Ljub Posté(e) 6 janvier 2021 Auteur Posté(e) 6 janvier 2021 Il y a 1 heure, Pepettebond a dit : Je joue mais j'essaie aussi Nakamura, mais pas avant dimanche.... et faire de la pub sur d"autres post? Pourquoi pas ?
Pepettebond Posté(e) 6 janvier 2021 Posté(e) 6 janvier 2021 Purée déjà trois textes de Nakamura qui vont bien même pas un mot à changer .... Réponds ... Salut, salut comment vas-tu? J'voulais savoir comment ça se passait J't'ai envoyé dix messages J't'ai appelé plusieurs fois même Mais tu ne répondsais pas, ah babe Comme si tu m'entendais pas, ah babe J't'ai envoyé des mails pour qu'on partage un bout de sel Réponds, réponds, réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Mi-femme mi-attentat Quand tu me vois tu jubile Mais montre moi qui est le mal Montre moi ta force vitale J't'appelle depuis t'à l'heure, dis moi pourquoi tu n'répondss pas Et tous mes traitements de faveur t'ont pas rendu dingo de moi J'suis paranoïaque j'sais qu'tu mitonnes J'ai mal à la tête, tu m'prend pour une conne Marre de parler à ta messagerie depuis que je t'appelle sur ton téléphone Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Aya aya aya aya aya yeah Aya aya aya aya aya yeah Aya aya aya aya aya yeah Aya aya aya aya aya yeah Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle Réponds, réponds, réponds quand j'te parle Réponds, réponds, réponds quand j't'appelle J'ai dis réponds, réponds ouais
Pepettebond Posté(e) 6 janvier 2021 Posté(e) 6 janvier 2021 à l’instant, Tide a dit : Tu fais partie des vaccinés, Pepette? Pas encore mais je vais y aller POURQUOI? 😁
Ljub Posté(e) 6 janvier 2021 Auteur Posté(e) 6 janvier 2021 Dimanche, ce sera plus facile de savoir qui a écrit ce texte .
Pepettebond Posté(e) 6 janvier 2021 Posté(e) 6 janvier 2021 il y a 2 minutes, Tide a dit : A cause de ton virage nakamuresque... un effet indésirable? Un effet Ljubisque, j'ai un esprit de contradiction très développé, à l limite du mortifère
Pepettebond Posté(e) 6 janvier 2021 Posté(e) 6 janvier 2021 à l’instant, Ljubljana a dit : Dimanche, ce sera plus facile de savoir qui a écrit ce texte . Pour celui ci , sûr mais elle en a au moins trois autres qui collent parfaitement....
Ljub Posté(e) 10 janvier 2021 Auteur Posté(e) 10 janvier 2021 Tadaaam ! Le jour J est arrivé : voici les textes écrits, dans l'ordre alphabétique, par : Joelafrite, Pepettebond, PommeD'Api et Torque. Texte 1 : C’est l’histoire d’une cabine téléphonique qui voulait s’essayer au sport. Elle en a essayé plusieurs mais elle s’est finalement fixée sur le saut à la perche (elle est fan de Renaud Lavillenie). Elle se lance dans les essais, elle cherche une perche. Elle cherche aussi la barre de seuil pour mesurer son exploit. Elle part en ville en quête de sensations et de découvertes. Et là, ça y est, elle trouve son bonheur (sa perche). Elle prend son élan et… Elle atterrit par-dessus sa perche ! Collée, engluée… perchée ! C’est que la perche était un lampadaire amoureux. Il n’avait pas l’intention de laisser s’en aller sa tendre et douce qui a enfin reconnu sa valeur ! Et puis, une cabine téléphonique et un lampadaire, ça fait un beau couple. L’histoire ne dit pas s’ils vécurent longtemps et eurent de beaux enfants. L'histoire ne dit pas non plus si la cabine a poursuivi ses rêves de jeux olympiques. Texte 2 : ya Nakamura Oh non, oh yeah À tes côtés, j'ai des ailes C'est comme si t'avais toujours été là Tu fais danser mon cœur, j'ai des ailes J'avoue que tu m'as conquise On est liés, je l'comprends J'veux plus perdre de temps Si j'ai des doutes, serre-moi plus fort Mmh, plus fort, encore J'ressasse et j'repense, c'est toujours pareil Mon amour, j'le sens, tu peux pas me l'enlever J'repense et j'ressasse, c'est toujours pareil Plus le temps passe et tu fais danser mon cœur Comme un oiseau, je veux fly On est connectés Tu ressens, je ressens toutes ces failles On est connectés (yeah yeah, yeah) J'ai comme atteint les nuages Faut que jamais ça s'arrête Tu ressens, je ressens toutes ces vibes On est connectés, ça y est À tous les combats, je veux être là Tu peux compter sur moi J'ai le mental, tu sais déjà Non, j'ai pas peur de ça J'ai plus d'limites, j'en ai rien à faire J'vois mon chemin avec toi À travers ton regard, j'me vois Oui, tout l'reste autour, j'm'en fous J'ressasse et j'repense, c'est toujours pareil Mon amour, j'le sens, tu peux pas me l'enlever J'repense et j'ressasse, c'est toujours pareil Plus le temps passe et tu fais danser mon cœur Comme un oiseau, je veux fly On est connectés Tu ressens, je ressens toutes ces failles On est connectés J'ai comme atteint les nuages Faut que jamais ça s'arrête Tu ressens, je ressens toutes ces vibes On est connectés, ça y est J'm'inquiète pas quand toi, t'es là J'ai peur de rien du tout C'est magique, cette sensation en vérité Même dans le noir, je t'éblouis, yeah Comme un oiseau, je veux fly On est connectés Tu ressens, je ressens toutes ces failles On est connectés J'ai comme atteint les nuages Faut que jamais ça s'arrête Tu ressens, je ressens toutes ces vibes On est connectés, ça y est Texte 3 : Il était une fois dans un joli petit village de France, une jolie boîte aux lettres toute jaune et une fière cabine téléphonique très classe et toute vitrée qui se regardaient amoureuses l'une de l'autre depuis des années sans jamais avoir pu s'embrasser, ce qui est bien triste quand on est amoureux, surtout quand les hormones se mêlent à la fête. La jolie boite aux lettres toute jaune écrivait tout plein de jolies cartes postales et de belles lettres d'amour à la cabine téléphonique et la cabine téléphonique l'appelait pour la remercier et toutes les deux pouvaient rester comme ça des heures au téléphone et aucune des deux ne voulait jamais raccrocher la première et disaient bon je raccroche et elles ne raccrochaient pas, allez je raccroche, ah mais tu es toujours là pourquoi tu ne raccroches pas et toussa et au bout d'un moment ça devenait un peu triste mais c'était quand même beau parce que c'était de l'amour et que ça venait du coeur et aussi de pas mal d'autres organes très frétillants. Alors un jour et parce qu'elles en avaient assez de ne pas pouvoir s'embrasser pour de vrai elles décidèrent de chercher une solution et la belle cabine téléphonique appela de partout pour trouver une idée et la jolie boîte aux lettres toute jaune écrivit des milliers de lettres à tous les spécialistes du monde et un jour le Dieu des PTT entendit parler de cette histoire et après avoir beaucoup réfléchi il se dit qu'il y avait peut-être une solution. Alors il téléphona à la belle cabine téléphonique et lui dit voilà, il faut que tu pousses très très fort et comme ça tu vas grandir et quand tu seras assez haut tu te laisseras tomber doucement et tu arriveras à la jolie boite aux lettres jaune et vous serez enfin réunis et ce sera bien car quand Dieu a une idée en général c'est très très bien , à part la guerre et la Covid 19 mais ceci est une autre histoire. La belle cabine téléphonique se dépêcha d'en parler à la jolie boite aux lettres jaunes qui trouva ça très astucieux et lui envoya tout plein de lettres d'encouragement et de félicitations et la belle cabine téléphonique poussa très fort et même plus que ça et elle commença à s'allonger, s'allonger et durcir pour ne pas plier sous ce nouveau poids et la suite de l'histoire contrevenant à la charte du site pour apologie de la pornographie il ne nous reste qu'à l'imaginer. Texte 4 : C'est quand il avait vu des objets pousser qu'Henri-Bernard Crampouille avait commencé à s'inquiéter. Jusque-là, les manifestations se produisaient chez lui. Bruits étranges dans l'obscurité, voix qui murmuraient son nom, objets qui se déplaçaient inexpliquablement : un poltergeist avait élu domicile dans sa maison. Angoissant, mais au moins pouvait-il expliquer ces phénomènes. On ne le croyait pas. On riait de lui. Puis un matin, en allant à son travail, il avait vu comme des petits renflements sur les pelouses. Le soir, en revenant, le phénomène s'était accentué. Des petits monticules s'élevaient ici et là, sur les pelouses du village. Personne ne s'en étonnait, les gens allaient et venaient comme à leur habitude, sans remarquer quoi que ce soit d'anormal. Au bout de quelques jours, des formes rondes avaient percé les monticules et poussaient. Des lampadaires poussaient tout seuls ! Seul Henri-Bernard semblait conscient du problème. Un des lampadaires poussait sous une cabine téléphonique, la soulevant littéralement de terre. Que se passait-il ? Les gendarmes se moquaient de lui, l'exorciste n'avait rien décelé d'anormal, c'est le psy qui lui avait révélé la terrible vérité : il devait d'urgence arrêter de picoler. Texte 5 : Délibération municipale Il fut un temps où le conseil municipal n’avait rien de très glorieux à décider, la déchetterie, le prix de la cantine ; rien de bien folichon. Jusqu’au jour où il y eut un challenge intéressant à relever : intégrer les habitudes de nouveaux concitoyens. Il a fallu modifier bien des habitudes. La nourriture pour eux ne comptait pas, ils se nourrissaient d’oxygène pur. Les moyens de transports étaient trop archaïques ils se déplaçaient par la pensée. Pas beaucoup d’efforts à faire en ce sens. Par contre aujourd’hui il fallait prendre LA décision. Tom pensait que la réponse ne pouvait être que musicale. Roger voulait plutôt se tourner vers la sculpture. La proposition de Marguerite était plus tissages. Léonie ne voulait entendre parler que de peinture. Le conseil patinait, les propositions étaient tour à tour rejetées par les nouveaux venus. Il fallait créer un abri à la hauteur des demandes. Ils voulaient pouvoir dormir dans un abri artistique, élevé, transparent, qui permettrait d’observer le village pour faire une étude de la vie rurale. Une exigence impérative devait être tenue : recyclage. Ce fut Guenola qui eut l’IDEE. Il fallut d’un ancien entrepôt ressortir des vieilles cabines téléphoniques et les surélever au centre du village. Votée à l’unanimité, l’idée fut mise en œuvre, depuis ce jour les Vénusiens sont dans notre village comme si de tout temps il avaient vécus ici. Comme vous êtres des esprits sagaces, vous avez remarqué qu'il y a cinq textes pour quatre participants. L'enjeu est donc double : Qui a écrit quoi ? Qui a écrit deux textes ? Bonne réflexion à tous .
coccinutella Posté(e) 10 janvier 2021 Posté(e) 10 janvier 2021 Me*** j'ai zappé !! Mais j'adore vous lire !!
joelafrite Posté(e) 10 janvier 2021 Posté(e) 10 janvier 2021 Ils sont top, ces textes ! Tu n'as rien écrit, Ljub ?
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