madouceprovence Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Moi aussi , 19 ans de carrière , j'y pense depuis un bon moment . La seule reconversion qui me semble " accessible" ( je parle pour moi ) ce serait de me mettre à mon compte, de prendre une boutique , car il est vrai que nous avons l'habitude de ne pas avoir de chef constamment sur le dos , à nous surveiller . Etc... mais là où je vis, il y a peu d'occasions , pas de tourisme bref ... L'impasse ..
Amelie375 Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Moi aussi , 19 ans de carrière , j'y pense depuis un bon moment . La seule reconversion qui me semble " accessible" ( je parle pour moi ) ce serait de me mettre à mon compte, de prendre une boutique , car il est vrai que nous avons l'habitude de ne pas avoir de chef constamment sur le dos , à nous surveiller . Etc... mais là où je vis, il y a peu d'occasions , pas de tourisme bref ... L'impasse .. J'extrapole un peu le sujet, mais on voit encore ici les limites d'être dans un pays qui est devenu un problème pour les gens qui veulent se réorienter, se mettre à leur compte, tant les charges sont lourdes, et la crise aggravant tout ça, les gens sont peu enclins à consommer pour faire vivre les petits commerces.
maravilla66 Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Septembre 2014 : T28 !! Je viens apporter ma petite contribution : j'ai eu moi aussi mes moments de doutes, d'envie d'ailleurs etc... J'ai donc essayé soit de changer de classe, soit de changer d'école, soit de changer de fonction au fil de mes envies et de ma carrière : J'ai fait de la CLIN, de l'élémentaire, de la Direction d'école (élem et mater) et en 2012 j'ai passé le CAPA-SH. Cela m'a vraiment beaucoup beaucoup plu : la formation, la Clis, le relationnel avec les enfants, la différenciation, le travail en projets, les projets sympas, retrouver certains enfants sur plusieurs années, mon AVS co, l'effectif réduit ( 12, cela n'a rien mais alors rien à voir avec 25, 27 ou plus)... Bref, j'ai l'impression DE NE PAS FAIRE LE MEME METIER !!! les partenaires, le secteur médico-social etc, tout cela est très enrichissant... Je rejoins mes rêves d'enfant : je voulais être maîtresse ou pédiatre... Heu les maths et moi c'était bof bof alors j'ai choisi Maîtresse... et grâce à mes loulous, qui me demandent de dessiner ceci ou cela, je me suis remise au dessin, une de mes passions... Merci à eux !! Voilà, pensez si vous souhaitez changer, que l'éducation nationale offre aussi des possibilités (je n'ai pas nommé le Cafipemf aussi) et que parfois, un changement de classe ou d'école permet de rebondir et de retrouver son enthousiasme. Je vous souhaite beaucoup de courage, d'énergie, d'envies... et vous envoie plein de pensées positives... Et une petite pensée perso : ma vie de femme n'a pas été un long fleuve tranquille... à chaque difficulté mon travail a été ma bouée de sauvetage : retrouver des enfants le matin oblige à se blinder et à laisser ses soucis à la porte de chez soi, et à relativiser... leurs regards, leur fraicheur, leurs retours positifs (Maîtresseuuu, t'es belleuuu... ) alors que vous êtes le moral dans les chaussettes, ben cela fait du bien... La sécurité de l'emploi et le salaire qui tombe (même si on pourrait souhaiter être mieux payés) cela rassure les créanciers et les banquiers lors de problèmes financiers : cela a été mon cas... Bref, mon boulot, je le porte (un peu) aux nues... Amicalement Maravilla
bab33 Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Tout pareil Maravilla, je pense exactement tout comme toi. J' adore ce métier et je compte sur les élèves pour me garder jeune et au courant des jeunes chanteurs et chanteuses du moment !!!
Maethina Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Je crois qu'en effet, trouver un certain équilibre boulot/vie privée peut aider aussi à "tenir". Je pense que c'est compliqué de quitter l'EN, pas contre les possibilités de s'ouvrir à d'autres choses "à côté" sont vastes. Pourquoi c'est compliqué de quitter l'EN ? C'est une vraie question ! Parce que d'après ce que je vois partout autour de moi, quand tu essaies de changer, évoluer , on te met des bâtons dans les roues (prof est devenu un métier peu attractif, à voir le concours exceptionnel lancé sur Créteil) ils veulent garder leurs profs. Compliqué d'obtenir un CIF alors que c'est un droit. On laisse des agents de la poste devenir PE mais (même si ce n'est pas mon souhait) le contraire n'est pas possible. LEs départs en formation spécialisé sont minimes malgré les besoins, plus de formation continue depuis l'instauration des ESPE et j'en passe... Tout est fait pour le maintient en place, et comme lu qq messages plus haut, ceux qui ont rencontré des conseillers carrière à l 'IA ont été découragés. C'est bien triste et je trouve démotivant pour tous les PE qui se sentent pied et poings liés. A part démissionner mais sans indemnité. Personnellement j'aime mon métier, mais je sais que je ne me vois pas tenir jusqu'au bout. Et lorsque je fais des recherches dans ce sens, je ne vois pas d'alternative existante malheureusement.... Oui je comprends, mais pour avoir passé plusieurs années dans le privé avant de me reconvertir dans l'EN, c'est tout aussi difficile d'obtenir un CIF. Au moins dans la fonction publique, il y a la possibilité de demander une disponibilité (trèèèèssss difficile à obtenir dans le privé !) et pouvoir envisager un autre métier durant cette dispo. Attention, je ne suis pas en train de dire que tout est rose à l'EN ! loin de là ! Mais n'est-ce pas aussi la crainte de perdre la sécurité de l'emploi que représente le statut de fonctionnaire qui vous freine dans vos démarches de reconversion ? Par ailleurs, aller, je vais me faire l'avocat du diable (vous avez le droit de me taper sur la tête !! ), pour celles et ceux qui ont de jeunes ou moins jeunes enfants : partir, même en restant dans la fonction publique = plus que 5 pauvres semaines de vacances !! Oui, mais on passe une partie des vacances à bosser me direz-vous, peut-être, mais on a quand même quelque-chose comme 17 semaines de vacances dans l'année !! Aller je continue : vous en connaissez beaucoup des métiers dans le privé où on quitte le boulot à 16H30 et où on a notre mercredi aprem de libre ? Hummm…. OK, le salaire de PE est misérable… là-dessus, rien à dire ! Conseils à celles et ceux qui se posent des questions (c'est une multi-reconvertie qui vous parle) : Foncez si vous pensez que l'herbe est plus verte ailleurs et dans ce cas ne vous accrochez pas à vos avantages (sûre que dans le privé, vous n'aurez pas les mêmes, sauf peut-être le salaire). Si vous ne vous sentez pas bien dans votre poste actuel (parce-que niveau ou milieu difficile) : n'hésitez pas à demander une autre école au mouvement ! Parfois changer d'environnement, de niveau, ou de collègues peut faire un bien fou ! Plein de à toutes !
fillensucre Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Je crois qu'en effet, trouver un certain équilibre boulot/vie privée peut aider aussi à "tenir". Je pense que c'est compliqué de quitter l'EN, pas contre les possibilités de s'ouvrir à d'autres choses "à côté" sont vastes. Pourquoi c'est compliqué de quitter l'EN ? C'est une vraie question ! Parce que d'après ce que je vois partout autour de moi, quand tu essaies de changer, évoluer , on te met des bâtons dans les roues (prof est devenu un métier peu attractif, à voir le concours exceptionnel lancé sur Créteil) ils veulent garder leurs profs.Compliqué d'obtenir un CIF alors que c'est un droit. On laisse des agents de la poste devenir PE mais (même si ce n'est pas mon souhait) le contraire n'est pas possible. LEs départs en formation spécialisé sont minimes malgré les besoins, plus de formation continue depuis l'instauration des ESPE et j'en passe... Tout est fait pour le maintient en place, et comme lu qq messages plus haut, ceux qui ont rencontré des conseillers carrière à l 'IA ont été découragés. C'est bien triste et je trouve démotivant pour tous les PE qui se sentent pied et poings liés. A part démissionner mais sans indemnité. Personnellement j'aime mon métier, mais je sais que je ne me vois pas tenir jusqu'au bout. Et lorsque je fais des recherches dans ce sens, je ne vois pas d'alternative existante malheureusement.... Oui je comprends, mais pour avoir passé plusieurs années dans le privé avant de me reconvertir dans l'EN, c'est tout aussi difficile d'obtenir un CIF. Au moins dans la fonction publique, il y a la possibilité de demander une disponibilité (trèèèèssss difficile à obtenir dans le privé !) et pouvoir envisager un autre métier durant cette dispo. Attention, je ne suis pas en train de dire que tout est rose à l'EN ! loin de là ! Mais n'est-ce pas aussi la crainte de perdre la sécurité de l'emploi que représente le statut de fonctionnaire qui vous freine dans vos démarches de reconversion ? Par ailleurs, aller, je vais me faire l'avocat du diable (vous avez le droit de me taper sur la tête !! ), pour celles et ceux qui ont de jeunes ou moins jeunes enfants : partir, même en restant dans la fonction publique = plus que 5 pauvres semaines de vacances !! Oui, mais on passe une partie des vacances à bosser me direz-vous, peut-être, mais on a quand même quelque-chose comme 17 semaines de vacances dans l'année !! Aller je continue : vous en connaissez beaucoup des métiers dans le privé où on quitte le boulot à 16H30 et où on a notre mercredi aprem de libre ? Hummm. OK, le salaire de PE est misérable là-dessus, rien à dire ! Conseils à celles et ceux qui se posent des questions (c'est une multi-reconvertie qui vous parle) : Foncez si vous pensez que l'herbe est plus verte ailleurs et dans ce cas ne vous accrochez pas à vos avantages (sûre que dans le privé, vous n'aurez pas les mêmes, sauf peut-être le salaire). Si vous ne vous sentez pas bien dans votre poste actuel (parce-que niveau ou milieu difficile) : n'hésitez pas à demander une autre école au mouvement ! Parfois changer d'environnement, de niveau, ou de collègues peut faire un bien fou ! Plein de à toutes ! Tu as tout à fait raison changer de niveau ou d école ça rebooste.Après certes on finit à 16h30. Mais on ne quitte pas l école à 16h30. On est d accord, non? Ensuite on commence bien plus tôt que la plupart des actifs . On doit être au minimum à 8h en poste si on veut que les choses soient prêtes. Et là non plus pas payés pour ces minutes supplémentaires. Et nos enfants ont droit au périsco tous les matins.J ai la chance de travailler près de chez moi mais ceux qui ont 1 h de route ... Et j ai pas mal de copines du privé qui ont leur mercredi aprèm pour s occuper des enfants. Je te rejoins sur les vacances et la sécurité de l emploi. Les deux seuls vrais " avantages "de notre profession selon moi. Et qui retiennent beaucoup de pe pour sauter le pas d une reconversion à mon avis.
LetsGo Posté(e) 19 février 2015 Auteur Posté(e) 19 février 2015 C'est bizarre cette volonté de vouloir "rosir" l'Education Nationale et "noircir" le privé. Et de dire que "l'herbe n'est pas plus verte ailleurs". Toutes ces couleurs !!! C'est bizarre de mettre en avant "les avantages de PE" en ne mettant en avant que les désavantages du privé. Pas très partial tout ça... Et parler aux PE comme s'ils vivaient dans une bulle de Bisounours est un peu vexant. Si certains d'entre nous n'ont exercé que le job de PE, est-ce pour autant que leurs parents, frères, soeurs, amis, conjoints ne travaillent pas dans le secteur privé, leur permettant d'avoir des notions de ce qui positif et négatif dans le privé ? Bref... J'ai relu mon message qui a lancé cette conversation (riche et animée). J'avais un doute sur son contenu. Je n'ai jamais dit que je ne supportais plus les élèves (même si certains jours...). Je n'ai jamais dit que c'était un job chronophage (même si c'est vrai. Mais, au bout de 20 ans, j'investis moins de mon temps perso pour le boulot). Je parle d'avoir fait le tour de ce job (différents types de postes, deux départements diamétralement opposés concernant le public). Je parle de sensation de ne pas permettre à mon esprit d'être assouvi d'échanges enrichissants en terme de connaissances, de défis, ... Bref, on peut peut - être résumer ça par trop de routine. Je ne dis pas que ces points n'existent pas dans le privé. Je parle juste du fait que des passerelles du public vers le privé et inversement devraient être possibles plus facilement pour avoir une impression de nouveauté. Et cette fracture psychologique public - privé s'estomperait peut-être. Ceux qui ne voient que nos "superbes" avantages déchanteraient peut-être au bout d'une semaine en REP, comme nous déchanterions peut-être de devoir atteindre des objectifs chiffrés à chaque fin de semaine comme dans certains jobs privés. Bref, tout cela pour dire : arrêtons l'angélisme et acceptons l'envie de nouveaux défis.
Amelie375 Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 C'est chouette d'avoir des paroles positives de collègues qui ont du vécu La fatigue, les problèmes de classe ou perso ont souvent tendance à engluer le tout, et de ne nous faire voir que les côtés négatifs de la profession. Mais il y a des solutions évoquées plus haut qui méritent d'être tentées (mouvement, formation éventuellement ....). Moi même je reconnais voir trop souvent les choses en noir alors que cela pourrait être nuancé ..... Bon, l'état dépressif n'aide pas. Je vais tenter de me rebooster
Amelie375 Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 C'est bizarre cette volonté de vouloir "rosir" l'Education Nationale et "noircir" le privé. Et de dire que "l'herbe n'est pas plus verte ailleurs". Toutes ces couleurs !!! C'est bizarre de mettre en avant "les avantages de PE" en ne mettant en avant que les désavantages du privé. Pas très partial tout ça... Et parler aux PE comme s'ils vivaient dans une bulle de Bisounours est un peu vexant. Si certains d'entre nous n'ont exercé que le job de PE, est-ce pour autant que leurs parents, frères, soeurs, amis, conjoints ne travaillent pas dans le secteur privé, leur permettant d'avoir des notions de ce qui positif et négatif dans le privé ? Bref... J'ai relu mon message qui a lancé cette conversation (riche et animée). J'avais un doute sur son contenu. Je n'ai jamais dit que je ne supportais plus les élèves (même si certains jours...). Je n'ai jamais dit que c'était un job chronophage (même si c'est vrai. Mais, au bout de 20 ans, j'investis moins de mon temps perso pour le boulot). Je parle d'avoir fait le tour de ce job (différents types de postes, deux départements diamétralement opposés concernant le public). Je parle de sensation de ne pas permettre à mon esprit d'être assouvi d'échanges enrichissants en terme de connaissances, de défis, ... Bref, on peut peut - être résumer ça par trop de routine. Je ne dis pas que ces points n'existent pas dans le privé. Je parle juste du fait que des passerelles du public vers le privé et inversement devraient être possibles plus facilement pour avoir une impression de nouveauté. Et cette fracture psychologique public - privé s'estomperait peut-être. Ceux qui ne voient que nos "superbes" avantages déchanteraient peut-être au bout d'une semaine en REP, comme nous déchanterions peut-être de devoir atteindre des objectifs chiffrés à chaque fin de semaine comme dans certains jobs privés. Bref, tout cela pour dire : arrêtons l'angélisme et acceptons l'envie de nouveaux défis. Cet aspect me manque énormément dans le métier.
fillensucre Posté(e) 19 février 2015 Posté(e) 19 février 2015 Pour avoir exercé dans le privé avant d entrer dans l EN , la grosse motivation pour moi était d exercer un métier où je puisse me sentir utile aux autres , ce qui est le cas. Si LetsGo tu as le sentiment d être arrivée au bout de quelque chose tu as tout à fait raison de te lance de nouveaux défis professionnels, rien de pire que de s ennuyer dans son travail à mon avis. As tu des pistes ou des envies en particulier?
PZIANE Posté(e) 20 février 2015 Posté(e) 20 février 2015 Il y a des avantages et des inconvénients dans les deux secteurs ; il faut les étudier avec objectivité. LetsGo a raison, il n'est pas nécessaire de dresser l'un contre l'autre. Quand on a fait le tour et qu'on a l'impression de ne pas être nourri intellectuellement, il est bon de chercher à faire autre chose sinon les journées deviennent longues et ennuyeuses. Par contre, à mon avis, il n'est pas obligé de changer radicalement pour avoir un second souffle ; le changement peut être progressif : changer d'école, changer de niveau ; prendre d'autres fonctions : une direction, devenir MAT. Ces changements ne nécessitent pas de faire de formations mais permettent de faire/voir autre chose, de se remettre en question et c'est déjà une bonne chose pour le moral. Après, si on veut encore plus, on peut se lancer dans le cafipemf ou le capash, devenir conseiller péda ou IEN. Je pense qu'il y a beaucoup de possibilités pour ne pas "s'encroûter" et si la peur de perdre la sécurité de l'emploi dans le contexte économique actuel petu être une raison majeure pour ne pas vouloir quitter l'EN, ces solutions permettent tout de même de faire autre chose
cat99 Posté(e) 21 février 2015 Posté(e) 21 février 2015 Oui la tension nerveuse... Ca c est tres difficile et de plus en plus souvent... Et nos propres enfants qui "trinquent"a la maison... Taisez vous, je n ai pas le temps, et j en passe... +1 Je n'arrive pas à cloisonner ou trop peu même si je m'y emploie.... Je n'aime pas la routine donc je change régulièrement de niveau, j'ai de très bonnes inspections mais il me manque le dialogue entre adultes... On est avec les enfants, on ne parle qu'avec les collègues sauf que là je n'ai qu'un collègue dans ma cour et boffffffff.... Vous allez me dire que je peux m'épanouir en dehors, ce que je fais déjà, j'ai plusieurs activités et ma famille/ enfants mais j'avoue que pour moi c'est pas assez.... J'ai eu un stage de 15 jours de formation il y a 2 ans , ça m'a permis de souffler, échanger avec d'autres !!!!! Ensuite l'évolution de carrière dans l'education nationale d'accod pour la direction, le cafipemf ( travail très interessant mais très prenant donc moins de temps à la maison encore) mais conseiller pédagogique y a très peu de postes et ien c'est national avec une famille déjà installée et un conjoint qui travaille dans le privé sans mut possible... c'est compliqué... Donc tout dépend de pourquoi on veut quitter notre poste....J'adorerais faire un mi temps et autre chose de différent pour ne pas être qu'avec des enfants....je pense à la formation pour adultes mais là aussi les postes sont rares...J'aime enseigner aux enfants, mais pas que.... ce mercredi matin n'a rien arrangé...Je précise que mon conjoint est dans le privé donc je sais différence public / privé... Je ne cherche pas à quitter forcément l'éducation nationale, je m'y sens utile malgré tout, mais à souffler un peu à voir autre chose, ce qui d'ailleurs n'est pas le cas avec les autres métiers non plus ....
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