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Évaluations et notes


chocolate1

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Je mets très bien: propre et sans erreur

Bien : 1 erreur ( exercice court)

Assez bien ( a fait des efforts),

moyen ( compris en partie seulement)

à revoir ( non acquis)

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Il y a 3 heures, Goëllette a dit :

Le problème, c'est que parents et enfants ne se rendent pas compte d'une chute de résultats avant de passer de 9 à 8ou de 4 à 3.

C'est le souci de l'absence de notation.

En cycle 2, ça n'a pas trop de conséquences, mais au cycle 3, ça en a davantage.

Dans tout processus apprentissage, il y a des moments de "chute" ou de stagnation. Noter les exercices quotidiens n'a alors que peu de sens. Une appréciation suffit à indiquer à tous (maitre, élève, parents) si la notion est globalement comprise ou non. Ce qui permet ensuite d'ajuster l'apprentissage en le rallongeant ou non, en le renforçant ou non.

Noter les compétences finales (bilans, test, ...) n'a pas beaucoup plus de sens si on part du principe qu'un test ne doit être proposé qu'au moment où l'élève est en mesure de le réussir; Dans le cas contraire, à quoi bon ?

Travailler en repensant l'évaluation me semble absolument primordial. Pour le bien de l'élève. Pour le bien de l'enfant. Pour le bien de la société.

Dans ma classe, tout comme l'immense majorité des collègues, j'en suis convaincue, je n'ai pas besoin d'une note pour savoir où se situe un élève. L'observation quotidienne de son travail en classe me renseigne bien davantage.

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Toi, oui, mais les parents ? Et tes élèves ?

Je suis intimement persuadée qu'une des raisons de la chute du niveau de tous les élèves, et en particulier des meilleurs, qui ne visent plus jamais l'excellence, lui préférant l'à peu près, est l'absence de critères pour se situer et envisager de progresser, de faire des efforts.

Et rude est la chute de ceux qui quittent un système sans note, quand ils intègrent un établissement dans lequel les élèves sont habitués à être notés (ce qui n'est pas un traumatisme, loin de là !) !

De têtes de classe ils deviennent milieu de panier, jusqu'au moment où ils ont réussi à rattraper le temps perdu ... quand ils y arrivent !

C'est un peu comme si, dans les écoles de sport, on ne faisait jamais de compétition, on ne chronométrait pas, ne mesurait pas. On aurait du mal à constituer une élite !

Il y a 1 heure, ratatouille a dit :

Noter les exercices quotidiens n'a alors que peu de sens.

Tout dépend ce que tu donnes, et à quel moment.

S'il s'agit d'un exercice de mise en application de la règle qui a été vue lors de la précédente séance, elle a au contraire tout son sens. Tant pour l'élève que pour l'enseignant, qui voit s'il lui est besoin de revenir sur la notion.

Il y a 1 heure, ratatouille a dit :

Noter les compétences finales (bilans, test, ...) n'a pas beaucoup plus de sens si on part du principe qu'un test ne doit être proposé qu'au moment où l'élève est en mesure de le réussir; Dans le cas contraire, à quoi bon ?

Logiquement, quand on fait une programmation, c'est dans le but que nos élèves aient compris. Enfin, moi, c'est comme cela que je le vois.

 

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Il y a 14 heures, Goëllette a dit :

Et rude est la chute de ceux qui quittent un système sans note, quand ils intègrent un établissement dans lequel les élèves sont habitués à être notés (ce qui n'est pas un traumatisme, loin de là !) !

De têtes de classe ils deviennent milieu de panier, jusqu'au moment où ils ont réussi à rattraper le temps perdu ... quand ils y arrivent !

Totalement faux, c'est du pur cliché. Je ne mets jamais de notes et ai de bons échos des CM2 que j'envoie au collège chaque année. Ca fait longtemps que cette idée fausse a été démontée: il n'existe pas vraiment de différence à ce niveau.

Il y a 14 heures, Goëllette a dit :

C'est un peu comme si, dans les écoles de sport, on ne faisait jamais de compétition, on ne chronométrait pas, ne mesurait pas. On aurait du mal à constituer une élite !

C'est le cas en aïkido. Il n'y a pas d'élite en aïkido?

Au fait, "constituer une élite" n'a rien à voir avec les missions de l'école. Tout le monde se demande comment réduire les inégalités et toi tu parles de "constituer une élite"...

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Si tu le dis ! 😺

Pour ma part, je fais classe à mes élèves comme je ferais classe à mes propres enfants :en les poussant à aller le plus loin possible.

Force est de constater que, depuis que l'école publique a perdu son envie de promotion sociale, les enfants d'enseignants, curieusement ... sont scolarisés de plus en plus tôt dans le privé !

Etonnant non ?

 

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Il y a 3 heures, Goëllette a dit :

en les poussant à aller le plus loin possible.

Les notes ne sont pas le meilleur moyen pour ça. Pour beaucoup, les notes signifient au contraire stagner dans les bas-fonds.

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Il y a 3 heures, Goëllette a dit :

Si tu le dis ! 😺

Pour ma part, je fais classe à mes élèves comme je ferais classe à mes propres enfants :en les poussant à aller le plus loin possible.

Force est de constater que, depuis que l'école publique a perdu son envie de promotion sociale, les enfants d'enseignants, curieusement ... sont scolarisés de plus en plus tôt dans le privé !

Etonnant non ?

 

Quelles sont tes sources ?

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Il y a 11 heures, valdeloise a dit :

Les notes ne sont pas le meilleur moyen pour ça. Pour beaucoup, les notes signifient au contraire stagner dans les bas-fonds.

Pas du tout. C'est un indicateur précis.

Noter ne veut pas dire ne pas aider les élèves en difficultés.

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Il y a 6 heures, Goëllette a dit :

C'est un indicateur précis.

Justement non, c'est tout sauf précis. C'est totalement subjectif. Ca a été prouvé scientifiquement.

Noter veut dire créer l'échec et le valider. Parce que pour constituer une élite, il faut bien qu'il y en aient qui échouent.

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Il y a 5 heures, valdeloise a dit :

Justement non, c'est tout sauf précis. C'est totalement subjectif. Ca a été prouvé scientifiquement.

Noter veut dire créer l'échec et le valider. Parce que pour constituer une élite, il faut bien qu'il y en aient qui échouent.

C'est ton opinion, et j'en ai une autre.

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il y a 28 minutes, Goëllette a dit :

C'est ton opinion, et j'en ai une autre.

Ben non, c'est logique, c'est pas une question d'opinion: pour constituer une élite, tu dois aussi constituer l'échec. C'est mathématiques.

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La constante macabre....

Définition de Wikipédia : « Le terme a été inventé par André Antibi professeur d'université, dans un livre éponyme paru en 2003. « Par « Constante macabre », j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes.

 

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