Aller au contenu

Corona virus et lieux publics (écoles...)


marie9375

Messages recommandés

Citation

"Depuis le début, on nous dit que le virus ne touche pas les jeunes. On l'a cru, comme tout le monde"

[...] "On devait avoir une vie classique", dit-elle finalement, jointe jeudi au téléphone par l'AFP, à son domicile en banlieue parisienne. "Elle avait juste une toux", répète Sabine. Une petite toux d'apparence bénigne apparue il y a une semaine, qu'elle avait tenté de soigner avec du sirop, des plantes, des inhalations. 

Samedi, Julie commence à ressentir des essoufflements. "Pas énorme, elle avait du mal à reprendre son souffle", se souvient sa mère. [...]

https://www.levif.be/actualite/europe/depuis-le-debut-on-nous-dit-que-le-virus-ne-touche-pas-les-jeunes-on-l-a-cru-comme-tout-le-monde/article-news-1270017.html?cookie_check=1585296171

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un article instructif sur les respirateurs artificiels :

Citation

Coronavirus : les respirateurs artificiels, clé de voûte de la riposte médicale

Dans « la guerre » que mènent les hôpitaux contre le coronavirus, en attente des études sur un éventuel remède médicamenteux, un appareil est essentiel : le respirateur artificiel. La revue scientifique The Lancet, s'appuyant sur des données collectées à Wuhan, l'épicentre de la pandémie, jugeait le 24 février que ces appareils étaient même « le principal traitement » pour les patients en phase critique.

http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-les-respirateurs-artificiels-cle-de-voute-de-la-riposte-medicale-26-03-2020-8288259.php

 

Qui dit vrai ?

Citation

Le recensement est en cours. En 2009, une enquête de la sous-direction de l'organisation du système de soins au ministère de la Santé évaluait à 7 007 le nombre de respirateurs en réanimation (contre 9 236 trois ans plus tôt). Il y a une semaine, Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, a affirmé que la France disposait de « plusieurs dizaines de milliers de réanimateurs ». « On a toutes sortes d'autres activités, de transport par Samu, de blocs opératoires, de salles de réveil, où vous avez aussi des respirateurs », expliquait-il, pour rassurer. Dans le Grand Est pourtant, où les cas graves explosent, des soignants, faute de matériel, ont dû opérer un tri entre les malades.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 25 minutes, prof désécol a dit :

Un peu mal à l'aise vis-à-vis de ce témoignage. Gênée sans aucun doute, parce que mes interrogations ne pèsent pas lourd face à la souffrance de cette famille. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cette situation est gérée par des amateurs incompétents. On serait dans un pays qui ne détruit pas ses services publics ou ses dispositifs bienveillants on n'en serait pas là. On ne serait pas dans un monde globalisé où la nouvelle religion de la consommation tue, on n'en serait pas là...

1/ On ne confine pas sans tester sinon cela ne sert à rien!

2/ On ne sort pas de sa maison sans masque sinon ça ne sert à rien.

Ensuite je rejoins Melendil, on pourrait aussi faire tous les soirs le décompte des décès dus aux cancers (combien? 10 fois? 100 fois plus que le corona?), aux AVC, à la pollution, à la grippe saisonnière...Histoire de faire encore plus peur aux gens!

Le professeur Raoult pour déconner a dit en janvier que cette grippe ne tuera pas plus que les accidents de trottinettes ... en fait qu'une grippe saisonnière. Dans un pays civilisé où les dirigeants n'auraient pas détruit les services publics et les stocks de masques ou de tests, cette grippe serait sous contrôle. Des gens testés négatifs au boulot avec masques, les autres confinés avec interdiction stricte de sortir (comme sur le paquebot au Japon) même pour faire des courses.

Là, on voit, on entend des trucs insensés, il faut se pincer pour y croire du genre: "Mon ado a-t-il le droit de sortir seul pour promener le chien?" au 20h30 avec un ministre pour répondre! 

 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/indre-loire/tours/coronavirus-medecin-origine-plainte-contre-philippe-buzyn-raconte-se-dit-lanceur-alerte-1805334.html

Citation

Coronavirus : le médecin à l’origine de la plainte contre Philippe et Buzyn raconte et se dit « lanceur d’alerte »

Le Dr Sarrazin n’en est pas à son premier coup d’éclat. Il faisait déjà partie des professionnels à avoir saisi l’Organisation mondiale de la santé pour contraindre la France à fermer les classes. Jeudi dernier, il a, avec un confrère médecin et un juriste spécialisé, initié un dépôt de plainte collectif contre le Premier ministre et l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzin pour « mensonge d’Etat ». « C’est la seule possibilité que nous ayons pour faire avancer les choses ! explique-t-il. Nous sommes sur le terrain et il est navrant de constater que l’Etat a tout fait pour traîner la patte. »

Concrètement, ces praticiens accusent Agnès Buzyn et Édouard Philippe de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour freiner l'arrivée de l'épidémie en France, alors même qu'ils avaient connaissance du danger.

Des tests à grande échelle et un isolement ciblé

Parmi les motifs de colère, il y a bien sûr la question des masques : « par exemple pour nous protéger au cabinet, nous avons dû nous fournir chez des carrossiers ; c’est tout de même incroyable d’en arriver là !  Des stocks existent, affirme-t-il. Pourquoi les distributions ne se font-elles qu’au compte-gouttes ? Nous réclamons un véritable audit sur les stocks de masques. »

Au-delà des masques, c’est la gestion de la crise elle-même qui est remise en cause : « Il fallait agir plus vite et s’inspirer de l’expérience de la Chine et de la Corée du Sud : réaliser des tests à grande échelle et procéder à un isolement ciblé, comme dans ces deux pays. On voit bien que c’est ce qui s’est révélé le plus efficace. »

« Nous ne voulons pas briser l’unité nationale ! »

« Notre action ne vise pas du tout à briser l’unité nationale qui reste indispensable ; nous sommes seulement des lanceurs d’alerte ! » explique le médecin. Dans leurs accusations, ils s’appuient sur les déclarations d’Agnès Buzyn qui affirme elle-même dans une interview donnée au journal Le Monde avoir alerté le Premier ministre dès le mois de janvier sur la gravité de la situation. Pour leur avocat, Fabrice Di Vizio, « seule une enquête pénale permettra de connaître l’étendue des informations qui ont ainsi été cachées aux Français ».

Les médecins ont ainsi saisi la Cour de Justice de la République, qui est la seule juridiction habilitée à juger les actes commis par les membres du gouvernement dans l'exercice de leurs fonctions.

Créé pour l’occasion, le collectif C19 a ouvert une page Facebook. En quelques jours près de 3 000 professionnels de santé les ont rejoints et les échanges vont bon train. Certains membres veulent aller plus loin, ne pas se contenter de dénoncer et devenir une véritable force de proposition au sein du groupe « Santé 2022 ». Leur but : utiliser l’expérience du Covid19 pour proposer une gestion de crise et un système de santé plus efficaces à l’avenir.

Deux ministres devant la Cour de Justice de la République

La plainte déposée devant la Cour de Justice de la République s’appuie sur l'article 223-7 du code pénal, selon lequel 
« quiconque s'abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d'emprisonnement et de
30 000 euros d'amende 
».

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 5 minutes, prof désécol a dit :

La cour de justice de la République... Ce n'est pas la juridiction d'exception où les juges sont les poteaux des accusés?

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/hopital-un-plan-massif-qui-n-efface-pas-le-passif_142841

Citation

Hôpital: un "plan massif" qui n'efface pas le passif

Le "plan massif" promis mercredi soir par Emmanuel Macron pour l'hôpital après l'épidémie de coronavirus laisse les soignants sceptiques, après des mois de grève et une succession de plans gouvernementaux jugés insuffisants

Soudain, l'argent coule à flots dans les hôpitaux. Le chef de l'Etat avait déjà juré le 12 mars "mobiliser tous les moyens financiers nécessaires (...) pour sauver des vies, quoi qu'il en coûte", car "la santé n'a pas de prix". [...]

Son "plan santé" présenté en septembre 2018 ne prévoyait ainsi pour l'hôpital public qu'une refonte de la carte sanitaire, avec la création d'établissements "de proximité" sans chirurgie ni maternité - et dont on n'a guère entendu parler depuis.

La grève des blouses blanches à partir du printemps 2019 a ensuite obligé le gouvernement a lâcher successivement une prime en juin (70 millions d'euros), puis un "pacte de refondation" en septembre (750 millions) et enfin un "plan d'urgence" en novembre (1,5 milliard, hors reprise de dette).

Sauf que, quatre mois plus tard "ça s'est traduit simplement par une petite prime de 66 euros qui concerne 11% des infirmières, celles en tout début de carrière, et seulement dans quatre départements", a déploré M. Amouroux, en référence à l'indemnité créée pour les soignants de la région parisienne.    [...]

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://actu.fr/ile-de-france/saint-denis_93066/coronavirus-seine-saint-denis-une-caissiere-carrefour-saint-denis-decede-covid-19_32605622.html

Citation

Coronavirus en Seine-Saint-Denis : une caissière de Carrefour de Saint-Denis décède du Covid-19

Jeudi 26 mars 2020, une salariée de Carrefour à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), âgée de 52 ans, est décédée du coronavirus Covid-19. Elle était caissière et déléguée CGT.

Une cellule psychologique

Aïcha I. était caissière depuis plusieurs années au sein du Carrefour de Saint-Denis, elle était aussi déléguée et animatrice de sa section CGT dans le groupe Carrefour. Elle était « très impliquée dans la défense des droits des employés », déclare un groupe de dyonisiens.

Selon nos informations, Aïcha I. était arrêtée depuis mardi 17 mars 2020 après avoir contracté symptômes du Covid-19. Le magasin avait entièrement été désinfecté ensuite. Une cellule psychologique a été mise en place pour les autres salariés.

La CGT Commerce et Services s’indigne de ce nouveau décès,  » Nous avons eu beau alerter le patronat et le gouvernement sur les réels risques liés à l’exposition de ces salariés dans le cadre de leur travail, en vain. La rentabilité et le profit ont eu raison de la santé et de la vie des travailleurs. »

La CGT demande de réduire l’ouverture de la grande distribution.

La Fédération CGT Commerce et Services exige une nouvelle fois du gouvernement qu’il impose aux groupes de la grande distribution de n’ouvrir que les rayons des produits de première nécessité, de restreindre les amplitudes d’ouvertures et de fermer le dimanche. Les salariés sont suffisamment exposés ! Combien de morts vous faut-il encore pour comprendre ?

Aïcha I. était très appréciée

De nombreux messages de soutien lui ont été adressés par les réseaux sociaux. Aïcha I. était très appréciée par les habitants ainsi que par ses collègues. Ils ont décidé de lancer une cagnotte pour aider sa famille.

Le maire de Saint-Denis a lui aussi adressé un mot après l’annonce du décès de cette salariée.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les caissières ... Les ouvriers ... Les manutentionnaires ... Les personnels d'entretien ... Les intérimaires ... Des gens qui l'ont toujours dans l'os !!! Pauvre dame ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 9 heures, prof désécol a dit :

En Chine ça fait des mois qu'ils le savent ... Et qu'ils savent aussi que le port du masque est un incontournable, contrairement à ce qu'on nous raconte depuis des semaines !

  • J'adhère 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.20minutes.fr/societe/2749331-20200327-coronavirus-operateurs-vont-bientot-livrer-donnees-geolocalisation-commission

Citation

Les opérateurs vont livrer des données de géolocalisation à la Commission

La Commission européenne devrait recevoir « dans les prochains jours » de la part de plusieurs opérateurs de télécoms des données de géolocalisation anonymisées afin d’anticiper les pics de propagation de l’épidémie de coronavirus, a indiqué ce mercredi une source à la Commission. Le commissaire européen chargé du marché intérieur, Thierry Breton, s’est entretenu ce lundi avec les patrons de plusieurs grands opérateurs européens.

Orange, Telecom Italia, Telefonica et Vodafone se sont dits prêts à partager ces métadonnées, a-t-on ajouté de même source. Il s’agit à l’échelle d’une ville de comparer les déplacements de jour avec ceux de nuit. Ces métadonnées, « anonymisées et agrégées », doivent servir au JRC, le centre d’étude scientifique de la Commission qui travaille sur des algorithmes pour analyser la propagation du virus.

Des conditions de stockage respectées

L’exploitation de ce type de données se fait déjà dans plusieurs États membres. En France, Orange travaille avec l’Institut français de la recherche médicale (Inserm) pour mieux suivre les mouvements de la population pendant la pandémie.

Le but est d’aider les milieux hospitaliers à se préparer et anticiper les besoins en termes d’équipements, explique la source à la Commission, qui ajoute que ces données ont vocation à être détruites dès la fin de l’épidémie. Selon cette source, leur utilisation est conforme à la directive ePrivacy, les conditions de stockage répondent au Règlement européen sur la protection des données (RGPD), et le contrôleur européen de la protection des données a été consulté.

Une eurodéputée s’inquiète

« Cela n’a rien à voir avec ce qui a pu être mis en place en Corée du Sud ou à Singapour pour traquer le respect du confinement », assure-t-on de même source. « Il ne s’agit en aucun cas de chercher à retracer le mouvement de personnes individuellement ». Mais pour l’eurodéputée néerlandaise Sophie in’t Veld (Renew), qui a écrit une lettre à Thierry Breton pour demander un certain nombre d’éclaircissements, « dans la pratique il est très difficile d’anonymiser » les données.

« J’aimerais savoir quelle méthode ils vont utiliser, et ce qu’ils vont faire pour assurer la protection de la vie privée », a-t-elle expliqué. « Il faut être attentif. Je ne voudrais pas me réveiller un jour en me rendant compte que les garde-fous de la démocratie et de l’État de droit dans l’UE ont disparu ».

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...