papillon2704 Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 Sauf que litige il y a parfois et que c'est bien à l'IEN de trancher, d'arbitrer, c'est son job, aussi. Il ne faudrait quand même pas comprendre que les adjoints n'auraient qu'à la fermer.
montagny Posté(e) 26 janvier 2016 Auteur Posté(e) 26 janvier 2016 Sauf que litige il y a parfois et que c'est bien à l'IEN de trancher, d'arbitrer, c'est son job, aussi. Il ne faudrait quand même pas comprendre que les adjoints n'auraient qu'à la fermer. NON ce n'est pas à l'IEN de trancher ! Il n'en a pas le droit. Le directeur peut lui demander conseil mais les textes sont clairs, s'il y a bien un prérogative bien définie pour les directeurs, c'est bien celle sur la répartition : le directeur est seul à trancher. "Après avis du conseil des maîtres " donc les adjoints n'ont pas à la fermer ; mais ensuite c'est le directeur SEUL qui tranche. C'est fou tout de même d'avoir à répéter les textes officiels ou alors le travail de désinformation du Kisaitou est bien en place ?
dada Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 Le directeur peut demander un rdv à l'IEN pour avoir des pistes , des aides pour régler le conflit. Les adjoints peuvent joindre l'IEN pour expliciter leur problème mais à la fin du processus c'est bien le directeur qui tranche et s'il ne veut pas suivre l'avis de l'IEN et du conseil des maîtres c'est son droit.Le texte est très clair.
papillon2704 Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 je ne serais pas aussi catégorique. les directeurs agissent sous la tutelle d'un supérieur hiérarchique, l'IEN, comme les adjoints d'ailleurs. Que ferait un IEN en apprenant qu'un dirlo a validé une répartition aberrante ? L'Ien a bien pour mission de vérifier la conformité des répartitions et la prise en compte des intérêts de enfants avant ceux du personnel. Je me demande ce qu'un recours au TA donnerait en pareille circonstance... Je sais bien que la quasi totalité des dirlos sont compétents et consciencieux, je ne dis pas autre chose, mais je trouve cette réaction épidermique "c'est mon pouvoir, pas le sien" un poil inquiétante.
Gwenaële Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 et puis que dire de ce message posté à la veille d'une grève appelée par certains syndicats et pas d'autres au contraire...En Seine et Marne, on a même reçu des appels à ne pas faire grève (chose pas si courante). On n'est pas vraiment en pleine période de répartition, me semble-t-il ? 1
montagny Posté(e) 26 janvier 2016 Auteur Posté(e) 26 janvier 2016 je ne serais pas aussi catégorique. les directeurs agissent sous la tutelle d'un supérieur hiérarchique, l'IEN, comme les adjoints d'ailleurs. Que ferait un IEN en apprenant qu'un dirlo a validé une répartition aberrante ? L'Ien a bien pour mission de vérifier la conformité des répartitions et la prise en compte des intérêts de enfants avant ceux du personnel. Je me demande ce qu'un recours au TA donnerait en pareille circonstance... Je sais bien que la quasi totalité des dirlos sont compétents et consciencieux, je ne dis pas autre chose, mais je trouve cette réaction épidermique "c'est mon pouvoir, pas le sien" un poil inquiétante. En quoi respecter les textes et les prérogatives du directeur est inquiétant? Tu emploies le mot "pouvoir" alors que les textes parlent de "rôle". Non le rôle d'un IEN n'est pas de "vérifier la conformité des répartitions" ; et quelle conformité ? Il y a des recommandations pour les répartitions et non des textes opposable. "vérifier la conformité des répartitions" : en réunion, le Dasen adjoint a bien rappelé que la répartition était du ressort du directeur et d'après lui c'est bien la seule avec l'organisation des services de surveillance et quelques autres annexes. En quoi, un IEN qui vient quelques heures au mieux par année serait plus à même de faire une répartition qu'un directeur sur place ? L'infantilisation de tes propos, pour le coup, est vraiment inquiétante...un directeur ne serait pas capable d'agir en toute légitimité et indépendance comme toute personne chargée d'une mission?
montagny Posté(e) 26 janvier 2016 Auteur Posté(e) 26 janvier 2016 et puis que dire de ce message posté à la veille d'une grève appelée par certains syndicats et pas d'autres au contraire... En Seine et Marne, on a même reçu des appels à ne pas faire grève (chose pas si courante). On n'est pas vraiment en pleine période de répartition, me semble-t-il ?
papillon2704 Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 je ne serais pas aussi catégorique. les directeurs agissent sous la tutelle d'un supérieur hiérarchique, l'IEN, comme les adjoints d'ailleurs. Que ferait un IEN en apprenant qu'un dirlo a validé une répartition aberrante ? L'Ien a bien pour mission de vérifier la conformité des répartitions et la prise en compte des intérêts de enfants avant ceux du personnel. Je me demande ce qu'un recours au TA donnerait en pareille circonstance... Je sais bien que la quasi totalité des dirlos sont compétents et consciencieux, je ne dis pas autre chose, mais je trouve cette réaction épidermique "c'est mon pouvoir, pas le sien" un poil inquiétante. En quoi respecter les textes et les prérogatives du directeur est inquiétant? Tu emploies le mot "pouvoir" alors que les textes parlent de "rôle". Non le rôle d'un IEN n'est pas de "vérifier la conformité des répartitions" ; et quelle conformité ? Il y a des recommandations pour les répartitions et non des textes opposable. "vérifier la conformité des répartitions" : en réunion, le Dasen adjoint a bien rappelé que la répartition était du ressort du directeur et d'après lui c'est bien la seule avec l'organisation des services de surveillance et quelques autres annexes. En quoi, un IEN qui vient quelques heures au mieux par année serait plus à même de faire une répartition qu'un directeur sur place ? L'infantilisation de tes propos, pour le coup, est vraiment inquiétante...un directeur ne serait pas capable d'agir en toute légitimité et indépendance comme toute personne chargée d'une mission? Tu m'as l'air bien énervé, tu déformes mes propos...soit. Réjouissons nous qu'un dirlo puisse faire des cm1/gs, des classes à 10 et d'autres à 30, puisque le texte dit que c'est son drooaaa, et qu'il puisse même envoyer balader ses collègues et son IEN. Sauf que c'est en lisant des choses comme ça que je me réjouis que les dirlos ne soient pas des supérieurs hiérarchiques.
montagny Posté(e) 26 janvier 2016 Auteur Posté(e) 26 janvier 2016 je ne serais pas aussi catégorique. les directeurs agissent sous la tutelle d'un supérieur hiérarchique, l'IEN, comme les adjoints d'ailleurs. Que ferait un IEN en apprenant qu'un dirlo a validé une répartition aberrante ? L'Ien a bien pour mission de vérifier la conformité des répartitions et la prise en compte des intérêts de enfants avant ceux du personnel. Je me demande ce qu'un recours au TA donnerait en pareille circonstance... Je sais bien que la quasi totalité des dirlos sont compétents et consciencieux, je ne dis pas autre chose, mais je trouve cette réaction épidermique "c'est mon pouvoir, pas le sien" un poil inquiétante. En quoi respecter les textes et les prérogatives du directeur est inquiétant? Tu emploies le mot "pouvoir" alors que les textes parlent de "rôle". Non le rôle d'un IEN n'est pas de "vérifier la conformité des répartitions" ; et quelle conformité ? Il y a des recommandations pour les répartitions et non des textes opposable. "vérifier la conformité des répartitions" : en réunion, le Dasen adjoint a bien rappelé que la répartition était du ressort du directeur et d'après lui c'est bien la seule avec l'organisation des services de surveillance et quelques autres annexes. En quoi, un IEN qui vient quelques heures au mieux par année serait plus à même de faire une répartition qu'un directeur sur place ? L'infantilisation de tes propos, pour le coup, est vraiment inquiétante...un directeur ne serait pas capable d'agir en toute légitimité et indépendance comme toute personne chargée d'une mission? Tu m'as l'air bien énervé, tu déformes mes propos...soit. Réjouissons nous qu'un dirlo puisse faire des cm1/gs, des classes à 10 et d'autres à 30, puisque le texte dit que c'est son drooaaa, et qu'il puisse même envoyer balader ses collègues et son IEN. Sauf que c'est en lisant des choses comme ça que je me réjouis que les dirlos ne soient pas des supérieurs hiérarchiques. qui déforme les propos ? As-u déjà vu de telles répartitions et si oui combien? En 18 ans je n'en ai jamais vu.
barbotinne Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 je ne serais pas aussi catégorique. les directeurs agissent sous la tutelle d'un supérieur hiérarchique, l'IEN, comme les adjoints d'ailleurs. Que ferait un IEN en apprenant qu'un dirlo a validé une répartition aberrante ? L'Ien a bien pour mission de vérifier la conformité des répartitions et la prise en compte des intérêts de enfants avant ceux du personnel. Je me demande ce qu'un recours au TA donnerait en pareille circonstance... Je sais bien que la quasi totalité des dirlos sont compétents et consciencieux, je ne dis pas autre chose, mais je trouve cette réaction épidermique "c'est mon pouvoir, pas le sien" un poil inquiétante. En quoi respecter les textes et les prérogatives du directeur est inquiétant?Tu emploies le mot "pouvoir" alors que les textes parlent de "rôle". Non le rôle d'un IEN n'est pas de "vérifier la conformité des répartitions" ; et quelle conformité ? Il y a des recommandations pour les répartitions et non des textes opposable. "vérifier la conformité des répartitions" : en réunion, le Dasen adjoint a bien rappelé que la répartition était du ressort du directeur et d'après lui c'est bien la seule avec l'organisation des services de surveillance et quelques autres annexes. En quoi, un IEN qui vient quelques heures au mieux par année serait plus à même de faire une répartition qu'un directeur sur place ? L'infantilisation de tes propos, pour le coup, est vraiment inquiétante...un directeur ne serait pas capable d'agir en toute légitimité et indépendance comme toute personne chargée d'une mission? Tu m'as l'air bien énervé, tu déformes mes propos...soit.Réjouissons nous qu'un dirlo puisse faire des cm1/gs, des classes à 10 et d'autres à 30, puisque le texte dit que c'est son drooaaa, et qu'il puisse même envoyer balader ses collègues et son IEN. Sauf que c'est en lisant des choses comme ça que je me réjouis que les dirlos ne soient pas des supérieurs hiérarchiques. Et si c'est un IEN qui propose ce genre de répartition Et si un PE copain de l'IEN propose ce genre de répartition etc... Bref les "si" Non mais et puis les droits des juges sont aussi à revoir, si jamais l'un d'eux fait n'importe quoi non ? Le directeur répartit les moyens point c'est tout.
papillon2704 Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 C'est sûr qu'on a jamais vu de situations qui dysfonctionnent dans les répartitions, c'est toujours une bonne partie de rigolade. Pour moi, ce post serait resté complétement anecdotique s'il ne révélait un rapport au pouvoir de certains directeurs un peu inquiétant. C'est mon avis, mon expérience ça na vaut que ça, rien de plus. Le nœud gordien de cette histoire, on le connait, statut / pas statut..., supérieur/ pas supérieur...j'ai mon avis là-dessus.
barbotinne Posté(e) 26 janvier 2016 Posté(e) 26 janvier 2016 Non le probleme de ce poste c'est qu'un syndicat donne une information erronnée alors que tout est régit par un texte de loi
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant