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Décision urgente à prendre...


lolita85

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Ben, honnêtement, je ne suis pas capable de dire la différence entre un psychiatre et un psychologue à part du point de vue de mon porte-monnaie.

Mais je persiste, il y a de très bons psychiatres.

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L'essentiel est de trouver quelqu'un qui nous aide à aller mieux, que ce soit psychiatre ou psychologue importe peu (sauf financièrement).

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Ben, honnêtement, je ne suis pas capable de dire la différence entre un psychiatre et un psychologue à part du point de vue de mon porte-monnaie.

Mais je persiste, il y a de très bons psychiatres.

Le psy, le sait, lui. Le psychologue va aider à démêler les soucis familiaux ou va soutenir lors des drames de la vie. Le psychiatre va aider les pathologies plus lourdes, plus ancrées en nous. Leur formation est différente, chacune à ses limites.

Par exemple, après un gros choc comme un deuil ou la survenue d'un cancer, le psychiatre ne servira pas vraiment (sauf à la bienveillance de l'écoute).

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Ben, honnêtement, je ne suis pas capable de dire la différence entre un psychiatre et un psychologue à part du point de vue de mon porte-monnaie.

Mais je persiste, il y a de très bons psychiatres.

Le psy, le sait, lui. Le psychologue va aider à démêler les soucis familiaux ou va soutenir lors des drames de la vie. Le psychiatre va aider les pathologies plus lourdes, plus ancrées en nous. Leur formation est différente, chacune à ses limites.

Par exemple, après un gros choc comme un deuil ou la survenue d'un cancer, le psychiatre ne servira pas vraiment (sauf à la bienveillance de l'écoute).

Ben mon psychiatre a fait le boulot d'un psychologue.

Mais si on résume, seul ceux qui ont les moyens peuvent se faire soigner. Pour les autres, c'est seulement s'ils sont bien atteints (quoique avec le métier, on doit en développer des pathologies).

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Ben, honnêtement, je ne suis pas capable de dire la différence entre un psychiatre et un psychologue à part du point de vue de mon porte-monnaie.

Mais je persiste, il y a de très bons psychiatres.

Le psy, le sait, lui. Le psychologue va aider à démêler les soucis familiaux ou va soutenir lors des drames de la vie. Le psychiatre va aider les pathologies plus lourdes, plus ancrées en nous. Leur formation est différente, chacune à ses limites.

Par exemple, après un gros choc comme un deuil ou la survenue d'un cancer, le psychiatre ne servira pas vraiment (sauf à la bienveillance de l'écoute).

Ben mon psychiatre a fait le boulot d'un psychologue.

Mais si on résume, seul ceux qui ont les moyens peuvent se faire soigner. Pour les autres, c'est seulement s'ils sont bien atteints (quoique avec le métier, on doit en développer des pathologies).

En gros, c'est ça! :unsure:

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Certains psychiatres ont une spécialité de psychothérapie ce qui permet de travailler sur soi en même temps que donner un traitement médical en cas de nécessité. Il faut se renseigner sur les différents psychiatres près de chez toi.

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Effectivement la différence entre psychiatre et psychologue c'est que l'un peut juger utile et prescrire une médication, l'autre non. A près, un pbon psychiatre renverra vers un psychologue s'il le juge nécessaire, et inversement. Don c au final aller voir l'un ou l'autre au départ, ça n'a pas d'importance, le plus dur c'est d'y aller !

Bon courage il faut s'accrocher, on finit par aller mieux!

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Mais si on résume, seul ceux qui ont les moyens peuvent se faire soigner. Pour les autres, c'est seulement s'ils sont bien atteints (quoique avec le métier, on doit en développer des pathologies).

Oh oui, on en développe des pathos : en 17 ans, je suis devenue complètement folle (suivi psychiatre depuis 4 ans). :devil:

J'alterne les périodes avec ou sans médocs.

Bruit, sollicitations non stop avec des classes de 30, pas de repos psychique quand tu rentres chez toi à cause du boulot d'école que limite pourtant (majoré pour moi par la présence de jeunes enfants).

Soucis auditifs, opération varices (travail debout), paye de nullarde .....

Bref, tout pour aller très bien ^^

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Mais si on résume, seul ceux qui ont les moyens peuvent se faire soigner. Pour les autres, c'est seulement s'ils sont bien atteints (quoique avec le métier, on doit en développer des pathologies).

Oh oui, on en développe des pathos : en 17 ans, je suis devenue complètement folle (suivi psychiatre depuis 4 ans). :devil:

J'alterne les périodes avec ou sans médocs.

Bruit, sollicitations non stop avec des classes de 30, pas de repos psychique quand tu rentres chez toi à cause du boulot d'école que limite pourtant (majoré pour moi par la présence de jeunes enfants).

Soucis auditifs, opération varices (travail debout), paye de nullarde .....

Bref, tout pour aller très bien ^^

Pauvre Amélie. :unsure:

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Mais si on résume, seul ceux qui ont les moyens peuvent se faire soigner. Pour les autres, c'est seulement s'ils sont bien atteints (quoique avec le métier, on doit en développer des pathologies).

Oh oui, on en développe des pathos : en 17 ans, je suis devenue complètement folle (suivi psychiatre depuis 4 ans). :devil:

J'alterne les périodes avec ou sans médocs.

Bruit, sollicitations non stop avec des classes de 30, pas de repos psychique quand tu rentres chez toi à cause du boulot d'école que limite pourtant (majoré pour moi par la présence de jeunes enfants).

Soucis auditifs, opération varices (travail debout), paye de nullarde .....

Bref, tout pour aller très bien ^^

Pauvre Amélie. :unsure:

Oé Katarina, le moral n'est pas bon en ce moment, pas la peine d'étaler mais ça atteint des sommets rarement atteints.

J'espère vraiment des jours plus doux ....

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