Mirobolande Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Je binge-watch Tron entre deux dodos et deux prises de médocs. Je regarde le panier de linge qui ne s'étendra pas tout seul;
PtitCafé Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Je viens d'étendre une première lessive, j'attends la seconde, j'écoute du Dalida ... mdr. Ma vie est passionnante.
Torque Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Tu sais qu'ils en cherchent des comme toi, à "C'est mon choix"...!
Ljub Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Et si t'es une sosie de Dalida, c'est encore mieux.
Ljub Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Ici, on te préfère de ton vivant . Tant qu'à faire !
PtitCafé Posté(e) 2 février 2018 Posté(e) 2 février 2018 Huit heures après avoir mangé du maroilles ...
Torque Posté(e) 4 février 2018 Posté(e) 4 février 2018 Les auteurs japonais ont cette extraordinaire facilité à voir et décrire le monde dans ce qu'il a de plus simple et de plus beau, de plus cruel et de plus barbare, en liant tout ça dans des peintures déroutantes où se côtoient le bleu du ciel et des blessures ouvertes, le blancs des fleurs de cerisiers aux branches noires fines et fortes, des intérieurs minimalistes et de sombres ruelles sordides et mouillées de leurs nuits, des rituels ancestraux et des fiertés contemporaines. La quête ne peut être qu'existentielle et les sentiments poussés à leurs limites, les êtres sont décrits dans leurs paradoxes les plus improbables. C'est japonais, fume, ça fait du bien.
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