phnad Posté(e) 10 mai 2018 Posté(e) 10 mai 2018 En tous cas nous aussi, nous sommes en ligne de mire. Quand le ministre de l'E.N. annonce que nous allons avoir de super formations, à raison de 18 H par an (qui ne sont que des animations pédagogiques !) et que celles-ci sont comptabilisées sur notre crédit de formation continue de 36 jours sur une carrière !
noune429 Posté(e) 10 mai 2018 Posté(e) 10 mai 2018 il y a 46 minutes, phnad a dit : En tous cas nous aussi, nous sommes en ligne de mire. Quand le ministre de l'E.N. annonce que nous allons avoir de super formations, à raison de 18 H par an (qui ne sont que des animations pédagogiques !) et que celles-ci sont comptabilisées sur notre crédit de formation continue de 36 jours sur une carrière ! 😲 Où as-tu lu ça?
phnad Posté(e) 10 mai 2018 Posté(e) 10 mai 2018 il y a 41 minutes, noune429 a dit : 😲 Où as-tu lu ça? Je me suis trompé pardon ! Il s'agit de 36 semaines sur une carrière. 18 H par an, ça équivaut à 3 jours en semaine à quatre jours. 36 semaines (toujours en semaine à quatre jours) c'est 144 jours. Pour épuiser ce crédit formation continue pour un débutant, il faudra 48 ans !!!!!!! Vu que la durée de cotisation retraite va augmenter avec l'accroissement de l'espérance de vie et la réforme consécutive des retraites...
noune429 Posté(e) 10 mai 2018 Posté(e) 10 mai 2018 Pas de soucis, mais où as-tu lu que les animations pédagogiques seront comptabilisées sur le crédit de formation ?
nonau Posté(e) 17 mai 2018 Auteur Posté(e) 17 mai 2018 COMMUNIQUÉ DE PRESSE FO CAP 22 : CAP DE DESESPERANCE POUR LE STATUT Le comité de pseudo-experts dénommé CAP22, a semble-t-il rendu ses conclusions en catimini au Premier ministre. Comme pour les cheminots, la direction des préconisations n’a qu’une orientation unique, celle de déprotéger l’ensemble des personnels concernés et détruire le cadre collectif qui les emploie et les sécurise en égalité de droits. Le cap étant fixé, la route pour y parvenir est toujours la même : faire croire que le statut est maintenu pour ceux en place et précariser l’embauche des nouveaux à travers la contractualisation. Force Ouvrière revendique depuis de nombreuses années une réelle évaluation des besoins publics et une projection concrète de l’évolution des missions et des services publics en cohérence. Les 5,4 millions de femmes et d’hommes, engagés ordinaires, nos héros du quotidien et notre fierté républicaine, méritent autre chose de la part de l’exécutif et du chef de l’Etat qu’une destruction idéologique de leur statut garant de la continuité républicaine. Quelle modernité ! Défendre et promouvoir le statut, c’est défendre la République une et indivisible, en lui assurant démocratiquement une neutralité au service de tous et donc de chacun. A travers lui, alors que les exécutifs passent, la République demeure. Face à cette menace dogmatique, la journée de mobilisation de l’ensemble des fonctionnaires et agents publics du 22 mai prochain prend une dimension nouvelle : plus que jamais nous devons nous battre et résister dans l’unité d’action la plus large possible. Paris, le 16 mai 2018 Contacts : Nathalie Homand Pascal Pavageau Secrétaire confédérale Secrétaire Général Département de l’Economie et du Service Public 01.40.52.84.47 01.40.52.86.01 nhomand@force-ouvriere.fr sg@force-ouvriere.fr
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