Steph2000 Posté(e) 29 octobre 2004 Auteur Posté(e) 29 octobre 2004 Le problème Titecox13, c'est que le prof que je remplace n'est pas arrivé à le faire changer par des punitions ou des privations de récré... C'est pour ca que j'ai de suite parlé aux parents du psychologue scolaire... parce que je ne vois aucune autre solution...
darthwader2 Posté(e) 29 octobre 2004 Posté(e) 29 octobre 2004 (modifié) "Nous en avons parlé à la mère en la prévenant que si ça continue il faudra voir le psychologue pour l'aider, elle le prend moyennement mais il faut insister sur le fait que c'est une aide et non une punition." Je ne suis pas sure que les parents voient le psy comme une aide. Les enfants agresseurs trouvent aussi des victimes qui ne se défendent pas. Il faut essayer de dialoguer au maximum avec les deux parties. Modifié 29 octobre 2004 par darthwader2
Fred1900+ Posté(e) 29 octobre 2004 Posté(e) 29 octobre 2004 La violence engendre la violence, ok. On doit montrer aux enfants que la violence n'est pas une réponse convenable, toujours ok. Mais est-ce que c'est effectivement le cas dans le milieu de l'enfant ? Prenons un cas extrême mais que cependant l'actualité rend vraisemblable. Un enfant croise un autre qui a de plus belles chaussures. Le premier frappe le second afin de les lui voler. Résultat : la violence apporte le butin. L'agressé décide de se rebeller. L'agresseur, plus fort (car quel idiot s'attaquerait à plus fort que soi) maltraite davantage la victime. Résultat : fin de la violence. L'agressé est traumatisé, il se tait. L'agresseur est gagnant, il a ce qu'il veut et son aire de domination comporte désormais un nouvel individu. C'est une logique de gangster mais je pense qu'elle a tendance à se développer. La réussite de la discussion dans une situation de violence demande selon moi plusieurs conditions sine qua none : une volonté de l'agresseur de changer, un environnement favorisant le changement, un bon médiateur, la constatation par l'agresseur de l'échec de la spirale de la violence... Ces conditions ne sont malheureusement pas toujours présentes. De plus, l'enseignant ne peut exercer une quelconque influence sur elles. On ne peut s'appuyer que sur notre capacité de persuasion, mais est-ce que ce sera toujours suffisant ? Fred
darthwader2 Posté(e) 29 octobre 2004 Posté(e) 29 octobre 2004 dans les cas de racket le fait que l'adulte dise à l'agresseur "je sais alors tu arrêtes car sinon je porte plainte" arrête les choses je ne crois pas que nous soyions dans ce cas. la parole de l'adulte a cependant son importance. le soucis semblet-il est que les parents de l'enfant concerné n'agissent pas dans le sens que l'enseignant souhaiterait.
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