à la corde. Tellement à la corde que le passager qui tenait un verre de pastis à la main se fait percuter par une boîte aux lettres. Le side-car continue sa route, tandis que le verre de pastis reste par terre, toujours plein . L'inspectrice et moi disons aux enfants que c'était dangereux de tendre le bras comme ça, et qu'il a eu de la chance de ne pas se l'être fait arracher.

L'interrogatoire se poursuit : elle sort de l'imperméable d'autres sachets (plus gros) de substances illicites et me pose la question fatale. Je sais que si je mens, elle va me démasquer, et si je dis la vérité, je serai coupable. Finalement, je ne sais pas quelle était cette question fatale, parce que je me suis brusquement réveillé.