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Les JO 2024


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il y a 9 minutes, Argon a dit :

 Tu inverses la charge de la preuve. C'est à celui qui veut participer à une épreuve olympique dans une catégorie donnée qu'il appartient de prouver qu'il relève de cette catégorie, selon les normes définies spécifiquement pour cette épreuve, pas aux autres de prouver qu'il ne l'est pas. De la même façon que, lorsque tu te présentes à un concours, c'est à toi de montrer que tu vérifies les conditions de diplôme, de nationalité, etc.

 Et en l'occurrence, ça ne me semble pas être une question de "choix", de l'intéressée ou non, ni d'État-Civil à la naissance...

Je n'inverse rien. Le critère pour participer à une épreuve féminine est d'être née femme. Elle remplit donc les conditions. S'il y a d'autres critères, donne-les nous. 

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Faudra aussi que Léon Marchand nous prouve qu'il n'est pas un dauphin... :closedeyes:

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il y a 17 minutes, B i b a dit :

Je n'inverse rien. Le critère pour participer à une épreuve féminine est d'être née femme. Elle remplit donc les conditions. S'il y a d'autres critères, donne-les nous. 

Un monde régi par toi aurait le mérite d'être simple...

Sans être un spécialiste, il y a des douzaines de critères à respecter pour être éligible aux JO. Ça va des conditions d'âge (né en 2007 au plus tard) à la production d'une attestation médicale de non-contre-indication en passant par l'absence de « la moindre quantité d'une substance interdite, de ses métabolites ou marqueurs »  (ne me demande pas ce que c'est, je recopie bêtement les "règles antidopage" du CIO ; il n'est d'ailleurs « pas nécessaire de faire la preuve de l'intention, de la faute, de la négligence ou de l'usage conscient de la part de l'athlète pour établir une violation des règles anti-dopage ».

 La question de la testostérone semble particulièrement compliquée : elle figure en bonne place sur la liste des substances dopantes ; mais les règles (arbitraires, comme il se doit) avoir été plusieurs fois modifiées ces derniers temps, pour prendre en compte en particulier le cas des personnes transgenre (je sais, ce n'est pas le cas ici ; n'empêche...). Et il semble que l'état actuel de la règlementation (qui semble en effet favorable à la boxeuse dont on parlait) ne satisfasse pas tout le monde, et qu'il y ait des chances qu'elles évoluent encore pas mal.

 Viennent ensuite les conditions de poids et de genre pour les catégories correspondantes, etc.

 

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il y a 37 minutes, Argon a dit :

Un monde régi par toi aurait le mérite d'être simple...

Sans être un spécialiste, il y a des douzaines de critères à respecter pour être éligible aux JO. Ça va des conditions d'âge (né en 2007 au plus tard) à la production d'une attestation médicale de non-contre-indication en passant par l'absence de « la moindre quantité d'une substance interdite, de ses métabolites ou marqueurs »  (ne me demande pas ce que c'est, je recopie bêtement les "règles antidopage" du CIO ; il n'est d'ailleurs « pas nécessaire de faire la preuve de l'intention, de la faute, de la négligence ou de l'usage conscient de la part de l'athlète pour établir une violation des règles anti-dopage ».

 La question de la testostérone semble particulièrement compliquée : elle figure en bonne place sur la liste des substances dopantes ; mais les règles (arbitraires, comme il se doit) avoir été plusieurs fois modifiées ces derniers temps, pour prendre en compte en particulier le cas des personnes transgenre (je sais, ce n'est pas le cas ici ; n'empêche...). Et il semble que l'état actuel de la règlementation (qui semble en effet favorable à la boxeuse dont on parlait) ne satisfasse pas tout le monde, et qu'il y ait des chances qu'elles évoluent encore pas mal.

 Viennent ensuite les conditions de poids et de genre pour les catégories correspondantes, etc.

 

Je te demande les critères pour être qualifiée aux épreuves féminines... et tu me réponds autre chose. Je sais que pour l'athlétisme, il ne suffit pas d'être née femme, le taux naturel de testostérone entre en compte. Certaines femmes, nées de sexe féminin, reconnues socialement, physiologiquement et génétiquement comme femmes, sont donc exclues de compétitions sportives parce qu'elles produisent naturellement plus de testostérone que la norme. C'est un constat. Pour la boxe féminine, comme je ne sais pas, je te demande les critères...

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Il y a 1 heure, Argon a dit :

 Tu inverses la charge de la preuve. C'est à celui qui veut participer à une épreuve olympique dans une catégorie donnée qu'il appartient de prouver qu'il relève de cette catégorie, selon les normes définies spécifiquement pour cette épreuve, pas aux autres de prouver qu'il ne l'est pas. De la même façon que, lorsque tu te présentes à un concours, c'est à toi de montrer que tu vérifies les conditions de diplôme, de nationalité, etc.

 Et en l'occurrence, ça ne me semble pas être une question de "choix", de l'intéressée ou non, ni d'État-Civil à la naissance...

Je reviens là-dessus. Comment une femme va-t-elle prouver qu'elle satisfait les critères pour participer à une épreuve féminine ? Faut-il un examen gynécologique préalable pour prouver qu'elle ne triche pas ? 

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il y a 37 minutes, B i b a dit :

Je te demande les critères pour être qualifiée aux épreuves féminines... et tu me réponds autre chose.

 Non. Pour être éligible aux épreuves féminines, il faut déjà remplir les conditions générales d'éligibilité.

il y a 37 minutes, B i b a dit :

Pour la boxe féminine, comme je ne sais pas, je te demande les critères...

  Je n'en sais strictement rien non plus. Visiblement, c'est compliqué, et ce ne sont déjà pas les mêmes pour l'IBA (International Boxing Association) et pour le CIO.

il y a 28 minutes, B i b a dit :

Comment une femme va-t-elle prouver qu'elle satisfait les critères pour participer à une épreuve féminine ? Faut-il un examen gynécologique préalable pour prouver qu'elle ne triche pas ? 

 Ça dépend évidemment des critères, que je ne connais pas. Je doute fort qu'aucun nécessite un examen gynécologique préalable. Mais j'imagine — je n'en sais rien — qu'en cas de contestation, le règlement peut en effet le prévoir.

 D'un point de vue juridique, je suppose que le règlement se garde bien de définir en aucune façon ce qu'est une femme. La solution qui me semble la plus probable est qu'il définisse plutôt qui est habilité à déterminer en dernier recours si une athlète est éligible ou non du point de vue médical, et que ce soit un médecin gynécologue du CIO, qui définira ses propres critères et les examens nécessaires pour les vérifier.

 

Modifié par Argon
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il y a 14 minutes, BobbyWatson a dit :

Le CIO a étudié et réglé la question. C'est une boxeuse, elle a le droit de participer, elle a gagné.

 

 

Voilà. Et tant qu'on n'a rien prouvé en matière de tricherie, on n'accuse pas. 

Modifié par B i b
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