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Corona virus et lieux publics (écoles...)


marie9375

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J'ai reçu un mail du snuipp Paris, la règle sur Paris est de fermer les écoles maternelles dès le premier cas, et uniquement la classe d'élémentaire s'il n'y a qu'un cas. Au delà, fermeture de toute l'école. Ils ne disent pas ce qu'ils font dans les polyvalentes.

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De toutes manières comme on ne teste pas les enfants, on ne peut pas savoir si on a des cas dans les écoles... :closedeyes:

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Mesdames, Messieurs,
 

Je vous indique que la FAQ Covid-19 en ligne va être modifiée.

En effet, les autorités sanitaires nous ont fait savoir que le maintien à domicile systématique des enseignants et personnels en établissement qui résident dans les zones de circulation intense du virus ne se justifiait pas.

Les autorités sanitaires considèrent qu’il n’y a pas lieu de maintenir ces personnes à domicile de manière systématique. Sous réserve de respecter strictement les consignes sanitaires,  l’ensemble des personnels qui travaillent en établissement scolaire peuvent donc  rejoindre leur lieu travail,  dès lors qu’une solution de télétravail ne peut être envisagée compte tenu notamment de la nature de leurs fonctions.

Ils doivent d’une part, prévenir leur chef d’établissement ou leur directeur d’école de leur situation et, d’autre part, éviter les contacts prolongés et de proximité avec les enfants accueillis de même qu’avec les personnes fragiles (femmes enceintes,  personnes âgées, personnes handicapées…).

Les organisations syndicales ont été informées par le cabinet du Ministre de cette nouvelle consigne.

Le maintien à domicile au cours des jours écoulés sera couvert par une autorisation d’absence exceptionnelle pour les personnels qui n’auraient pas été en situation de télétravail.

https://www.education.gouv.fr/coronavirus-covid-19-informations-et-recommandations-pour-les-etablissements-scolaires-et-les-274253

 


Signé : Daniel Auverlot
Recteur de l'académie de Créteil
 
 
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Il y a 12 heures, Goëllette a dit :

Je ne me souvient plus d'avoir parlé de statut, juste d'une catégorie de collègues qui nous manque cruellement actuellement et dont les conditions de travail se dégradent dans l'indifférence générale.

on digresse un peu, mais sincèrement pour moi ce n'est pas dans l'indifférence générale, j'entends plus que souvent les collègues demander plus de remplaçants (que ce soit en instances ou dans des discussions de tous les jours) 

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Il y a 12 heures, Lulublue2 a dit :

J'arrive un peu comme un cheveu sur la soupe mais... je suis en confinement aussi  (département touché), j'ai mis des docs sur ENT, prévenu les parents par mail... Hier l'EREF de mon secteur m'appelle et m'indique qu'il faut que je rappelle un parent, de chez moi, donc avec mon portable perso. Qu'en pensez-vous ?

L'ENT doit avoir un système de messagerie non? Sinon Hors de question de rappeler avec mon numéro personnel un parent. Surtout qu' a priori je ne vois pas trop l'urgence de cet appel :glare:

Et ce sachant que mon numéro risque par la suite de se transmettre de parents en parents pour des appels aussi urgents que "Que faut-il faire dans l'exercice 5?" voire en fin de période de confinement par "il a vomi cette nuit et ne viendra pas à l'école aujourd'hui".

L'EN veut que nous soyons joignables à tout moment? Qu'elle nous en donne les moyens.

Et cela vaut aussi pour les ordinateurs qui nous permettent de mettre des docs sur l'ENT et d'envoyer des mails aux parents.:bleh:

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il y a 34 minutes, pescalunette a dit :

éviter les contacts prolongés et de proximité avec les enfants accueillis 

 

Ça va être compliqué,non ?

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Rha la la le personnel des soignants et enseignants sont devenus les forces de la Nation! On a bien besoin d'eux en cette crise épidémique.... pourtant on s'est bien foutu de nous!! 

On a l'impression d'être les petits soldats bien indispensables en ce moment pour préserver l'équilibre du pays. Si je n'avais pas envie de gerber j'en rirais ... 

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il y a 2 minutes, kiko a dit :

Rha la la le personnel des soignants et enseignants sont devenus les forces de la Nation! On a bien besoin d'eux en cette crise épidémique.... pourtant on s'est bien foutu de nous!! 

On a l'impression d'être les petits soldats bien indispensables en ce moment pour préserver l'équilibre du pays. Si je n'avais pas envie de gerber j'en rirais ... 

Mais tellement... !

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Il y a 11 heures, lilie2fr a dit :

Ben non

Sinon à Paris...1 classe fermée...pas l'école juste la.classe...pas de malade à Paris, n est ce pas ? 

 

Il y a 9 heures, doubleR a dit :

Non, envoie un mail. 

 

Il y a 10 heures, orchidée a dit :

Non.C'est lui qui le rappelle avec son téléphone pro.

 

Il y a 10 heures, titane77 a dit :

Je ne sais pas ce qu'est un EREf mais non je n'appelle pas avec mon n°perso.

Les chiffres par contre sont faux pour moi, combien de personnes arrêtées pour grippe et qui ont en fait l virus? Combien de personnes qui n'ont que de légers symptomes et qui n'ont pas appelé leur médecin traitant (ou qui l'ont fait), mais qui n'ont pas appelé le 15. Comme je disais plus haut dans la société de mon frère beaucoup d'arrêt maladie, et pourtant les chiffres de notre département restent faibles (ça m'étonne beaucoup).

Merci 😊 Ça me rassure de voir que je ne suis pas la seule à penser comme ça, car sa réponse m'a vraiment fait comprendre que je suis une grosse psychorigide 😕😠😴

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https://www.sciencesetavenir.fr/sante/coronavirus-eviter-le-crash-des-hopitaux-une-responsabilite-collective_142341

Citation

Coronavirus : éviter le crash des hôpitaux, une responsabilité collective

 
"Chaque journée qui ralentit l'épidémie est une journée supplémentaire accordée aux hôpitaux pour se préparer", a martelé le patron de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. Des craintes que le grand public a parfois du mal à comprendre, car la maladie est bénigne dans 80% des cas et menace avant tout les plus de 80 ans ainsi que les personnes qui souffrent d'autres pathologies graves.

"Jusqu'à présent, les gens ont l'impression que cette maladie est un danger individuel, alors que c'est un danger populationnel : à de très rares exceptions près, les jeunes ne vont pas en mourir, mais par contre, ils vont participer au blocage des hôpitaux qui va faire que d'autres en mourront", explique à l'AFP le médecin réanimateur belge Philippe Devos. C'est la hantise des autorités sanitaires mondiales : une explosion brusque des cas, qui conduirait à un afflux massif de patients dans des hôpitaux inexorablement débordés. Cela compliquerait non seulement la prise en charge des malades atteints de formes graves du Covid-19, mais aussi de tous ceux atteints d'autres pathologies. Et ce serait encore pire si les soignants venaient à manquer, en cas de contamination d'un grand nombre d'entre eux"A cause de ce double facteur - une surcharge de travail avec moins de personnel - les malades atteints de pathologies urgentes ne seraient plus soignés dans les temps et risqueraient de décéder", redoute le Dr Devos.

Chacun à son rôle à jouer

Sur les réseaux sociaux, nombre de médecins du monde entier s'alarment du risque de saturation des hôpitaux, renforcé par le fait que l'épidémie de grippe toujours en cours bloque déjà des lits. Pour éviter le crash, ils insistent sur l'importance des mesures individuelles de lutte contre le coronavirus (se laver les mains, tousser dans son coude, s'isoler si on est malade, etc.) comme des décisions politiques qui concernent la population (interdiction des rassemblements, annulation des événements, quarantaines, etc.).

Ces alertes sont résumées sur Twitter par le mot-clé #FlattenTheCurve ("aplatir la courbe"). Il signifie que chacun a son rôle à jouer en appliquant ces mesures, non pas pour réduire le nombre total de cas, mais plutôt pour freiner l'épidémie en l'étalant dans le temps. Objectif : faire en sorte que le pic soit moins brusque (c'est la fameuse courbe à aplatir) et que le nombre de cas simultanés ne dépasse pas les capacités du système hospitalier.

"Si la courbe n'est pas aplatie, les patients arriveront en masse à l'hôpital et on devra en refouler alors qu'ils devraient être hospitalisés parce qu'ils sont trop malades", prévient le Dr Devos. Selon la solidité du système de santé du pays, cela pourrait également amener les médecins à faire des choix éthiquement très lourds, en triant les malades à soigner parmi les plus graves, qu'ils soient atteints du nouveau coronavirus ou d'autres pathologies.

Les médecins du nord de l'Italie, région particulièrement touchée, y sont déjà confrontés, selon des témoignages. "On décide en fonction de l'âge et l'état de santé", comme "dans les situations de guerre", a assuré un anesthésiste-réanimateur de Bergame, Christian Salaroli, au quotidien Il Corriere della Sera"Comme il y a malheureusement une disproportion entre les ressources hospitalières, les lits en réanimation et les malades en stade critique, tout le monde ne peut pas être intubé", reconnaît le médecin italien. "Si une personne entre 80 et 95 ans a une grave insuffisance respiratoire, il est vraisemblable qu'on ne poursuivra pas", détaille M. Salaroli, en assurant que des médecins sortent "broyés de cette situation".

Comprendre la logique collective

Deuxième pays le plus touché en Europe, la France "surveille les réanimations et les services de soins intensifs", a affirmé le ministre de la Santé Olivier Véran. "Ce sont des services que nous préparons".

"Choisir qui on doit admettre dans les derniers lits de réanimation, c'est malheureusement des choix que les réanimateurs font déjà une ou deux fois tous les deux ou trois ans, par manque de place, lorsqu'une grippe saisonnière un peu plus virulente fait son apparition", commente le Dr Devos. Avec le nouveau coronavirus, "c'est indéniable qu'on va y arriver, et nous, réanimateurs, on voudrait que cette période où on doit faire des choix dure le moins possible, quelques jours et pas plusieurs semaines", renchérit-il. D'où l'importance que chacun applique les mesures: "C'est une responsabilité qu'on a pour les autres", insiste-t-il.

 

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