picbille Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Bonjour, comme je l'ai déjà écrit dans 1 post précédent, mon directeur est très incompétent. Durant le cours de mon collègue, un élève a fortement perturbé le cours et donc il l'a exclu. Il devait l'avoir 2h. Avant le fin de la 1ère heure, le directeur a ramené l'élève en disant à mon collègue qu'il devait le reprendre car il s'était calmé. Elle n'a pas eu le choix et bien sur, il a refait le bazar puis s'est endormi car faire le foin fatigue... Lorsqu’on en a reparlé en synthèse, notre directeur nous a dit que nous devions gérer notre classe et que l'exclusion n'était pas la meilleure solution. Sur ce point, je suis d'accord mais comment faire quand les élèves préfèrent aller dans le bureau du directeur plutôt que de se calmer? Donc, peut-on refuser un élève ?
Torque Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Un élève perturbateur peut être temporairement éloigné de ses camarades et donc de son public habituel, histoire de se calmer et de permettre à la classe de fonctionner normalement. En général on le confie au collègue le plus proche. Quant au directeur, qu'il soit perçu comme incompétent ou pas (c'est à l'IEN d'en juger), ce n'est pas un garde chiourme à solliciter systématiquement, il a aussi son travail. Là le tien a quand même gardé le fauve une heure et lui a sans doute fait la leçon après une petite discussion. Je me fais sans doute l'avocat du diable mais que dirait ta collègue si pendant ses cours le directeur lui apportait du "boulot de direction" à faire (paperasse, prises de rendez-vous, statistiques et autres délicieux tableaux inutiles à remplir)? C'est juste pour ouvrir le débat hein.
barbotinne Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Encore faut il avoir un "collègue proche" Et si le directeur a du "travail de direction" à ce moment là, qu'il envoie l'élève à la vie scolaire qu'il soit pris en charge par le CPE et qu'il y ait trace du renvoi de cours au moins.
Torque Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Encore faut il avoir un "collègue proche" Et si le directeur a du "travail de direction" à ce moment là, qu'il envoie l'élève à la vie scolaire qu'il soit pris en charge par le CPE et qu'il y ait trace du renvoi de cours au moins. Mille excuses, je n'avais pas vu qu'il s'agissait d'une classe en SEGPA.
barbotinne Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Encore faut il avoir un "collègue proche" Et si le directeur a du "travail de direction" à ce moment là, qu'il envoie l'élève à la vie scolaire qu'il soit pris en charge par le CPE et qu'il y ait trace du renvoi de cours au moins. Mille excuses, je n'avais pas vu qu'il s'agissait d'une classe en SEGPA. Oui j'avais bien compris, d'où mes précisions
Torque Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Oui j'avais bien compris, d'où mes précisions Ce dont je te remercie. Et pour le coup oui bien sûr, vie scolaire/ Cpe / trace écrite sur le carnet de liaison.
FRELOTIN21 Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 Tout semble plus simple... avec la présence d'un CPE... affaire résolue... Et sinon, en école élémentaire... vous proposez quoi ?
barbotinne Posté(e) 18 octobre 2015 Posté(e) 18 octobre 2015 De poser la même question sur le sous forum de l'école élémentaire Et non, pas affaire résolue, mais au moins 50 minutes à souffler sans avoir peur, pour gérer la classe unique CP-CM2 d'ados de 15 ans, prête à exploser... Parce que tu as celui qui perturbe, celui qui d'un coup va exploser et envoyer voler la table parce que l'autre perturbe, celui qui pendant le basar va voler le portable dans le sac d'un autre, celui qui va mettre de la poudre sur le feu pour énerver encore plus l'énervé etc... Non la CPE ce n'est pas la solution miracle mais c'est 50 minutes de répis
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