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Décision urgente à prendre...


lolita85

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Ce qui me stresse et m'attriste aussi c'est que j'ai commencé une formation de psychologie par correspondance et j'ai des difficultés à comprendre en mathématiques et biologie ...

Jétais super motivée mais là étant seule à préparer chez moi, je panique car personne pour m'aider.

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Lolita, essaie d'arrêter de te poser autant de questions.

Ce trop plein ne te permet pas de te poser sereinement. Respire un bon coup, accorde -toi du REPOS pour le corps et pour l'esprit et tu verras les choses sous un autre angle. Des solutions t'apparaîtront et en parlant avec ton psy, tu allègeras le poids que tu portes.

Les autres ne sont pas toi, ne vivent pas ce que tu vis, et quand bien même, le ressenti de chacun est différent.

Pense à toi d'abord, à ce qui est le mieux pour toi.

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Concernant tes cours de maths et psycho, n'y a-t-il pas de forums concernant la prépa de ce concours ? Tu aurais sans doute les réponses aux questions que tu te poses.

Par ailleurs, je pense que si ce sujet te prend la tête pour le moment, laisse le de côté, fais ce dont tu as envie : lire, regarder la télé, te promener ou autre chose.

Quand je suis en arrêt (ça m'arrive souvent hélas...), j'envoie tout "bouler" (ménage, cuisine, école etc) et je fais ce qu'il me plaît. Par exemple, j'adore jouer à un jeu en ligne sur mon ordi. Je parle à des gens que je connais virtuellement depuis 2 ans maintenant et ça me change les idées car eux ne connaissent pas ma vie, mes problèmes au quotidien et me parlent d'un sujet que j'aime : le jeu. Libère toi l'esprit, personne ne t'en voudra, mais si c'était le cas, ces gens là seraient néfastes pour toi donc éloigne toi d'eux. Courage, c'est un mauvais moment, mais tôt ou tard tu t'en sortiras.

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Concernant tes cours de maths et psycho, n'y a-t-il pas de forums concernant la prépa de ce concours ? Tu aurais sans doute les réponses aux questions que tu te poses.

Par ailleurs, je pense que si ce sujet te prend la tête pour le moment, laisse le de côté, fais ce dont tu as envie : lire, regarder la télé, te promener ou autre chose.

Quand je suis en arrêt (ça m'arrive souvent hélas...), j'envoie tout "bouler" (ménage, cuisine, école etc) et je fais ce qu'il me plaît. Par exemple, j'adore jouer à un jeu en ligne sur mon ordi. Je parle à des gens que je connais virtuellement depuis 2 ans maintenant et ça me change les idées car eux ne connaissent pas ma vie, mes problèmes au quotidien et me parlent d'un sujet que j'aime : le jeu. Libère toi l'esprit, personne ne t'en voudra, mais si c'était le cas, ces gens là seraient néfastes pour toi donc éloigne toi d'eux. Courage, c'est un mauvais moment, mais tôt ou tard tu t'en sortiras.

Quand tu t'arrêtes c 'est combien de temps?

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Entre 1 jour et 5 semaines. Mais les 5 semaines c'est à coup de 10-15 jours prolongés à chaque fois, jamais 5 semaines d'un coup.

Et généralement, ça arrive vers la 3ème semaine de la période (donc des fois ça me fait 6-7 semaines d'arrêt avec les vacances - et c'est pas de trop) mais personne ne me critique parmi mes collègues, elles savent ce que j'ai, m'ont vu de nombreuses fois au plus mal et même me poussent à me mettre en arrêt. L'avis des parents ? Je m'en fiche. La secrétaire ? Elle a fini par me connaître, c'est ainsi.

On est une école difficile et comme le disent mes collègues (et comme je le pense désormais) j'aurais pas une médaille à faire passer mon travail avant ma santé. C'est triste car il faut souvent qu'il arrive un truc malheureux à certaines personnes pour qu'elles s'en rendent compte.

Je raconte un peu ma vie mais si ça te permet d'avoir ce "tilt" (j'ai pas le bon mot), ce serait bien. La santé avant tout, si tu savais comme elle est précieuse...

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Oui mais comment vivez vous le fait d'être en arrêt ? Ne culpabilisez vous pas ? :blush:

Quand vous voyez les autres aller travailler autour de vous ? Vous ne vous sentez pas mal ? Et pour sortir, aller en courses? :unsure:

Suis je la seule à me sentir si coupable ? :blush:

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Oui mais comment vivez vous le fait d'être en arrêt ? Ne culpabilisez vous pas ? :blush:

Quand vous voyez les autres aller travailler autour de vous ? Vous ne vous sentez pas mal ? Et pour sortir, aller en courses? :unsure:

Suis je la seule à me sentir si coupable ? :blush:

Oui, la première fois ça fait bizarre. On est partagé entre l'étonnement que ce soit possible et la culpabilité, l'étrange sensation que c'est nécessaire et la peur d'avoir à s'en justifier, etc. Bref, ce n'est pas une situation "normale" que d'avoir à s'arrêter pendant que les autres continuent. Mais pour autant, est-ce que la souffrance au travail est une chose "normale"? Est-ce que se mettre au service des autres est une raison pour s'oublier soi-même? N'y a-t-il pas un moment où l'on doit laisser refroidir un moteur qu'on nous demande sans cesse de pousser à son maximum?

Travailler oui, mais si c'est pour en crever, non!

On peut toujours se dire que si on craque c'est qu'on n'a pas su bien gérer, qu'on est moins résistant que les autres, qu'on est nul, qu'on aurait dû choisir une autre voie mais que maintenant c'est trop tard. Bon, ça c'est ce qu'on peut se dire quand justement on est au plus bas, c'est normal de passer par cette phase mais les pensées qui nous envahissent alors ne sont pas le reflet de la réalité. Elles font partie de la souffrance qui a fait que l'on a du s'arrêter.

Bien souvent ceux qui craquent sont ceux qui justement se sont trop donnés, à force d'abnégation, d'altruisme et de perfectionnisme, ils ont poussé la machine trop loin, cru tout pouvoir faire tout seuls, persuadés qu'il avaient une constante obligation de résultat.

Alors il faut réussir à prendre du recul, s'y forcer au besoin.

L'enseignant bosse dans l'humain et c'est ce qu'il y a de plus dur, de plus éprouvant.

De temps en temps il faut se remettre deux ou trois choses dans le crâne:

On est fonctionnaire, là pour appliquer des consignes venues d'en haut.

On n'est pas irremplaçable.

On a droit à la santé et à la protection.

Alors, quand ça va, on y va, on se donne, on s'oublie. Mais quand ça ne va plus, on a le droit de faire une pause, on a le droit de se soigner, on a le droit de se mettre à l'abri le temps de se réparer. C'est un DROIT, pas une défection, pas un abandon, pas une honte, juste un DROIT.

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