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Comment gérer vous le bruit incessant, les sollicitations des enfants.


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Et ce qui m'agace, c'est que mes propres enfants ne sont pas des enfants rois et que dans chaque classe, il y a quelques enfants comme les miens (heureusement), mais ceux -là subissent ce que nous enseignants subissons.

Je suis tout à fait d'accord avec toi... j'essaie toujours de les féliciter pour qu'ils sentent que je ne les oublie pas, mais finalement, dans une journée, ils passent un temps fou à attendre les autres!

J'ai 3 enfants d'instits cette année. Et ce sont les plus bavards ;) ! Donc, on passe un temps fou à attendre qu'ils se taisent.

Ah oui ! Je veux bient e croire ! Le fils de mon collègue, l'an dernier, était le plus bavard de ma classe ;-)

Je parlais de mes enfants, et aussi des enfants "non-rois" que l'on a chaque année et qui ne sont pas forcément des enfants d'instits hein, on est bien d'accord. On a tous des adorables bambins dans nos classes qui passent leur temps à subir la pénibilité des autres. Et bien ceux-là, je les plaints et j'essaie aussi de les féliciter quand je peux.

Posté(e)

Pareil, j'envie à la limite les postiers des petits villages...un boulot simple, où il n'y a pas besoin de se tirer les cheveux pour réfléchir à tout, pas de bruit évidemment, sans prise de tête de ce genre quoi

Ou les employées de ma mairie, qui travaillent dans un lieu calme et pas du tout fatiguant. :-)

Posté(e)

C'est vrai que le nombre compte, même si toute notre hiérarchie nous soutient le contraire. L'an dernier j'avais 27 CE1, cette année j'en ai 19. Je peux faire quelques constats.

- La première chose, tiens, c'est marrant, pendant chaque séance, j'ai le temps d'aller voir CHACUN de mes élèves quand ils sont en autonomie. Et même, je peux m'asseoir régulièrement à côté de ceux qui ont du mal pour réexpliquer au besoin. Euh, tout bêtement, en plus d'avoir du temps, j'ai de la PLACE ! Et des chaises vides où je peux m'installer bien tout à côté de celui qui a besoin et pas penchée en avant pliée en deux devant sa table.

- J'arrive à avoir à peu près tout le monde en tête. Et savoir qui fait quoi. Alors qu'à 27... :getlost:

- Comme j'ai de la place, j'ai pu mettre tout seuls ceux qui posent vraiment de gros problème de discipline.

Par contre,

- les sollicitations dont on parle dans ce fil sont toujours aussi nombreuses et pénibles. Maîtreeeeeeesssssse !!!!!!!! Madaaaaaaaaaaaaaaaaaame ! Si jamais je n'arrive pas tout de suite, on répète jusqu'à ce que je me fâche pour rappeler qu'il faut le ver le doigt et qu'il faut attendre un peu quand je m'occupe d'un copain. Ils n'ont pas de règles chez eux ou quoi ?Ils doivent probablement couper la paroles aux adultes etc. Et ça, même à 18 ça m'énerve aussi. Mais, avec 18, au lieu de 27, il y en a moins au final !

- Je me bats quand même à longueur de journée pour avoir des enfants rangés et silencieux quand on se déplace ou avant de rentrer en classe. Ils ne savent absolument pas rester rangés. Dès qu'on avance, ils courent, se bousculent, marchent à reculons, se dépassent les uns les autres etc. J'ai l'impression, sans méchanceté, de gérer un petit troupeau dont je serai le chien de berger. Je lutte et ne lâche pas. Mais c'est épuisant.

- Je répète, moi aussi, sans arrêt les règles. Dès qu'ils sortent un crayon, un cahier, c'est le brouhaha. Alors, je peux tolérer quelques instants de relâchement, ça me semble humain, mais le problème c'est qu'ils ne savent pas s'arrêter. Il y en a toujours un qui se remet à parler et ça m'HORRIPILE et c'est épuisant. Mais, je ne lâche pas. Je répète, réexplique en me disant que ce sont eux qui ont tort et moi raison de ne pas les laisser vivre dans ce bruit. Et s'il faut je punis. Mais pour certain, même les punitions ne leur font aucun effet.

- Enfin ce qui , c'est lorsque tout le monde est bien silencieux, genre, avant de rentrer en classe, quand ils sont devant la porte, et que l'un d'entre eux ressort une c*nnerie pour faire rire tout le monde. Et rebelote. On recommence.

Alors, je supporte, moi, mais je ne le vis pas bien. Je rêve de bosser dans une classe où les enfants ne seraient pas des enfants rois, mais je crois qu'on ne verra pas ça de si tôt. Et ce qui m'agace, c'est que mes propres enfants ne sont pas des enfants rois et que dans chaque classe, il y a quelques enfants comme les miens (heureusement), mais ceux -là subissent ce que nous enseignants subissons.

+1!

Posté(e)

Je préfère les CM1 et les CM2, moi, je ne trouve pas qu'il y ait beaucoup de corrections, sauf en math, quand c'est des opérations à corriger et encore! il suffit de corriger avec eux. Avec les petits, je suis obligée de préparer les cahiers, surtout au début, sinon, ils écriront mal toute l'année. C'est long à faire!

Je trouve aussi que c'est lassant, car j'en suis à ma troisième région de France, et dans toutes les classes, on rencontre le même type d'élève; celui qui ne sait jamais ce qu'il faut faire, celui qui ne s'arrête jamais de parler, le sage etc.

Posté(e) (modifié)

Bonjour a toutes,

Ca fait des mois que je parcours ce forum et très peu de temps que j'y écris...vous lire me rappelle la galère de mon ancien boulot, auquel j'ai décidé d'échapper en me réorientant vers ...votre métier ! Mais à vous lire je me pose de grosses GROSSES questions.

J'étais chargée d'insertion socioprofessionnelle et j'ai craqué comme vous : dans mon dernier poste nous étions 20 collègues dans des locaux exigus et anciens, en "open space", à recevoir à longueur de journée des jeunes, imaginez l'ambiance sonore !! les conversations, les aller-venues, les téléphones de chacun qui sonne, la photocopieuse, le fax et l'imprimante dans un coin de la pièce et bonus, les toilettes sans aération autonome séparées par une porte.L'ambiance électrique car tout le monde s'entend, se gêne, est collé l'un sur l'autre. Bref, j'ai quitté mon CDI mal payé (1500 euros nets...avec des années d'ancienneté non prises en compte) et ensuite je me suis retrouvée dans l'incapacité de bouger de chez moi et de faire un autre projet pendant des mois tellement j'étais mal !

Un jour, j'ai sauté sur une opportunité, un poste d'AVS dans une école maternelle, et j'ai cru me découvrir une nouvelle vocation tellement j'adorais être en classe avec tous ces bambins rafraichissants et pleins de vie...mais ça s'est très mal passé avec l'instit. et l'ambiance est vite devenue invivable, j'ai été mise au placard par l'équipe enseignante et l'IA m'a changée de poste.

Aujourd'hui, je suis aide administrative au directeur d'une école primaire ce qui me permet de découvrir le fonctionnement d'une école, et le projet que j'avais commence à vaciller...l'équipe est super, mais en parcourant les couloirs et en donnant des petits coups de main en classe, je découvre les conditions de travail, classes surchargées, parents absents ou râleurs, programmes lourds...Il m'arrive parfois de surveiller une classe et c'est hyper difficile de faire régner un semblant de calme, les élèves d'aujourd'hui n'ont plus RIEN A VOIR avec l'élève que j'ai été (j'ai 43 ans) et il faut fliquer et râler plus fort pour s'imposer. Pourtant je suis du style grande et costaud mais les surveillances de récré se finissent presque toutes avec un mal de gorge à force de brailler pour les empêcher de se faire du mal mutuellement..

En lisant ce forum, j'en suis à me demander si le remède que j'ai choisi ne sera pas pire que le mal que j'ai quitté ! c'est vous dire..

La seule solution pour moi, car j'aime enseigner, serait d'avoir la certitude de pouvoir travailler avec de petits groupes d'enfants, la gestion de grands groupes de 27-30 enfants me fait carrément peur pour ma santé.

L'enseignement spécialisé le permet-il à votre connaissance ?...

Modifié par LumiNaissance
Posté(e)

Bonjour a toutes,

Ca fait des mois que je parcours ce forum et très peu de temps que j'y écris...vous lire me rappelle la galère de mon ancien boulot, auquel j'ai décidé d'échapper en me réorientant vers ...votre métier ! Mais à vous lire je me pose de grosses GROSSES questions.

J'étais chargée d'insertion socioprofessionnelle et j'ai craqué comme vous : dans mon dernier poste nous étions 20 collègues dans des locaux exigus et anciens, en "open space", à recevoir à longueur de journée des jeunes, imaginez l'ambiance sonore !! les conversations, les aller-venues, les téléphones de chacun qui sonne, la photocopieuse, le fax et l'imprimante dans un coin de la pièce et bonus, les toilettes sans aération autonome séparées par une porte.L'ambiance électrique car tout le monde s'entend, se gêne, est collé l'un sur l'autre. Bref, j'ai quitté mon CDI mal payé (1500 euros nets...avec des années d'ancienneté non prises en compte) et ensuite je me suis retrouvée dans l'incapacité de bouger de chez moi et de faire un autre projet pendant des mois tellement j'étais mal !

Un jour, j'ai sauté sur une opportunité, un poste d'AVS dans une école maternelle, et j'ai cru me découvrir une nouvelle vocation tellement j'adorais être en classe avec tous ces bambins rafraichissants et pleins de vie...mais ça s'est très mal passé avec l'instit. et l'ambiance est vite devenue invivable, j'ai été mise au placard par l'équipe enseignante et l'IA m'a changée de poste.

Aujourd'hui, je suis aide administrative au directeur d'une école primaire ce qui me permet de découvrir le fonctionnement d'une école, et le projet que j'avais commence à vaciller...l'équipe est super, mais en parcourant les couloirs et en donnant des petits coups de main en classe, je découvre les conditions de travail, classes surchargées, parents absents ou râleurs, programmes lourds...Il m'arrive parfois de surveiller une classe et c'est hyper difficile de faire régner un semblant de calme, les élèves d'aujourd'hui n'ont plus RIEN A VOIR avec l'élève que j'ai été (j'ai 43 ans) et il faut fliquer et râler plus fort pour s'imposer. Pourtant je suis du style grande et costaud mais les surveillances de récré se finissent presque toutes avec un mal de gorge à force de brailler pour les empêcher de se faire du mal mutuellement..

En lisant ce forum, j'en suis à me demander si le remède que j'ai choisi ne sera pas pire que le mal que j'ai quitté ! c'est vous dire..

La seule solution pour moi, car j'aime enseigner, serait d'avoir la certitude de pouvoir travailler avec de petits groupes d'enfants, la gestion de grands groupes de 27-30 enfants me fait carrément peur pour ma santé.

L'enseignement spécialisé le permet-il à votre connaissance ?...

Bonjour,

Avant de devenir maître spécialisé, tu dois obtenir le concours de PE.

Dans certaines académies, il n'y a plus de départ en formation spécialisée, il faut le savoir.

J'ai le même âge que toi, et moi aussi, ma santé est mise à mal par nos conditions de travail.

Si tu as le choix, surtout que tu as pointé du doigt et vu les difficultés auxquelles nous sommes confrontés chaque jour, un bon conseil, pense à faire autre chose.

J'ai une amie collègue de 46 ans qui 'était avocate ....... et qui a voulu "enseigner".

La pauvre, elle vient de comprendre que l'on passe dans certains établissements 70% du temps à fliquer, crier, faire de l'administratif.

Elle a des cernes jusqu'en bas de la figure après 15 jours de reprise (comme nous tous).

Désolée, de nos jours en France, jamais je ne pourrais conseiller de devenir PE.

Mal payé, épuisant, boulot +++ à la maison, reconnaissance zéro.

Posté(e)

Bonjour a toutes,

Ca fait des mois que je parcours ce forum et très peu de temps que j'y écris...vous lire me rappelle la galère de mon ancien boulot, auquel j'ai décidé d'échapper en me réorientant vers ...votre métier ! Mais à vous lire je me pose de grosses GROSSES questions.

J'étais chargée d'insertion socioprofessionnelle et j'ai craqué comme vous : dans mon dernier poste nous étions 20 collègues dans des locaux exigus et anciens, en "open space", à recevoir à longueur de journée des jeunes, imaginez l'ambiance sonore !! les conversations, les aller-venues, les téléphones de chacun qui sonne, la photocopieuse, le fax et l'imprimante dans un coin de la pièce et bonus, les toilettes sans aération autonome séparées par une porte.L'ambiance électrique car tout le monde s'entend, se gêne, est collé l'un sur l'autre. Bref, j'ai quitté mon CDI mal payé (1500 euros nets...avec des années d'ancienneté non prises en compte) et ensuite je me suis retrouvée dans l'incapacité de bouger de chez moi et de faire un autre projet pendant des mois tellement j'étais mal !

Un jour, j'ai sauté sur une opportunité, un poste d'AVS dans une école maternelle, et j'ai cru me découvrir une nouvelle vocation tellement j'adorais être en classe avec tous ces bambins rafraichissants et pleins de vie...mais ça s'est très mal passé avec l'instit. et l'ambiance est vite devenue invivable, j'ai été mise au placard par l'équipe enseignante et l'IA m'a changée de poste.

Aujourd'hui, je suis aide administrative au directeur d'une école primaire ce qui me permet de découvrir le fonctionnement d'une école, et le projet que j'avais commence à vaciller...l'équipe est super, mais en parcourant les couloirs et en donnant des petits coups de main en classe, je découvre les conditions de travail, classes surchargées, parents absents ou râleurs, programmes lourds...Il m'arrive parfois de surveiller une classe et c'est hyper difficile de faire régner un semblant de calme, les élèves d'aujourd'hui n'ont plus RIEN A VOIR avec l'élève que j'ai été (j'ai 43 ans) et il faut fliquer et râler plus fort pour s'imposer. Pourtant je suis du style grande et costaud mais les surveillances de récré se finissent presque toutes avec un mal de gorge à force de brailler pour les empêcher de se faire du mal mutuellement..

En lisant ce forum, j'en suis à me demander si le remède que j'ai choisi ne sera pas pire que le mal que j'ai quitté ! c'est vous dire..

La seule solution pour moi, car j'aime enseigner, serait d'avoir la certitude de pouvoir travailler avec de petits groupes d'enfants, la gestion de grands groupes de 27-30 enfants me fait carrément peur pour ma santé.

L'enseignement spécialisé le permet-il à votre connaissance ?...

Bonjour,

Avant de devenir maître spécialisé, tu dois obtenir le concours de PE.

Dans certaines académies, il n'y a plus de départ en formation spécialisée, il faut le savoir.

J'ai le même âge que toi, et moi aussi, ma santé est mise à mal par nos conditions de travail.

Si tu as le choix, surtout que tu as pointé du doigt et vu les difficultés auxquelles nous sommes confrontés chaque jour, un bon conseil, pense à faire autre chose.

J'ai une amie collègue de 46 ans qui 'était avocate ....... et qui a voulu "enseigner".

La pauvre, elle vient de comprendre que l'on passe dans certains établissements 70% du temps à fliquer, crier, faire de l'administratif.

Elle a des cernes jusqu'en bas de la figure après 15 jours de reprise (comme nous tous).

Désolée, de nos jours en France, jamais je ne pourrais conseiller de devenir PE.

Mal payé, épuisant, boulot +++ à la maison, reconnaissance zéro.

+ 1

Si je peux donner un conseil, c'est plutôt devenir éducateur spécialisé, mais il y a très peu de postes. Et pourquoi pas :créer sa propre école?

Posté(e)

Pareil, j'envie à la limite les postiers des petits villages...un boulot simple, où il n'y a pas besoin de se tirer les cheveux pour réfléchir à tout, pas de bruit évidemment, sans prise de tête de ce genre quoi

Juste parce que ma mère a été factrice et que, parfois, j'ai rêvé de faire ce métier : rentrer tôt chez soi, ne pas ramener de boulot à la maison, ... mais facteur c'est aussi : être dehors par tous les temps, même sous la neige, même sous une pluie battante (et être mouillé(e) jusqu'aux sous-vêtements), se faire courser par des chiens (et se faire mordre aussi...), souffrir très tôt du canal carpien à force de répéter le même geste pour trier le courrier, ... Bref, je pense que tous les métiers ont leurs avantages et leurs inconvénients.

Et en ce qui concerne les postiers en bureau (ma grand-mère a travaillé au guichet après quelques années de distribution de courrier), la pression de la hiérarchie est très forte, il faut "faire du chiffre" en vendant certains produits. Bon, en plus ma grand-mère a connu un braquage de son bureau de poste.

En ce qui concerne le bruit, il est vrai qu'une classe en perpétuel brouhaha est très pénible mais ce qui m'agace le plus, ce sont les rangs anarchiques et bruyants. Je suis un vrai dragon sur ce point et ça a payé avec mes affreux CM2 de l'an passé mais c'était un "combat" de tous les instants.

Posté(e)

Tous les métiers ont leurs inconvénients oui , après on est plus ou moins aptes à les gérer...

Posté(e)

Ah ! Je convoite un boulot administratif bien au calme, bien au chaud ...... :)

Vous me direz que rôde tout le temps un chef de service etc, etc .....

Bref, pour avoir lu pas mal de témoignages de gens qui ont connu le job d'instit, et qui ont passé des concours administratifs, personne ne voudrait revenir en arrière!

Passé un certain nombre d'années à l'exercer, et dans des secteurs difficiles et chargés, ça se comprend aisément.

Mais bon sang! Notre génération ne connaîtra pas la retraite d'instit à 55 ans!!

Pensons à notre devenir, ou comment assurer nos nombreuses années de cotisation en ayant le moins de casse possible.

J'ai envie de voir grandir mes gosses le + longtemps possible et ne pas péter les plombs et mettre des mois à m'en remettre comme j'ai connu il n'y a pas si longtemps .....

Posté(e)

Ah ! Je convoite un boulot administratif bien au calme, bien au chaud ...... :)

Vous me direz que rôde tout le temps un chef de service etc, etc .....

Bref, pour avoir lu pas mal de témoignages de gens qui ont connu le job d'instit, et qui ont passé des concours administratifs, personne ne voudrait revenir en arrière!

Passé un certain nombre d'années à l'exercer, et dans des secteurs difficiles et chargés, ça se comprend aisément.

Mais bon sang! Notre génération ne connaîtra pas la retraite d'instit à 55 ans!!

Pensons à notre devenir, ou comment assurer nos nombreuses années de cotisation en ayant le moins de casse possible.

J'ai envie de voir grandir mes gosses le + longtemps possible et ne pas péter les plombs et mettre des mois à m'en remettre comme j'ai connu il n'y a pas si longtemps .....

Oui, il faut prendre son destin en main.

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