borneo Posté(e) mardi à 09:11 Auteur Posté(e) mardi à 09:11 J'ai une véritable phobie d'Alzheimer. Quand j'étais ado, j'ai accompagné mon copain de l'époque chez lui, et on a découvert sa grand-mère, qui avait été laissée seule une heure ou deux, avec les mains et les vêtements couverts de ses excréments. Et il y en avait sur tous les murs de la maison. Mon copain m'a fait immédiatement sortir, et il a nettoyé. Je suis hantée par ce souvenir, la vision d'horreur et l'odeur, et l'idée que cette vieille dame, ça pourrait être moi dans quelques années. Les autres pathologies ne m'effrayent pas. Tant qu'on a sa tête, on peut partir. Ne pas citer.
FemmeDeRochas Posté(e) mardi à 10:12 Posté(e) mardi à 10:12 @borneo moi aussi, d’autant que dans la famille nous sommes 3 à nous ressembler (physiquement, mais aussi sur certains points de santé) : mon GP, ma mère et moi. Mon GP : Alzheimer et Parkinson, déclenchés vers 70 ans ; ma mère, Alzheimer et Parkinson, premiers signes vers 63-64 ans. L’avenir s’annonce radieux 🤣 1
FemmeDeRochas Posté(e) mardi à 10:25 Posté(e) mardi à 10:25 Il y a 4 heures, ratatouille a dit : Dans la liste, il manque les liens sociaux. Ils entrent à par entière dans les critères favorisant le bien vieillir. Mon mari a grandi en Algérie. Plein de choses sont critiquables là-bas, par contre, les anciens sont bien plus entourés qu’ici. Ce n’est pas qu’une question de temps passé : un ou une ancienne raconte quelque chose, on l’écoute avec autant d’intérêt que s’il avait 40 ans, on rit à ses anecdotes… Ca ne fait pas tout : Alzheimer frappe aussi. Mais j’ai vu de vieilles dames à l’esprit encore très vif à 90 ans. Je pense que le fait d’être entourée joue 🙂 Ici on ne s’en rend même plus compte : mais combien de fois j’ai vu des octogénaires un peu dépassés par les conversations qui fusent, tenter de raconter quelque chose. On les écoute vaguement, avant de retourner vite fait à la discussion animée entre les 30-40-50 ans 🤔… 1
FemmeDeRochas Posté(e) mardi à 10:37 Posté(e) mardi à 10:37 Je lisais que la baisse constatée chez pas mal de gens âgés ( trous de mémoire, raconter toujours la même chose…) s’explique en partie par l’avancée en âge, mais aussi par l’isolement. Pour preuve les troubles dont ont souffert des jeunes pendant le confinement 🙂 1
Gribouillette Posté(e) mardi à 18:45 Posté(e) mardi à 18:45 Il y a 9 heures, borneo a dit : Mais tu n'es pas encore à l'âge où selon les études, il faut vraiment rectifier le tir. Ca concerne plus les jeunes seniors, ceux qui approchent de la retraite. Je pense aussi aux femmes qui approchent de l'âge "où on grossit" et où on a moins le moral. 👍 Ah ouf j'ai encore de la marge! Et merci de me qualifier de jeune, à l'approche des 40 ans, avec le corps qui commence à faire des siennes, ça fait plaisir!
FemmeDeRochas Posté(e) mercredi à 08:31 Posté(e) mercredi à 08:31 Il y a 13 heures, Gribouillette a dit : Ah ouf j'ai encore de la marge! Et merci de me qualifier de jeune, à l'approche des 40 ans, avec le corps qui commence à faire des siennes, ça fait plaisir! Mais tu ES jeune 😊! Aujourd’hui, à 40 ans, homme ou femme, les gens sont jeunes. C’est l’ancien « 30 ans ». 1
FemmeDeRochas Posté(e) mercredi à 08:38 Posté(e) mercredi à 08:38 J’entendais ce matin à la radio une intervention qui m’a fait penser à ce fil : comment manger pour éviter le déclin cognitif 🤔 Bon, rien de révolutionnaire : limiter les plats transformés, les pâtisseries et sucreries, mais aussi la viande rouge et les fromages très gras. Privilégier au contraire les « graines complètes », les fruits et légumes, les poissons gras, les aliments les moins transformés possible… 1
nonau Posté(e) il y a 3 heures Posté(e) il y a 3 heures Le 13/08/2025 à 10:38, FemmeDeRochas a dit : J’entendais ce matin à la radio une intervention qui m’a fait penser à ce fil : comment manger pour éviter le déclin cognitif 🤔 Bon, rien de révolutionnaire : limiter les plats transformés, les pâtisseries et sucreries, mais aussi la viande rouge et les fromages très gras. Privilégier au contraire les « graines complètes », les fruits et légumes, les poissons gras, les aliments les moins transformés possible… Et surtout, régime bio, éviter au max les intrants chimiques et soutenir ces personnes qui préservent la nature eux. On en parle pas ou peu mais le stress est un poison qui ronge et détruit à petit feu. Avoir une posture de lâché prise et de détachement au niveau pro est une nécessité vitale. Vous ne constatez pas une agressivité générale qui monte chez les gens? Signe de pressurisation, de burn out, de mal être... 1 1
borneo Posté(e) il y a 3 heures Auteur Posté(e) il y a 3 heures Le 12/08/2025 à 12:12, FemmeDeRochas a dit : L’avenir s’annonce radieux 🤣 Tu es sur le bon topic. J'ai lu hier qu'un bon moyen de faire travailler notre matière grise, c'est de faire en même temps un exercice physique et mental. Exemple : faire des squats en récitant une poésie, ou faire des pompes et comptant de 3 en 3 en arrière à partir de 90. J'avoue qu'avec un vécu de PE, on est avantagé. Je vais le faire, c'est plus rigolo que juste de la gym. Je vous dirai si ça marche 😁
borneo Posté(e) il y a 3 heures Auteur Posté(e) il y a 3 heures (modifié) il y a 23 minutes, nonau a dit : On en parle pas ou peu mais le stress est un poison qui ronge et détruit à petit feu. Effectivement. J'ai le sentiment que le stress et la malbouffe s'entretiennent l'un l'autre. Théorie purement perso qui n'engage que moi. J'ai repris il y a six mois une alimentation plus saine. J'évitais déjà la malbouffe, mais des infos sur le microbiote m'ont incitée à passer à la vitesse supérieure. Eh bien mon niveau de stress a radicalement baissé. Des choses qui me mettaient en rage ne font plus que me déranger légèrement. Je n'aurais jamais supporté la canicule actuelle avec philosophie il y a quelques temps. Et étant moins stressée, je n'ai plus du tout envie de grignoter. Ni envie de bonbons, gâteaux, chocolat. Beaucoup événements nationaux ou internationaux qui me stressaient beaucoup ne m'atteignent plus, ou presque plus. Je deviens (toutes proportions gardées) comme le sage de Lao Tseu pour qui les passions du monde ne sont que des chiens de paille. Modifié il y a 2 heures par borneo
Delavegue Posté(e) il y a 1 heure Posté(e) il y a 1 heure il y a une heure, borneo a dit : J'ai le sentiment que le stress et la malbouffe s'entretiennent l'un l'autre. Théorie purement perso qui n'engage que moi. Je suis quelqu'un de très angoissé, pourtant je mange sainement, peu importe mon état. Je pense que ça dépend vraiment de chacun, c'est très personnel. J'ai même tendance à maigrir quand je suis stressé en mangeant les mêmes quantités. Manger sainement, c'est avant tout un état d'esprit, des habitudes: une fois prises, elles restent (consommer local et raisonné, pas de plats préparés, éviter le "trop" de sucre, etc...).
borneo Posté(e) il y a 1 heure Auteur Posté(e) il y a 1 heure (modifié) il y a 9 minutes, Delavegue a dit : Je suis quelqu'un de très angoissé, pourtant je mange sainement, peu importe mon état. Je pense que ça dépend vraiment de chacun, c'est très personnel. Comme toute étude statistique, il y a les extrémités de l'histogramme. Tu penses avoir un bon microbiote ? https://microbiome-foundation.org/stress-et-microbiote/ J'ai lu plein de choses là-dessus, c'est un concept que j'ignorais. Et vu des émissions sur Arte, qui semblaient sérieuses. Pour rétablir un bon microbiote, on peut manger de la choucroute crue, boire du lait fermenté, etc On peut toujours essayer, au pire, ça ne fait pas effet. Modifié il y a 1 heure par borneo
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