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Directeur incompétent , non professionnel: saturation de l'équipe


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Posté(e)

C'est une bonne nouvelle pour l'école, pas forcément pour le directeur en question qui doit certainement avoir besoin d'aide. En déplaçant des collègues qui dysfonctionnent on ne règle rien, on déplace le dysfonctionnement.

Pas faux.

Et dans les cas, courants, où on déplace le malheureux directeur victime du harcèlement de ses collègues, les dysfonctionnements perdurent dans l'école en question.

Il y a des fois où le directeur est ravi qu'on lui ôte sa direction voir qu'on le déplace..... Et ce n'est pas pour cela que les dysfonctionnements perdurent ou que les problèmes sont déplacés ailleurs, c'est juste que cette équipe ne fonctionnait pas, d'un coté comme de l'autre....

N'oublions pas que nous travaillons avec de l'humain et que non ce n'est pas le monde des bisounours....

Il arrive parfois qu'on ne laisse aucune chance à quelqu'un de faire la preuve de ses compétences Quelque soient l'investissement de la personne, ses compétences et même les résultats qu'elle obtient, elle sera suspecte aux yeux des autres. et mise à l'écart, plus ou moins consciemment, par ses collègues qui lui fabriqueront, parfois sans le vouloir, une mauvaise réputation Les raisons en sont souvent obscures. Peut-être la victime a-t-elle un physique disgracieux ou semble excentrique. Peut-être a-t-elle un caractère introverti ou bien est-elle maladroite dans ses relations humaines . Cela n'arrive pas qu'aux directeurs, mais quand c'est un directeur qui se retrouve ainsi marqué de mauvaise réputation, les conséquences professionnelles sont terribles car il ne pourra plus remplir sa mission.

S'il ne part pas de lui même, la hiérarchie ne souhaitant pas de vagues préférera souvent déplacer ce directeur qui perdra non seulement sa fonction, mais aussi sa classe, puisse qu'il ne lui sera pas possible de rester dans son école.

Comme il s'agit souvent des gens investis dans leur métier qui ont toujours voulu bien faire, sans se ménager ou compter leurs heures, les conséquences psychiques d'un tel échec seront désastreuses, leur vie et leur carrière brisée.

Ils chercheront à comprendre comment ils ont pu en arriver là. Et ne trouveront pas de réponse, car il n'y en a pas. On dira qu'ils ne savent pas communiquer, qu'ils s'isolent, qu'ils sont trop ceci ou pas assez cela. Des reproches qui resteront toujours du domaine de la subjectivité, rien de concret ou de factuel.

Malheureusement, ce que je décris n'est pas si rare qu'on le croit.

Bien sûr ses collègues diront qu'ils n'ont pas voulu un tel désastre. Et ils seront sincères. L'éducation nationale ne rassemble pas, heureusement, tous les pervers narcissiques de la terre.

Mais tout de même.

Posté(e)

Heuuu.. Tu dois confondre avec un autre post ... Je n'ai jms parle d AD ... Cela ne nous regarderait d'ailleurs absolument pas ...

Pour info son habilitation lui a été oté , et il est retourne dans ses fonction de maître DU RAZEd..

Merci a vous d'avoir pris le temps de me lire et de me répondre ( même si pour certains j'ai bien compris que le fait de toucher a la fonction de directeur avait du mal a passer m'enfin passons ..) merci encore !

Oui, tu as la vision de ta situation, ici j'ai la vision de la situation inverse.

Pour que l'inspection agisse, il a dû y avoir de gros dysfonctionnements mais déplacer le collègue n'est à mon sens pas la solution. J'espère qu'il recevra de l'aide.

Contente pour vous que votre équipe se forme et que vous puissiez travailler plus sereinement.

Perso ce n'est pas le fait de toucher au directeur (fonction) qui m'a touchée, c'est de lire des infos sur sa santé, jugée. Si le directeur venait à l'école, sous AD, c'est que le médecin le jugeait apte à travailler, à tort ou à raison.

Bon courage pour la suite !

Posté(e)

C'est une bonne nouvelle pour l'école, pas forcément pour le directeur en question qui doit certainement avoir besoin d'aide. En déplaçant des collègues qui dysfonctionnent on ne règle rien, on déplace le dysfonctionnement.

Pas faux.

Et dans les cas, courants, où on déplace le malheureux directeur victime du harcèlement de ses collègues, les dysfonctionnements perdurent dans l'école en question.

Il y a des fois où le directeur est ravi qu'on lui ôte sa direction voir qu'on le déplace..... Et ce n'est pas pour cela que les dysfonctionnements perdurent ou que les problèmes sont déplacés ailleurs, c'est juste que cette équipe ne fonctionnait pas, d'un coté comme de l'autre....

N'oublions pas que nous travaillons avec de l'humain et que non ce n'est pas le monde des bisounours....

Il arrive parfois qu'on ne laisse aucune chance à quelqu'un de faire la preuve de ses compétences Quelque soient l'investissement de la personne, ses compétences et même les résultats qu'elle obtient, elle sera suspecte aux yeux des autres. et mise à l'écart, plus ou moins consciemment, par ses collègues qui lui fabriqueront, parfois sans le vouloir, une mauvaise réputation Les raisons en sont souvent obscures. Peut-être la victime a-t-elle un physique disgracieux ou semble excentrique. Peut-être a-t-elle un caractère introverti ou bien est-elle maladroite dans ses relations humaines . Cela n'arrive pas qu'aux directeurs, mais quand c'est un directeur qui se retrouve ainsi marqué de mauvaise réputation, les conséquences professionnelles sont terribles car il ne pourra plus remplir sa mission.

S'il ne part pas de lui même, la hiérarchie ne souhaitant pas de vagues préférera souvent déplacer ce directeur qui perdra non seulement sa fonction, mais aussi sa classe, puisse qu'il ne lui sera pas possible de rester dans son école.

Comme il s'agit souvent des gens investis dans leur métier qui ont toujours voulu bien faire, sans se ménager ou compter leurs heures, les conséquences psychiques d'un tel échec seront désastreuses, leur vie et leur carrière brisée.

Ils chercheront à comprendre comment ils ont pu en arriver là. Et ne trouveront pas de réponse, car il n'y en a pas. On dira qu'ils ne savent pas communiquer, qu'ils s'isolent, qu'ils sont trop ceci ou pas assez cela. Des reproches qui resteront toujours du domaine de la subjectivité, rien de concret ou de factuel.

Malheureusement, ce que je décris n'est pas si rare qu'on le croit.

Bien sûr ses collègues diront qu'ils n'ont pas voulu un tel désastre. Et ils seront sincères. L'éducation nationale ne rassemble pas, heureusement, tous les pervers narcissiques de la terre.

Mais tout de même.

Très bien écrit !

J'ai hélas des copains qui ont vécu ce que tu décris si bien et qui, des années après, ne s'en sont pas remis, même quand, en apparence, ils semblent avoir remonté la pente.

Posté(e)

Bonsoir,

cette discussion semble close mais sur ce que je lis en parcourant le topic , certaines réactions me laissent un peu songeur ... directeur moi même, je me plais à penser que si un jour j'accumulais ainsi les erreurs , je trouverais à mes côtés une équipe pour en parler franchement plutôt que des gens qui viennent se répandre sur un forum anonymement.

Depuis un poste d'adjoint, moins exposé, c'est toujours si facile de remarquer les erreurs , même les plus anodines , ... tous les directeurs en font .. je vois même quelque chose de malsain à venir les détailler ici.

J'espère que vous vous appliquez à vous même la même exigence qu'envers vos directeurs !

Posté(e)

Moi aussi, je suis perplexe, mais pas pour les mêmes raisons que toi.

Je lis beaucoup de choses sur le forum, peut-être trop, même. Je trouve qu'il y a une sorte de "corporatisme" de directeurs qui parfois me gêne.

Autant je trouve que Soso a des reproches inappropriées (le taux des études, le cahier navette...), autant je pense que nier son mal être en rejetant sa réaction et en la jugeant me semble exagéré. Je pense que rien n'est jamais tout blanc ou tout noir, et que donner plus de crédit à l'un qu'à l'autre est dangereux, puisque nous n'avons toujours qu'une version. C'est d'ailleurs pour cela qu'en général, je me garde bien d'intervenir sur ce genre de post. Mais, parfois, de ce type d'échange émerge une idée qui me gêne profondément, à savoir qu'il y aurait d'un côté les méchants adjoints qui ne comprennent rien à la fonction de directeur et qui ne font rien pour l'aider, et d'autre part les gentils directeurs incompris et surchargés de travail, harcelés et jamais soutenus par leurs adjoints.

Je pense que ce n'est pas si simple que ça, pour avoir rencontrer des directeurs et des adjoints en souffrance... Chacun se trouve dans son bon droit, et chacun a raison et tort à la fois.

De ce que je constate, c'est avant tout un manque de communication qui entraîne un bon nombre de difficulté. Que ce soit parce que le directeur décide sans expliquer ses choix, parce que les adjoint ont des habitudes qui les rassurent bien qu'elles soient "mauvaises", parce que le directeur refuse de communiquer sur ses difficultés pro et/ou perso, parce que l'adjoint refuse de travailler en équipe, parce que le directeur cache des informations ou les truque, parce que l'adjoint refuse d'appliquer ce qui a été décidé collectivement, parce que le directeur ne communique pas sur le cadre légal.....

Tout cela existe, et pas plus loin que dans nos campagnes angevines, bat49.

Je pense que nul n'est parfait, surtout pas moi, mais que le principal, c'est de se remettre en cause. Par exemple, Soso, dans ton premier post, tu ne demandes pas si ce que tu prends pour des manquements en étaient vraiment... car pas tous pour moi, loin de là! et je trouve que du coup, tu oublies de remettre en cause ce que tu sais, même si tu fais la démarche de venir ici, ce qui est un premier pas.

De même, certaines interventions me gênent, car il existe aussi des directeurs qui refusent de remettre leur pratique en cause malgré des adjoints coopérants, et il y a une sorte de déni de ces situations sur cette partie du forum, sans vouloir vous vexer.

Moi aussi, j'espère que je suis suffisamment dans le dialogue pour que mes adjoints puissent me dire quand je dysfonctionne sans passer par le forum. Et j'espère que je serai suffisamment dans l'écoute pour les entendre et me remettre en cause. J'espère qu'ils resteront à l'écoute quand je leur dirai qu'ils dysfonctionnent en retour, et ce avec suffisamment de bienveillance pour qu'ils l'entendent...

Par contre, je pense qu'un directeur "très introverti" et "maladroit dans ses relations humaines" a un énorme travail sur lui à faire, car l'apparente aisance joue beaucoup sur la réussite d'une direction, à mon sens (qui est peut-être faux). C'est sûrement malheureux, car subjectif, mais c'est ce que je constate dans les tournées d'école...

Enfin, MarieAntoinette, ne le prends pas mal, mais je te lis souvent sur ce type de sujet, et une question me brûle. Est-ce que tu vas bien? Je te trouve bien amère sur la direction, et, bien que je partage ton opinion sur l'ingratitude et la difficulté de la fonction, il y a des écoles dont j'ai aimé avoir la direction malgré tout (pas la première, mais toutes les autres, en fait, avec une mention spéciale à ma dernière et une très spéciale à mon actuelle).

  • J'adhère 2
Posté(e)

Heu ! que vient faire ma santé dans ce sujet ? Merci de t'en soucier, Mayre, mais je trouve ta remarque déplacée.

Si ça peut te contenter, que crois que j'ai un début de gastro, le mauvais temps probablement. Je peux quand même poster ? :)

Je suis d'accord avec toi, il ne devrait pas y a voir de corporatisme de directeurs, car adjoints et directeurs sont d'abord des collègues appelés à travailler ensemble. Les directeurs n'ont pas de statut particulier. Si tu ressens du corporatisme, c'est le signe qu'il y a un malaise quelque part.

Oui, la fonction est ingrate, mais je la trouve aussi passionnante et riche en satisfactions, pourvu qu'on nous donne les moyens de l'accomplir pleinement.

Posté(e)

Non, tu te méprends, je m'inquiète pour ton ressenti professionnel et les conséquences que cela peut avoir sur ton moral, et ce n'était pas une agression. Je ne comprends pas que tu le prennes comme tel... Mais je ne ferai donc pas l'erreur deux fois.

Le corporatisme qui me gêne ici ne se retrouve pas particulièrement dans la vraie vie, mais plutôt sur le forum. Cela est dû au fait qu'on a toujours un seul son de cloche, ce qui masque parfois tout un pan de la situation, car, objectivement, il est rare (mais cela existe) que les gens soient vraiment malveillants consciemment.

Posté(e)

Moi aussi, je suis perplexe, mais pas pour les mêmes raisons que toi.

Je lis beaucoup de choses sur le forum, peut-être trop, même. Je trouve qu'il y a une sorte de "corporatisme" de directeurs qui parfois me gêne.

Autant je trouve que Soso a des reproches inappropriées (le taux des études, le cahier navette...), autant je pense que nier son mal être en rejetant sa réaction et en la jugeant me semble exagéré. Je pense que rien n'est jamais tout blanc ou tout noir, et que donner plus de crédit à l'un qu'à l'autre est dangereux, puisque nous n'avons toujours qu'une version. C'est d'ailleurs pour cela qu'en général, je me garde bien d'intervenir sur ce genre de post. Mais, parfois, de ce type d'échange émerge une idée qui me gêne profondément, à savoir qu'il y aurait d'un côté les méchants adjoints qui ne comprennent rien à la fonction de directeur et qui ne font rien pour l'aider, et d'autre part les gentils directeurs incompris et surchargés de travail, harcelés et jamais soutenus par leurs adjoints.

Je pense que ce n'est pas si simple que ça, pour avoir rencontrer des directeurs et des adjoints en souffrance... Chacun se trouve dans son bon droit, et chacun a raison et tort à la fois.

De ce que je constate, c'est avant tout un manque de communication qui entraîne un bon nombre de difficulté. Que ce soit parce que le directeur décide sans expliquer ses choix, parce que les adjoint ont des habitudes qui les rassurent bien qu'elles soient "mauvaises", parce que le directeur refuse de communiquer sur ses difficultés pro et/ou perso, parce que l'adjoint refuse de travailler en équipe, parce que le directeur cache des informations ou les truque, parce que l'adjoint refuse d'appliquer ce qui a été décidé collectivement, parce que le directeur ne communique pas sur le cadre légal.....

Tout cela existe, et pas plus loin que dans nos campagnes angevines, bat49.

Je pense que nul n'est parfait, surtout pas moi, mais que le principal, c'est de se remettre en cause. Par exemple, Soso, dans ton premier post, tu ne demandes pas si ce que tu prends pour des manquements en étaient vraiment... car pas tous pour moi, loin de là! et je trouve que du coup, tu oublies de remettre en cause ce que tu sais, même si tu fais la démarche de venir ici, ce qui est un premier pas.

De même, certaines interventions me gênent, car il existe aussi des directeurs qui refusent de remettre leur pratique en cause malgré des adjoints coopérants, et il y a une sorte de déni de ces situations sur cette partie du forum, sans vouloir vous vexer.

Moi aussi, j'espère que je suis suffisamment dans le dialogue pour que mes adjoints puissent me dire quand je dysfonctionne sans passer par le forum. Et j'espère que je serai suffisamment dans l'écoute pour les entendre et me remettre en cause. J'espère qu'ils resteront à l'écoute quand je leur dirai qu'ils dysfonctionnent en retour, et ce avec suffisamment de bienveillance pour qu'ils l'entendent...

Par contre, je pense qu'un directeur "très introverti" et "maladroit dans ses relations humaines" a un énorme travail sur lui à faire, car l'apparente aisance joue beaucoup sur la réussite d'une direction, à mon sens (qui est peut-être faux). C'est sûrement malheureux, car subjectif, mais c'est ce que je constate dans les tournées d'école...

Enfin, MarieAntoinette, ne le prends pas mal, mais je te lis souvent sur ce type de sujet, et une question me brûle. Est-ce que tu vas bien? Je te trouve bien amère sur la direction, et, bien que je partage ton opinion sur l'ingratitude et la difficulté de la fonction, il y a des écoles dont j'ai aimé avoir la direction malgré tout (pas la première, mais toutes les autres, en fait, avec une mention spéciale à ma dernière et une très spéciale à mon actuelle).

+++ 1 :)

Posté(e)

uiète pour toNon, tu te méprends, je m'inqn ressenti professionnel et les conséquences que cela peut avoir sur ton moral, et ce n'était pas une agression. Je ne comprends pas que tu le prennes comme tel... Mais je ne ferai donc pas l'erreur deux fois.

Non, tu te méprends, je m'inquiète pour ton ressenti professionnel et les conséquences que cela peut avoir sur ton moral, et ce n'était pas une agression. Je ne comprends pas que tu le prennes comme tel... Mais je ne ferai donc pas l'erreur deux fois.

Le corporatisme qui me gêne ici ne se retrouve pas particulièrement dans la vraie vie, mais plutôt sur le forum. Cela est dû au fait qu'on a toujours un seul son de cloche, ce qui masque parfois tout un pan de la situation, car, objectivement, il est rare (mais cela existe) que les gens soient vraiment malveillants consciemment.

Le corporatisme qui me gêne ici ne se retrouve pas particulièrement dans la vraie vie, mais plutôt sur le forum. Cela est dû au fait qu'on a toujours un seul son de cloche, ce qui masque parfois tout un pan de la situation, car, objectivement, il est rare (mais cela existe) que les gens soient vraiment malveillants consciemment.

Je pense que tu n'es pas agressive, effectivement. Mets trois smileys et c'est réglé! :):):)

Posté(e)

Je ne défends pas à tout prix ce directeur qui doit avoir ses torts si la hiérarchie l'a déplacé.

En fait dans ce que je disais il y avait un ressenti .... peut être pas très objectif . Mais, comme quelqu'un le disait plus haut; le collègue qui crie au scandale parce qu'on a pas encore fait d'exercice incendie au 1er trimestre , ou que les listes sont incomplètes, râlera encore plus parce qu'on lui demande des comptes sur les horaires de la récré, les papiers à rendre en temps et en heure.

C'est le sens de ma dernière phrase.

PS : Mayre on se connait ? IUFM Angers 2003-2004 ?

Posté(e)

Oui, ça c'est ma promo... On doit donc se connaître... :)

En même temps, mon pseudo n'est pas très anonyme pour qui a déjà entendu mon prénom!

Posté(e)

Mayre, je t'aime bien, mais parler de corporatisme pour les dirlos me laisse perplexe... Depuis que je traine sur ces forums de temps à autre, je me suis faite traiter de tous les noms, je suis passée de la stalinienne de base à la fasciste pur sucre, tout ça parce que je défendais un statut pour les directeurs. La menace du petit-chef, le doigt sur la couture du pantalon en obéissant derechef aux élus ou à la hiérarchie, que n'ai-je lu ici... Mais le pire, c'est l'unique définition du taf de directeur en termes de travail administratif...... le directeur ne serait qu'un administratif qui s'ignore..... soupirs.....

C'est dire, la méconnaissance des missions qui incombent à cette... fonction....

Je persiste à dire que, tant que l'on restera dans le flou de la fonction, tant qu'il n'y aura pas de réelle formation pour devenir dirlo, tant qu'il n'y aura pas une reconnaissance de ce qui devrait être un vrai métier, il y aura mults dysfonctionnements comme ceux décrits ici, par incompétence, méconnaissance, défiance....

Je précise que je ne suis pas un hérault du GDID : j'ai quitté le navire, là aussi.... il n'empêche....

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