Ljub Posté(e) 14 décembre 2017 Posté(e) 14 décembre 2017 Bonne idée . J'aurais dû acheter des papillotes ce matin.
laure m Posté(e) 14 décembre 2017 Auteur Posté(e) 14 décembre 2017 Toujours claquee mais je relativise
laure m Posté(e) 14 décembre 2017 Auteur Posté(e) 14 décembre 2017 Toujours claquee mais je relativise Il le faut
joelafrite Posté(e) 15 décembre 2017 Posté(e) 15 décembre 2017 Très bizarre . . . Pas fatigué, mais du vague à l'âme. Des mauvaises nouvelles cette semaine et pas mal d'émotions.
joelafrite Posté(e) 15 décembre 2017 Posté(e) 15 décembre 2017 Je me pose pas mal de questions, sans vraiment m'en poser, tout en m'en posant Bizarre quoi (je vous avais prévenus :D)
Torque Posté(e) 15 décembre 2017 Posté(e) 15 décembre 2017 à l’instant, joelafrite a dit : Je me pose pas mal de questions, sans vraiment m'en poser, tout en m'en posant Bizarre quoi (je vous avais prévenus :D) Cela dit même sans mauvaises nouvelles particulières, l'approche des fêtes -et particulièrement Noël- provoque souvent des coups d'mou, du vague à l'âme, comme si on vivait ça comme un aboutissement, une ligne d'arrivée, et qu'on relâchait la pression juste avant de la franchir. Le tout mélangé à de vieux souvenirs, au dernières fêtes du même ordre passées en l'absence de récents disparus etc, mélange d'enfance et de dure réalité présente, bref si on ajoute la fatigue de fin de trimestre et la sourde crainte de nouveaux attentats.... 1
sev02 Posté(e) 15 décembre 2017 Posté(e) 15 décembre 2017 Bof bof ce soir.... Des IP, des parents mécontents,des pbs de cars,des rdv qui s enchaînent,des gosses ultra chiant,un manque de sommeil et un ras le bol général.....
Ljub Posté(e) 16 décembre 2017 Posté(e) 16 décembre 2017 Il y a 13 heures, joelafrite a dit : Je me pose pas mal de questions, sans vraiment m'en poser, tout en m'en posant Bizarre quoi (je vous avais prévenus :D) Mais non, mais non !
kiko Posté(e) 16 décembre 2017 Posté(e) 16 décembre 2017 Il y a 21 heures, Torque a dit : Cela dit même sans mauvaises nouvelles particulières, l'approche des fêtes -et particulièrement Noël- provoque souvent des coups d'mou, du vague à l'âme, comme si on vivait ça comme un aboutissement, une ligne d'arrivée, et qu'on relâchait la pression juste avant de la franchir. Le tout mélangé à de vieux souvenirs, au dernières fêtes du même ordre passées en l'absence de récents disparus etc, mélange d'enfance et de dure réalité présente, bref si on ajoute la fatigue de fin de trimestre et la sourde crainte de nouveaux attentats.... Tu as encore les bons mots pour le dire... Il y a 21 heures, joelafrite a dit : Je me pose pas mal de questions, sans vraiment m'en poser, tout en m'en posant Bizarre quoi (je vous avais prévenus :D) Si tu veux en parler..
Mirobolande Posté(e) 21 décembre 2017 Posté(e) 21 décembre 2017 Ça allait mieux, je suis allée bosser lundi et dans la nuit j'ai senti les vieilles douleurs se réveiller. Kiné mardi à 11 h. Electrostimulation, mais au but de 20 minutes, je ressens comme des coups de couteau dans le bas du dos, plusieurs fois, la douleur est atroce. Je crie, et je défie d'ailleurs quiconque de retenir un cri devant une telle douleur. La kiné entre pour m'enlever les électrodes et je me fais engueuler: "il ne faut pas crier comme ça, vous n'êtes pas toute seule ici", et elle me le répète deux fois. Je craque complètement, des sanglots, des pleurs, des spasmes.Je n'avais pas pleuré comme ça depuis des années Il a fallu qu'elle "m'aide" à me relever. Médecin, pleurs, pharmacie, pleurs, je monte dans la voire, le sac de médicaments tombe par terre, pleurs, comment je vais faire pour les ramasser.Je les avale dans la voiture et je tente de rentrer chez moi en ralentissant aux dos d'âne... Bref, elle n'aurait pas dû placer ses électrodes, c'était une crise et il faut d'abord calmer par des médocs. Bon, je peux lui pardonner son manque de clairvoyance. Mais pas son attitude. Je change de kiné et tant ps s'il est difficile d'en trouver un ici. J'en pleurais encore hier, de penser à la douleur, qui est une chose, mais encore plus à la manière dont j'ai été accueillie. Faut pas faire de bruit, pas déranger quoi. Et j'ai crié juste pour emmerder le monde. Et pour la suite, j'ai la trouille parce que si les anti- inflammatoires calment la douleur, je me demande quand même où trouver la solution. Il en faut une, parce que quand j'ai mal comme ça, juste l'impression que la vie s'arrête... Quant à Noël, ben je le passerai toute seule chez moi, alors n'en parlons pas. Bon, on vient m'apporter des pellets aujourd'hui que je puisse quand même me chauffer.
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