14patricia Posté(e) 23 octobre Auteur Posté(e) 23 octobre il y a 13 minutes, bdisse a dit : La question est surtout : " est ce que ta commune est prête à payer les frais de scolarité de ton enfant s'il va dans une autre école que celle qu'elle a sur son territoire" ? Il y a des municipalités qui n'en ont tout simplement pas les moyens, quelque soit le justificatif En gros les enfants de notre villages sont pris en otage.
bdisse Posté(e) 23 octobre Posté(e) 23 octobre on peut voir ça comme ça. Il aurait fallu s'opposer à la rupture du SIVOS.... Et bien vérifier que les conditions de ruptures sont respectées. Dans ma commune, par exemple, il est précisé que pour rompre le SIVOS, il faut que les 3 communes qui en font partie soit OK. A une époque, l'une des communes avait voulu jouer cavalier seul, elle a été obligée de renoncer.
14patricia Posté(e) 23 octobre Auteur Posté(e) 23 octobre il y a 16 minutes, bdisse a dit : on peut voir ça comme ça. Il aurait fallu s'opposer à la rupture du SIVOS.... Et bien vérifier que les conditions de ruptures sont respectées. Dans ma commune, par exemple, il est précisé que pour rompre le SIVOS, il faut que les 3 communes qui en font partie soit OK. A une époque, l'une des communes avait voulu jouer cavalier seul, elle a été obligée de renoncer. Nous habitant avons été mis devant l le fait accompli
la maîtresse des petits Posté(e) 23 octobre Posté(e) 23 octobre Cela a dû être évoqué en conseil d'école...
bdisse Posté(e) 23 octobre Posté(e) 23 octobre C'est une décision de conseil municipal. Regarde le compte rendu de réunion pour voir d'où ça sort.
blacknader Posté(e) 24 octobre Posté(e) 24 octobre peut-être faire un sondage au niveau des parents de la commune, laisseraient-ils leur enfant scolarisé dans une telle "école" ? si preuve était montrée à la municipalité qu'un faible nombre de familles était volontaire a laissé leur enfant scolarisé de ce type d'école, peut-être reverrait-il leur copie...
M_03 Posté(e) 24 octobre Posté(e) 24 octobre Tout dépendra des parents, mais certains parents ne réagissent pas au multi-niveaux et ne voient pas le problème. On a été dans le cas, dans une moindre mesure (passage d'une classe en triple à quadruple niveaux). Les parents étaient bien contents que les élèves restent à l'école ; ils ne pensent pas aux conséquences sur les enfants....et l'enseignante. Je comprends tout à fait que l'enseignant soit obligé de faire des choix sur les matières à enseigner. L'emploi du temps n'est pas extensible. Quand on doit faire des maths et du français avec chaque groupe, et même si on regroupe les niveaux, on peut difficilement faire rentrer certaines matières. Pour ma part, j'ai enlevé du sport, et j'ai regroupé Espace/Géographie.
nafela Posté(e) 16 novembre Posté(e) 16 novembre Bonsoir à tous! Également une ancienne instit de classe unique ! Mais c'était en 2000....et la conjoncture a bien changé. Effectivement à la DEP ( évaluation et prospective) ils pointaient le niveau supérieur des élèves issus de ces classes là : plus d'autonomie, de recherches, d' émulation, de sens donné aux apprentissages. Personnellement, mes meilleures années ! Je me demande juste si ce serait le cas aujourd'hui car les enfants sont hyper assistés, les parents réagissent à chaud à travers réseaux et écrans, bref tout cela est malsain. Par ailleurs, ceux dont l'enseignement n' est pas leur profession se permettent peut être un peu trop de juger et se mêler..... mauvais. L'école, comme le reste, devient de la CONSOMMATION. Je me souviens d'un titre très intéressant, à méditer : " Classes uniques, vestiges du passé ou laboratoires du futur...." 2
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