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Posté(e)

Le second degré récupère de nouvelles primes. Mais bon. Priorité au primaire.

http://www.se-unsa.org/spip.php?article7499

Référent culturel........ sans blague.

6h avec des classes de 35. Il n'y a qu'au lycée qu'on voit cela. C'est sûr, ça n'arrive jamais dans le primaire.

Posté(e)

Et nous, elles sont où les primes pour grosses classes ou/et classes à cours multiples ect...5 heures et plus en une seule journée

Posté(e)

Coordonnateur de blabla... Réunions à gogo sans voir un seul élève... Et ça paye en plus ! Ecoeurée.

Après, j'ai lu que quand on dépassait 35 élèves, on pouvait avoir cette prime.

On devrait donc pouvoir y prétendre en fin d'année où il n'y a plus de remplaçants, des collègues absentes et 39 élèves par classe.

Posté(e)

Diviser, mieux régner, tout ça.

+ 1

http://sudeducation89.org/spip.php?article131

Ni moyens, ni décharges… des indemnités !

À part en REP+ et dans le cycle terminal du lycée général et technologique, c’est l’indemnitaire qui s’applique au détriment de la décharge horaire : la décharge pour effectifs pléthoriques devient indemnité, les enseignants-e- de lycée professionnel en cycle terminal sont privés de la pondération qu’ont leurs collègues de lycée général et technologique et, en face des nouvelles missions, on promet une indemnité. Bien que le décret du 20 août prévoie la possibilité de décharges, elles s’avéreront sans doute exceptionnelles, au bon vouloir des recteurs. Les montants des IMP (indemnités pour mission particulière) sont basés sur une HSA de certifié (1250€) et se déclineront en 1/4, 1/2, 1, 2 ou 3 fois cette somme. Dans les faits, les IMP attribuées aux établissements sont prélevées sur la DHG et correspondent souvent à une baisse des HSA. Bref : les heures d’enseignement servent à financer la politique managériale sur le dos des conditions de travail et d’apprentissage.

Offensive managériale

Nous dénonçons tout particulièrement la logique globale de ce décret sur les IMP qui consiste à instituer par l’indemnisation une hiérarchie entre les collègues. Ces missions instituent des référent-e-s (de discipline, de cycle, de niveau, des activités EPS, culturel, numérique, décrochage). Derrière la mise en concurrence des personnels et l’achat de leur docilité par le biais de l’indemnisation, c’est le contenu même des missions qui instaure une hiérarchie intermédiaire. En effet ces référents « coordonnent la mise en œuvre des projets disciplinaires et interdisciplinaires », « assistent » ou « accompagnent le chef d’établissement... »

Le seul amendement qui a été intégré par le ministère à l’issue de ces discussions, voté par le SGEN et l’UNSA, impose l’avis du Conseil d’Administration sur la répartition et le niveau des IMP. Ces missions sont toujours proposées par le chef d’établissement au Conseil d’administration après consultation du conseil pédagogique, mais désormais celui-ci doit émettre un avis. Même si c’est le chef d’établissement ou le recteur (en fonction de l’ « échelle » de la mission) qui prennent les décisions en dernier ressort. Cela vient renforcer la hiérarchie entre collègues en donnant légitimité aux coordinateurs (conseils pédagogiques) et aux représentants du personnel (conseil d’administration) de se prononcer sur les indemnités perçues par les collègues, et ce au détriment d’une prise de décision collégiale et autogestionnaire.

Posté(e)

► La nouvelle « indemnité pour mission particulière » est destinée à remplacer les heures « de labo » mais aussi certaines missions actuellement indemnisées par l’IFIC. Elle sera ouverte à l’ensemble des enseignants d’un établissement, y compris les CPE, professeurs documentalistes et professeurs des écoles.

Je comprends pas pourquoi ils citent professeurs des écoles, coordinateur de quoi? Moi je veux bien coordonner à ce tarif!

Posté(e)

Moi aussi je coordonne des activités sportives, je m'occupe de toute l'organisation entre 3 écoles, 2 fois dans l'année, j'y ai droit ?

Non mais c'est à nous dégoûter d'être prof des écoles ça, quand je vois le peu que je touche pour la direction pour la charge de travail... ça fait 1 semaine que je suis dans l'école, pour ma pomme.

En cette veille de rentrée, cette information me dégoûte de ces grandes différences de traitements

Posté(e)

► La nouvelle « indemnité pour mission particulière » est destinée à remplacer les heures « de labo » mais aussi certaines missions actuellement indemnisées par l’IFIC. Elle sera ouverte à l’ensemble des enseignants d’un établissement, y compris les CPE, professeurs documentalistes et professeurs des écoles.

Je comprends pas pourquoi ils citent professeurs des écoles, coordinateur de quoi? Moi je veux bien coordonner à ce tarif!

T'inquiète ! Les IEN sont remplies de PE chargés de mission avec primes et ce n'est qu'un début . Quant aux coordonnateurs il va y en avoir de plus en plus dans le premier degré : en REP et REP + on donne déjà et pareil ça va faire qu'aumenter . Tu verras qu'il y aura aussi des coordonnateurs pour la liaison CM2 6è par exemple et qu'ils vont en inventer plein , ils ont de l'imagination les innovo -pédagol .

Patience , patience ... Chez nous comme par hasard les postes ( à profil ) de coordonnateurs ZEP ont tous été donnés à des gens du SE Unsa ou du SGEN , j'y peux rien c'est vrai !

Donc il ne faut plus jalouser le second degré , il faudra juste dans l'avenir savoir se placer , c'est tout !

Posté(e)

Non, ce sont bien des primes qui ne s'appliqueront que dans le second degré. Si certains PE peuvent les réclamer, c'est parce qu'ils y travailleront (segpa, ulis, classe relai......). Certes elles remplacent certaines missions rémunérées par l'IFIC (genre heure de labo, coordo eps, gestion du parc informatique.....), mais elles rémunèrent de nouvelles missions (coordinateur de cycle, niveau, référent culturel.....).

Il ne s'agit pas de poste à part, il s'agit d'enseignants qui exercent leur fonction de prof et qui sont rémunérés pour des missions en plus (s'occuper bdes ordinateurs, gérer un projet de cycle......)

Il ne s'agit pas de trouver cela inique, bien au contraire. Ce qu'il l'est, c'est que les PE du 1er degré n'y aient pas le droit, alors qu'ils doivent faire toutes ces tâches alors qu'ils travaillent déjà 50% plus.

Posté(e)

Avec des primes (pour le contrôle continu de formation, pour des missions particulières, pour des remplacements etc...), des heures sup, des heures de labo sans élèves, certains profs du secondaire dépassent largement les 3000 euros par mois après seulement 10 ans de carrière.... Sans parler de la hors classe atteinte après 20 ans de carrière pour beaucoup.

C'est vraiment un autre monde, assurément.

Posté(e)

Diviser, mieux régner, tout ça.

Sans aucun doute mais il faut quand même tirer les leçons du passé. Les PE ont toujours été des adeptes du "tant mieux pour eux" et du "y a pire que nous". Le résultat de cette attitude c'est que le salaire d'un PE est entre 25 et 30 % plus bas que celui d'un PLC ou PLP... Il n'est pas question de demander que ces primes soit supprimées pour les PLC mais que le travail des PE soit enfin reconnu et donc rémunéré (c'est indissociable) à sa juste valeur.

Un petit exemple très concret du dénigrement dont sont victimes les PE. Un PE spécialisé en SEGPA a jusqu'à maintenant la chance d'être rémunéré pour les réunions de synthèse et coordination imposées par la loi à raison de 2 heures hebdomadaires. Les PLP qui bossent en SEGPA et ont un temps de travail de 18 h devant élèves participent aussi à ces réunions et sont rémunérés pour cela 50 % de plus que les PE... Pourtant, les PLP sont généralement moins qualifiés et moins diplômés que les PE spé.

Etant moi même PE en Segpa, je me sens extrêmement privilégié par rapport à un PE qui bosse dans le 1er degré. Mes conditions de travail sont beaucoup plus confortables que pour un PE en milieu ordinaire car je bénéficie de tout le confort d'un collège (pas de surveillances de récrés, pas d'animations pédagogiques, infirmière et AS dans le collège, un budget pédagogique nettement supérieur à celui d'une école primaire, matériel informatique de qualité et entretenu, etc,etc...), mon salaire est supérieur et mon temps devant élèves de seulement 21h.

Je mesure au quotidien le fossé qui sépare le métier de PLC (ou PLP) et celui de PE en milieu ordinaire. Le seul point commun entre ces deux métiers et leurs conditions d'exercice est la dénomination "professeur".

Il n'est pas question non plus d'être jaloux de qui que ce soit mais de faire enfin reconnaître le travail et l'investissement des PE à sa juste valeur.

Posté(e)

Non, ce sont bien des primes qui ne s'appliqueront que dans le second degré. Si certains PE peuvent les réclamer, c'est parce qu'ils y travailleront (segpa, ulis, classe relai......). Certes elles remplacent certaines missions rémunérées par l'IFIC (genre heure de labo, coordo eps, gestion du parc informatique.....), mais elles rémunèrent de nouvelles missions (coordinateur de cycle, niveau, référent culturel.....).

Il ne s'agit pas de poste à part, il s'agit d'enseignants qui exercent leur fonction de prof et qui sont rémunérés pour des missions en plus (s'occuper bdes ordinateurs, gérer un projet de cycle......)

Il ne s'agit pas de trouver cela inique, bien au contraire. Ce qu'il l'est, c'est que les PE du 1er degré n'y aient pas le droit, alors qu'ils doivent faire toutes ces tâches alors qu'ils travaillent déjà 50% plus.

Oui pour celles dont il est question dans le lien du SE mais ça ne veut pas dire que dans le premier degré il n'y a pas de primes , il y en a de plus en plus .

Posté(e)

http://www.francetvinfo.fr/france/rentree/rentree-quel-est-le-salaire-d-un-enseignant_1063899.html

Rentrée : quels sont les salaires des enseignants ?

À la veille de la rentrée scolaire, en plateau, Pascale Manzagol fait le point sur les salaires des enseignants.

Alain Juppé a récemment estimé qu'il fallait augmenter le salaire des enseignants de 10%. La ministre de l'Éducation, Najat Vallaud-Belkacem, a pour sa part annoncé que cette revalorisation serait une priorité, mais lors du prochain quinquennat.

Le salaire moyen d'un enseignant, en 2012, était de 2 500 euros primes et indemnités comprises. "C'est environ 300 euros de plus que le salaire moyen des Français", souligne en plateau Pascale Manzagol.

Des salaires modestes comparés au reste de l'Europe

Les moins bien lotis sont les enseignants du primaire. Ils touchent en moyenne 2 200 euros, alors que leurs collègues du secondaire sont payés 2 740 euros en moyenne. "Ce qui fait la différence, ce sont les montants des primes et des heures supplémentaires, qui sont beaucoup plus rares dans le primaire", explique la journaliste de France 3.

Les enseignants français sont parmi les moins bien payés d'Europe. Ils sont 18e, loin derrière le Danemark ou l'Allemagne.

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