APC... et dysfonctionnement dans une école

[Car_a_Mel]

Le 23/05/2025 à 21:05, carrie62 a dit :

Perso, je dois encore faire une heure (à cause de l'APC qui n'a pas eu lieu la semaine de rentrée de septembre) donc ça va... mais je connais des collègues d'autres écoles qui ont décrété qu'ils avaient fini à la fin de la période 4 (avec 1h d'APC par semaine) alors qu'ils n'avaient que 6h à déduire pour les éval nationales.

C'est énervant quand on est dans les clous et que d'autres se la coulent douce sans avoir honte!!! 😡

Heu, ben j'ai fait TOUTES mes heures d'apc et j'ai fini fin mars. Mais 3 à 4 séances par semaine. 

Pas l'impression de me la couler douce pour autant. 

[André Jorge]

il y a 44 minutes, Floredelouest a dit :

l'organisation des APC n'est plus de son ressort, mais de celui du directeur !!

Oui, mais il a un droit de regard et il peut intervenir en cas de dysfonctionnement. 

=> Ce sont effectivement les équipes pédagogiques, sous la responsabilité du directeur d’école, qui organisent les APC (36 heures) : choix des élèves, contenus, modalités de fonctionnement,...

Le directeur veille à la mise en œuvre de l’organisation et l’IEN n'intervient pas dans la répartition ou la planification des APC au sein de l'école. Mais...

=> Si l’IEN n’a pas un rôle d’organisation, il est notre supérieur hiérarchique et il a autorité sur les enseignants et les directeurs : il peut parfaitement demander à consulter l’organisation des APC, notamment dans le cadre du suivi de la mise en œuvre des obligations de service, du respect des horaires réglementaires, de l’évaluation du directeur ou d’un enseignant.

[Muscari]

Le 25/05/2025 à 08:26, Invité Anonyme a dit :

Je ne crois pas. Le "pas de vagues" c'est pour tout le monde dans l'Education nationale, y compris pour les IEN. Et c'est même encore plus pour eux que pour les instits ! Un exemple : un  IEN qui amène "les gens" à faire des publications dans les journaux parce que accusé de harcèlement, parce que plus personne ne veut travailler avec lui, instits, secrétaire, CPC, ATICE, mairie,... , parce que ça fait beaucoup de remontées et d'actions des syndicats chez le recteur, va se faire remonter les bretelles grave par sa hiérarchie et obtiendra en fin d'année une promotion... dans un bureau. Et il n'aura pas d'autre choix que d'accepter en disant que c'est ce qu'il voulait.

Je suis d'accord sur le fait  que les IEN sont adeptes du pas de vague s'ils veulent de l'avancement ou une promotion mais on a eu la preuve chez nous qu'en cas de gros problèmes, ils sont déplacés mais pas pour être mis dans un bureau... Une IEN qui a fait parler d'elle dans la presse car elle a réussi a provoqué une grève d'enseignants contre elle, fait du harcelement envers des PE de sa circo, a eu son nom cité plusieurs fois dans les articles de presse puisqu'un PE s'est suicidé suite à une affaire qu'elle a plus que mal géré... est arrivée dans notre département et dans me circo en tant qu'IEN et pas juste derrière un bureau. Elle a causé là encore des soucis et s'est finalement mise en arrêt (soulagement de tous, PE et autres IEN, DASEN adjoint aussi apparemment...), a décrété que sa retraite était en septembre  suivant et n'est pas venue, mais a dû revenir car elle s'était plantée de  6 mois et ils l'ont rappelée. 

[bab33]

Ca marche que dans un sens le problème pour les IEN ?

Et quand on doit faire la visite du collège, ou la journée harcèlement, ou le tournoi de rugby, ou la permis vélo sur la journée et qu'on donne nos deux heures gratuites. Ca ça ne pose pas de problème à l'IEN ? Là il ne va rien dire ?

[bab33]

Et bien du coup, j'arrête toutes ces journées imposées où les deux heures du midi sont gratuites. Malheureusement 2 sont non négociables : la journée au collège et la sortie sco de fin d'année à la journée. Je rattrape ces heures sur le soutien. 

Sur les mêmes heures où l'on nous dit de rattraper le temps passé à recevoir les parents pour les évals nationales. Et ça c'est l'IEN qui nous le dit.

[bab33]

Cool la life. Ne pas regarder dans l'assiette du voisin. Chacun a sa propre conscience.