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koyo

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L'âge n'a rien à voir. En revanche, il ne faut jamais oublier qu'un fonctionnaire a des droits, mais également des devoirs, et en attente d'une titularisation, il faut savoir faire profil bas.

http://www.fonction-publique.gouv.fr/droits-et-obligations

Par la suite, il n'est pas question d'obéir au doigt et à lâÅil, mais si on veut monter au front (ce que j'ai très souvent fait), il faut être armé et surtout, connaitre les textes.

J'ai toujours été une grande gueule, ça m'a causé quelques soucis au début (en particulier à l'oral du concours où j'ai osé demander aux membres du jury de se présenter, puisque je venais de le faire...j'ai eu du bol de tomber sur un des membres de ce jury, un vieil inspecteur comme on n'en fait plus, qui a approuvé ma démarche... Mais enfin, je déconseillerais aujourd'hui de faire ce que j'ai fait, quand bien même j'avais complètement raison sur le fond...).

Oui, il y a des aberrations dans notre métier, des injonctions débiles, des IEN petits-chefs, des CPC voix de son maître (et mouchards) et ça, ça m'a toujours horripilée. Je ne me suis jamais laissée faire, mais honnêtement, ça m'a vraiment fatiguée de constamment monter au créneau : mais je ne supporte pas l'arbitraire, et encore moins la connerie humaine, alors je fonce. Mais l'expérience aidant, je ne prends pas de risques inconsidérés, et je me protège toujours avec ces fameux textes.

C'est ainsi que, cette année, j'ai pu faire accepter tous les redoublements que le CM proposait, alors que l'IEN, brandissant un énième mensonge, nous avait dit que les redoublements étaient interdits désormais (ce qui est faux), que j'ai rassemblé les troupes pour proposer d'autres rythmes scolaires pour l'année qui vient, contre l'IEN et la mairie (et nous avons obtenu gain de cause), et que je viens de terminer ma carrière de PE en satellisant l'élu qui nous avait insultés lors du 2è conseil d'école et en atomisant l'IEN à ce sujet. Mais je suis un tantinet épuisée, là....

Mais j'ai de la gueule et surtout, de l'expérience. Je n'ai jamais été hors les clous officiellement, ni irrespectueuse. Fonctionnaire oui, mais citoyenne avant tout.

Moralité : ne jamais oublier les rapports hiérarchiques dans la fonction publique, très forts et prégnants, et même si j'ai toujours dit ce que je pensais, je suis toujours restée dans mon statut de fonctionnaire, consciente de mes devoirs, mais aussi de mes droits.

Les droits du fonctionnaire, c'est ce que de nombreux collègues oublient trop souvent, par peur des foudres hiérarchiques.... Mais il ne faut pas oublier non plus la solidarité de corps, très forte chez les inspecteurs.

Quels arguments as tu oppose pour les redoublements pke ici on nous a dit aussi que c'était terminer désormais ( sauf en cas de rupture des apprentissages...)

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L'âge n'a rien à voir. En revanche, il ne faut jamais oublier qu'un fonctionnaire a des droits, mais également des devoirs, et en attente d'une titularisation, il faut savoir faire profil bas.

http://www.fonction-publique.gouv.fr/droits-et-obligations

Par la suite, il n'est pas question d'obéir au doigt et à lâÅil, mais si on veut monter au front (ce que j'ai très souvent fait), il faut être armé et surtout, connaitre les textes.

J'ai toujours été une grande gueule, ça m'a causé quelques soucis au début (en particulier à l'oral du concours où j'ai osé demander aux membres du jury de se présenter, puisque je venais de le faire...j'ai eu du bol de tomber sur un des membres de ce jury, un vieil inspecteur comme on n'en fait plus, qui a approuvé ma démarche... Mais enfin, je déconseillerais aujourd'hui de faire ce que j'ai fait, quand bien même j'avais complètement raison sur le fond...).

Oui, il y a des aberrations dans notre métier, des injonctions débiles, des IEN petits-chefs, des CPC voix de son maître (et mouchards) et ça, ça m'a toujours horripilée. Je ne me suis jamais laissée faire, mais honnêtement, ça m'a vraiment fatiguée de constamment monter au créneau : mais je ne supporte pas l'arbitraire, et encore moins la connerie humaine, alors je fonce. Mais l'expérience aidant, je ne prends pas de risques inconsidérés, et je me protège toujours avec ces fameux textes.

C'est ainsi que, cette année, j'ai pu faire accepter tous les redoublements que le CM proposait, alors que l'IEN, brandissant un énième mensonge, nous avait dit que les redoublements étaient interdits désormais (ce qui est faux), que j'ai rassemblé les troupes pour proposer d'autres rythmes scolaires pour l'année qui vient, contre l'IEN et la mairie (et nous avons obtenu gain de cause), et que je viens de terminer ma carrière de PE en satellisant l'élu qui nous avait insultés lors du 2è conseil d'école et en atomisant l'IEN à ce sujet. Mais je suis un tantinet épuisée, là....

Mais j'ai de la gueule et surtout, de l'expérience. Je n'ai jamais été hors les clous officiellement, ni irrespectueuse. Fonctionnaire oui, mais citoyenne avant tout.

Moralité : ne jamais oublier les rapports hiérarchiques dans la fonction publique, très forts et prégnants, et même si j'ai toujours dit ce que je pensais, je suis toujours restée dans mon statut de fonctionnaire, consciente de mes devoirs, mais aussi de mes droits.

Les droits du fonctionnaire, c'est ce que de nombreux collègues oublient trop souvent, par peur des foudres hiérarchiques.... Mais il ne faut pas oublier non plus la solidarité de corps, très forte chez les inspecteurs.

Quels arguments as tu oppose pour les redoublements pke ici on nous a dit aussi que c'était terminer désormais ( sauf en cas de rupture des apprentissages...)

La circulaire n'est applicable qu'à partir de la rentrée 2015.

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J'ai sorti la circulaire de novembre 2014, où il est précisé que c'est le CM qui décide, quand bien même l'avis de l'IEN est demandé, il n'est écrit nulle part que c'est lui qui a le dernier mot, et on peut très bien aller contre cet avis, c'est exactement ce que nous avons fait .Et oui, les textes étant interprétables à l'envi, il était tout à fait possible de faire dire tout et son contraire, d'où la nécessité de bien lire ces fichus textes. De nombreux IEN ont interprété cette circulaire à leur avantage, en disant que c'était eux qui décidaient. Or, c'est faux. Le CM reste souverain jusqu'à la prochaine rentrée.

Notre IEN a capitulé, ben oui, je lui ai juste demandé où c'était écrit que les redoublements étaient interdits et que c'était elle qui décidait....

« Art. D. 321-6. - L'enseignant de la classe est responsable de l'évaluation régulière des acquis de l'élève. Les représentants légaux sont tenus périodiquement informés des résultats et de la situation scolaire de leur enfant. Dès que des difficultés apparaissent, un dialogue renforcé est engagé avec eux.

« Au terme de chaque année scolaire, le conseil des maîtres se prononce sur les conditions dans lesquelles se poursuit la scolarité de chaque élève. Lorsqu'il s'avère nécessaire, un dispositif d'aide est proposé.

« À titre exceptionnel, le redoublement peut être décidé pour pallier une période importante de rupture des apprentissages scolaires. Il fait l'objet d'une phase de dialogue préalable avec les représentants légaux de l'élève. La décision de redoublement est prise après avis de l'inspecteur de l'éducation nationale chargé de la circonscription du premier degré. En cas de redoublement, un dispositif d'aide est mis en place, qui peut s'inscrire dans un programme personnalisé de réussite éducative. Aucun redoublement ne peut intervenir à l'école maternelle, sans préjudice des dispositions de l'article D. 351-7.

« Le conseil des maîtres ne peut se prononcer que pour un seul raccourcissement de la durée d'un cycle durant toute la scolarité primaire d'un élève. Toutefois, dans des cas particuliers, il peut se prononcer sur un second raccourcissement, après avis de l'inspecteur de l'éducation nationale chargé de la circonscription du premier degré.

« La proposition du conseil des maîtres est adressée aux représentants légaux de l'élève qui font connaître leur réponse dans un délai de quinze jours. À l'issue de ce délai, le conseil des maîtres arrête sa décision qui est notifiée aux représentants légaux. Ces derniers peuvent, dans un nouveau délai de quinze jours, former un recours auprès de la commission départementale d'appel prévue à l'article D. 321-8. »

  • J'adhère 1
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  • 2 semaines plus tard...

Comme Polythene Pam, je suis grande gueule et je me bats contre les injustices, les injonctions débiles et surtout contre le manque de respect de notre hiérarchie et de leurs sbires.

Je n'ai que 26 ans et mon année de PES s'était très mal passée parce-que je ne rentrais pas dans le moule. J'avais travaillé dans le privé et je n'étais pas habituée à cette mentalité particulière. Je n'ai pas fait la béni oui oui et je n'ai pas montré assez d'admiration pour ma tutrice et ma directrice chérie. J'ai de l'admiration que pour les gens qui la méritent et elle ne se quémande pas.

J'ai fini en burn out : je bossais tellement et je me faisais démolir avec des visites surprises et des rapports remplis d'erreurs et de mauvaise foi. Ma tutrice m'avait dit "Tu aimes peut-être enseigner mais l'Education Nationale ne t'aime pas. Je ferai en sorte que tu ne sois plus jamais enseignante", je l'avais enregistré lors d'une énième insulte. J'ai été mise en alerte, convoquée par le médecin agréé pour vérifier mon état de santé, il a fait un rapport lapidaire sur le harcèlement que j'ai subi et ma tutrice a été convoquée chez le DASEN et n'a pas obtenu le poste de CPC convoité. J'ai été prolongée pour la durée de mon arrêt maladie et titularisée 1 mois après la rentrée dans une autre circo. Je suis devenue tout à coup "capable de gérer une classe" et "très travailleuse" malgré les précédents rapports. J'ai quand même eu droit à un suivi d'une CPC (4 visites) parce-que je n'avais pas eu de formation complète.

Fais un recours gracieux, tu peux t'en sortir. Tu fermes ta bouche même si c'est dur, tu fais l'idiote tout en t'appuyant sur les textes "ah bon ? Mais il m'avait semblé lire dans l'article .... que ....., mais peut-être ai-je mal compris ?".

Ça n'empêche qu'il m'est arrivé des merdes à la fin de l'année à cause d'histoires entre collègues. Franchement, on sort épuisée, ça nous écœure du métier. Mais bon, je suis titularisée, j'entame ma rentrée de T2 dans une école cool avec une équipe réputée sympa, ça va me changer, mais je reste prudente. On peut se sortir d'une situation compliquée, on se prend des baffes, on apprend à mieux communiquer (cf. "faire l'idiote") et on revit.

Bon courage !

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J'aurais dû faire comme toi néréide. J'ai vécu la même chose que toi apparement mais moi j'ai fait le dos rond, j'ai tout supporté en m'en rendant malade et ils n'ont fait qu'en profiter et me détruire.Je me disais qu'en me taisant, ils allaient me laisser en paix mais la situation n'a fait que s'empirer.

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J'aurais dû faire comme toi néréide. J'ai vécu la même chose que toi apparement mais moi j'ai fait le dos rond, j'ai tout supporté en m'en rendant malade et ils n'ont fait qu'en profiter et me détruire.Je me disais qu'en me taisant, ils allaient me laisser en paix mais la situation n'a fait que s'empirer.

Je n'ai pas réagi tout de suite. Quand on est harcelé, on se remet en question, on doute, on se dit qu'en fait ils ont peut-être raison, on doit être nul. C'est une psy qui m'a ouvert les yeux et qui m'a fait une attestation d'harcèlement moral. En fait, c'est le milieu médical qui m'a aidé : ma psy, mon médecin généraliste et le médecin agréé EN. Mais j'aurai dû faire appel aux syndicats tout de suite pour changer de tutrice. Là où je suis tombée, ils étaient tous copains, même avec l'IEN. Il est plus simple d'emmerder la petite stagiaire que de se remettre en question. L'école de mon secteur est celle de ma tutrice, j'en entends tous les jours des belles sur elle par mes voisins. Bref, elle est connue pour son incompétence. Dans tous les cas, j'ai été convoquée par l'adjoint du DASEN et je lui avais dit que je ferai tout en sorte pour rester dans l'EN même si ça devait finir au Tribunal Administratif. J'ai eu un regain de colère quand j'ai ouvert les yeux sur ce qui m'arrivait.

Si j'ai un conseil à donner, c'est de ne surtout pas s'isoler ! Il faut s'appuyer sur les textes, noter et dater les dérapages dans un cahier, faire appel aux syndicats et même à l'Autonome de Solidarité, ils sont généralement de bons conseils.

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Je trouve tes propos un peu durs quand même....

J'ai été titularisée sans soucis et j'ai pourtant pas eu l'impression d'être une "béni oui oui", ni d'avoir montré d'admiration pour ma PEMF et je n'ai pas non plus "fait l'idiote" toute l'année.... :getlost:

Je ne remets pas en cause tout ce que tu as vécu, tu es tombée sur des gens c*ns qui n'ont rien à faire la, je suis d'accord. Mais dire que tu n'as pas été titularisée parce que tu n'as pas fait la béni oui oui devant tout le monde, je trouve que c'est un peu insultant...

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Je trouve tes propos un peu durs quand même....

J'ai été titularisée sans soucis et j'ai pourtant pas eu l'impression d'être une "béni oui oui", ni d'avoir montré d'admiration pour ma PEMF et je n'ai pas non plus "fait l'idiote" toute l'année.... :getlost:

Je ne remets pas en cause tout ce que tu as vécu, tu es tombée sur des gens c*ns qui n'ont rien à faire la, je suis d'accord. Mais dire que tu n'as pas été titularisée parce que tu n'as pas fait la béni oui oui devant tout le monde, je trouve que c'est un peu insultant...

Pour ma part, je suis d'accord avec néréide. L'année de stage est une année où tu dois accepter toutes leurs demandes mêmes improbables, ne rien remettre en cause et surtout rentrer dans le moule.

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Ca dépend sur qui on tombe.

Je n'ai fait des fiches de prep que quand ça m'était utile (donc pas nécessairement les 2/jour). Elles avaient la forme qui ME convenait. Pas la forme attendue en haut lieu avec des cases de partout et qui, à mon sens, ne laisse aucune (ou alors bien trop peu) place à la spontanéité... on travaille avec de l'humain...

J'ai expliqué ce point de vue dès ma toute première visite, tout comme j'ai expliqué et montré avec quels guides du maitre je m'aidais. Ca n'a jamais posé problème à mon tuteur. J'ai eu la chance d'avoir quelqu'un qui s'intéressait davantage au concret de la pratique de classe plutôt qu'à la théorie de la fiche de prep et de l'administratif. D'ailleurs, je crois qu'au hasard de mes affectations futures, je serais ravie de rediscuter pédagogie avec lui.

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Je trouve tes propos un peu durs quand même....

J'ai été titularisée sans soucis et j'ai pourtant pas eu l'impression d'être une "béni oui oui", ni d'avoir montré d'admiration pour ma PEMF et je n'ai pas non plus "fait l'idiote" toute l'année.... :getlost:

Je ne remets pas en cause tout ce que tu as vécu, tu es tombée sur des gens c*ns qui n'ont rien à faire la, je suis d'accord. Mais dire que tu n'as pas été titularisée parce que tu n'as pas fait la béni oui oui devant tout le monde, je trouve que c'est un peu insultant...

J'ai été titularisée, la seule différence c'est que ma titularisation a été effective 1,5 mois après la rentrée scolaire, alors que tous les autres étaient officiellement T1 au 1er septembre, c'était dû à mon arrêt maladie, je n'ai pas doublé mon année de PES comme tu sembles le penser.

Je pense Kari707 que tu es tombée sur des gens normaux et compétents qui n'attendaient pas de toi que tu fasses l'idiote. Par chez moi, il y a eu pas mal de problèmes de ce genre. Les titulaires disent souvent qu'il faut qu'on apprenne à faire la crêpe et que ça ira mieux l'année d'après. Il y a des IMF et des CPC qui ont des conseils contre-productifs et/ou qui sont nocifs, mais il y en a d'autres qui sont top heureusement. L'année dernière, j'ai eu une super CPC ! Mais mon année de PES, on m'a clairement dit que je devais me taire et accepter tout, que j'étais débutante et que je n'avais pas d'avis à donner. Faire l'idiote et la béni oui oui, ça marche pour ceux qui tombent sur des cons. Si tu as des personnes intelligentes face à toi, tu vas avoir un dialogue intéressant, chacun peut s'exprimer... Mais là c'est un conseil pour Koyo, qui a des remarques diffamantes dans ces rapports et qui s'est faite licencier. Maintenant, en me relisant je n'ai pas l'impression d'avoir dit que tous ceux qui se font titularisés sans problèmes sont des béni oui oui. Je pense aussi qu'il y a plus de maintien abusif que de licenciement abusif également.

Dire aux collègues débutants, "Attention, il ne faut pas faire de vagues" ne me semble pas être insultant.

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Le soucis, c'est que ce sont des propos qu'on entend très souvent venant de personnes en difficultés qui se "justifient" de cette façon.

Je ne dis pas que c'est ton cas ou celui de Koyo bien sur!

Cette année par exemple, je me suis retrouvée face à une vacataire qui avait déjà passé le concours plusieurs fois. Elle me dit passer les écrits très facilement mais les oraux sont toujours de gros échecs. Cette année, elle a fait beaucoup de remplacements et me parle beaucoup de tous les problèmes qu'elle a rencontré dans les écoles, avec des méchantes collègues qui la harcèlent, des élèves affreux...Dans mon école, malgré les aides des collègues, elle ne gère pas la classe, se retrouve avec les parents sur le dos...

C'est parce qu'elle est "grande gueule", qu'elle ose dire ce qu'elle pense, pas quelqu'un qui s’aplatit devant les autres...

J'en ai encore des exemples de personnes en difficulté réelle et qui se cache derrière leur grande gueule pour éviter de se remettre en question.

Encore une fois, je n'ai pas dit que c'est ce que j'avais lu ici, j'essaie juste d'expliquer mon ressenti face à ces mots qui reviennent souvent.

Conseiller aux collègues de ne pas faire trop de vagues, je suis assez d'accord, et je pense que c'est valable dans n'importe quelle boîte.

On ne peut pas arriver dans un milieu qu'on ne connait pas et vouloir tout changer parce que ça ne nous convient pas.

Mais ça, c'est dans le cas normal, avec des personnes adultes responsables et compétents...

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Je rajouterai que dans l'EN, il y a une hiérarchie comme dans n'importe quel entreprise.

Et qu'il faut la respecter même si cela ne nous fait pas plaisir.

Si on veut contester, il y a des façons de le faire en restant dans les clous.

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