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  • Confus 1
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  • Confus 1
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Voici quelques petits bijoux de la langue française que vous ne connaissiez peut-être pas…
Le plus long mot palindromique de la langue française est « ressasser ». C'est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens.
« Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e » C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».
L'anagramme de « guérison » est « soigneur » C'est-à-dire que le mot comprend les mêmes lettres.
« Endolori » est l'anagramme de son antonyme « indolore », ce qui est paradoxal.
« Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette »
« Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul !
Le mot "simple" ne rime avec aucun autre mot. Tout comme "triomphe", "quatorze", "quinze", "pauvre", "meurtre", "monstre", "belge", "goinfre" ou "larve".
« Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle. (Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel !!)
« Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] .
« oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles.
APOPHTEGME : (prononcer « apoftègme ») Un APOPHTEGME est un précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime. Si le mot « apophtegme » est difficile à prononcer ou à écrire, il devient un plaisir quand on en lit un !
Quelques exemples...
L'homme descend du songe. (Georges Moustaki)
Elle était belle comme la femme d'un autre. (Paul Morand)
L'enfant est un fruit qu'on fit. (Leo Campion)
Dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu hais. (Francis Blanche)
Quand il y a une catastrophe, si on évacue les femmes et les enfants d'abord, c'est juste pour pouvoir réfléchir à une solution en silence. (Winston Churchill)
La tolérance, c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms. (Michel Audiard)
L’expérience est l’addition de nos erreurs.
C’est mathématique : Un cocu est un entier qui perd sa moitié pour un tiers. (Jean Carmet)
Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. (G. Courteline)
Tout le monde pense ; seuls les intellectuels s’en vantent. (Philippe Bouvard)
Le jour ou Microsoft vendra quelque chose qui ne se plante pas, je parie que ce sera un clou.
Elle est tellement vieille qu'elle a un exemplaire dédicacé de la Bible.
La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester là où on est tombé. (Socrate)
Quand Rothschild achète un Picasso, on dit qu'il a du goût. Quand Bernard Tapie achète un tableau, on demande où il a trouvé les ronds.
Si la Gauche en avait, on l'appellerait la Droite. (Reiser)
Si on ne faisait les choses qu’après y avoir mûrement réfléchi, on ne coucherait jamais avec personne. (Ray Bradbury)
"Parlement"… mot étrange formé de "parler" et "mentir". (Pierre Desproges)
Quand un couple se surveille, on peut parler de "communauté réduite aux aguets".
Lorsque un minable attaque un autre minable, il faut s’attendre à "une guerre interminable".
Il y a trois sortes de personnes : Celles qui savent compter et celles qui ne savent pas.
Un trou noir c’est troublant.
Il faisait tellement froid que j’ai vu un socialiste avec les mains dans ses propres poches.
Mieux vaut être une vraie croyante qu’une fausse sceptique.
Mieux vaut être un papa au rhum qu’un gâteux sec.
N'attendez pas la solution de vos problèmes des hommes politiques puisque ce sont eux qui en sont la cause (Alain Madelin)
Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. (J-B. Bossuet)
Pardonner, c’est refuser de rester une victime.
On peut donner le bonheur sans l’avoir... c’est d’ailleurs comme cela qu’on l’acquiert. (Voltaire)
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"Plus ça rate, plus on a de chance que ça marche" - Devise shadok.

 

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Il y a 4 heures, Torque a dit :

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Dire que 90 % des maladies n'existaient pas il y a 100 ans est mensonger et trompeur. Encore une fausse information...

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Dans la série des "Ah oui,  quand même !".

 

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"1300 ANS, 17 MILLIONS D'ESCLAVES, 6 MILLIONS DE CASTRÉS : CETTE PARTIE DE L'HISTOIRE QU'ON NOUS A CACHÉE
Bien avant l’arrivée des Européens, les premiers califats arabes se livraient au commerce d'esclaves  .
En 652, le Traité du Baqt entre l’Égypte musulmane et le royaume nubien de Makurie (Soudan actuel) officialisa un pacte monstrueux :
Chaque année, le Soudan devait livrer des esclaves au nom de la paix sinon ils étaient massacrés.
Ce n’était plus de la guerre, c’était une économie de la capture.
Ce jour-là, l’Afrique a cessé d’être un continent : elle est devenue un stock de corps.
Au cœur du système esclavagiste arabo-musulman se trouvait une pratique d'une barbarie si extrême qu'elle défie l'entendement : la castration de masse. Cette opération chirurgicale mortelle transformait des millions d'hommes africains en eunuques, condamnés à une existence de souffrance.
Les arabes musulmans après avoir pris le contrôle de l'Égypte ont instauré leur système des plus meurtriers. Des ''chirurgiens'' spécialisés pratiquaient l'ablation complète des organes génitaux. Le patient était maintenu de force par quatre hommes pendant que le ''médecin'' sectionnait testicules et pénis en un seul mouvement rapide. Pour éviter la fermeture de l'urètre, on insérait un tube de bambou, puis on versait de l'huile bouillante sur la plaie béante. Le taux de mortalité atteignait 90% - une  hécatombe organisée.
À Bagdad, on perfectionna une méthode plus ''économique'' : la castration par écrasement. On serrait des cordes autour des testicules jusqu'à ce que les tissus meurent par nécrose. L'infection gangréneuse emportait la plupart des victimes dans d'atroces souffrances. Seul un homme sur vingt survivait .
Bassora (Ville en Irak)  développa sa propre spécialité : la cautérisation au fer rouge. Après l'ablation, on appliquait un métal incandescent sur la plaie pour stopper l'hémorragie. La brûlure profonde provoquait des infections mortelles dans 80% des cas.
Pourquoi cette pratique systématique ? La réponse est glaciale : empêcher la reproduction des esclaves africains en terre d'Islam. Les hommes castrés ne pouvaient fonder de famille, garantissant ainsi qu'aucune descendance africaine ne prenne racine. C'était une solution finale à la question démographique.
Les survivants devenaient des ombres d'hommes, voués à garder les harems ou servir dans l'administration. Leur voix aiguë et leur absence de barbe les marquaient à vie comme produits de cette industrie de la mort.
Les chiffres donnent le vertige : sur 17 millions d'Africains déportés, environ 6 millions sont morts des suites de castration. C'est l'équivalent de la population actuelle du Togo, du Bénin et du Congo réunis, sacrifiés sur l'autel de cette pratique barbare.
Aujourd'hui encore, le silence entoure ce chapitre le plus sombre de la traite orientale à laquelle il faut le dire c'est la colonisation occidentale qui amis fin. 
Pendant que l'Europe confrontait son passé esclavagiste, le monde arabo-musulman n'a toujours pas engagé ce travail de mémoire essentiel.
La vérité doit être dite : des millions d'hommes africains ont été transformés en eunuques dans des conditions atroces. Leur souvenir exige que nous brisions le silence et que nous inscrivions leur martyre dans la mémoire collective de l'humanité.
Les historiens parlent de 17 à 19 millions d’Africains déportés.
Mais derrière ces chiffres, il y a les invisibles : les morts du désert, les disparus des routes, les effacés du temps.
Si l’on additionne les vies perdues, c’est près de 60 millions d’âmes africaines qui ont été englouties.!
C’est comme si l’on avait effacé toute la population actuelle du Ghana, du Cameroun, du Sénégal et du Mali réunis.
Et pourtant…
Pas un seul mémorial. Pas une seule journée mondiale..
La traite arabo-musulmane n’a pas seulement volé des corps, elle a volé la mémoire.
Dans les livres d’histoire, dans les programmes scolaires, cette page est volontairement effacée.
On nous apprend que l’esclavage vient d’Occident, jamais qu’il fut d’abord entretenu par l’Orient.
Ce silence est une stratégie.
Parce qu’un peuple qui ne connaît pas la totalité de ses blessures ne peut pas comprendre la profondeur de sa cicatrice.

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