armelle38 Posté(e) 26 janvier 2005 Auteur Posté(e) 26 janvier 2005 Bonsoir! Je vous mets en ligne la première version de la fiche résumé des réponses apportées sur les questions concernant les relations entre la famille et l'école. Cependant des réponses à certaines questions restent troubles : 6 - Faut-il un agrément des parents pour accompagner une sortie au ski? J'ai un doute, mais pour les sorties scolaires et les taux d'encadrement, il n'y a pas une nouvelle circulaire en vigueur depuis la rentrée? Ou cela concerne uniquement la natation? 14 - Séparer vie publique et vie privée, mais l'Ecole doit s'ouvrir aux parents. Quelle cohérence entre ces deux propositions ? 23 - Motivation et mobilisation des familles : Quelle différence faites-vous ? J'attends vos réactions et suggestions! Bonne soirée et à bientôt! Armelle ReponsesOPfamille.doc
t-choupi Posté(e) 27 janvier 2005 Posté(e) 27 janvier 2005 23 - Différence entre motivation et mobilisation des familles ? ... Je dirais que la mobilisation est plus "un passage à l'acte". On peut être motivé dans sa tête, avoir envie de (faire) quelque chose, mais ne rien mettre en oeuvre. La mobilisation est pour moi la mise en application de la motivation pour parvenir à ses fins. Autrement dit, une famille qui se mobilise : vient aux réunions, participe aux projets de l'école, etc... .... J'sais pas.... Vous en pensez quoi ?!
Antonio.21 Posté(e) 27 janvier 2005 Posté(e) 27 janvier 2005 salut ! des précisions pour la question 3 3/ Que pensez-vous de la relation parents profs La loi d’orientation de 1989, votée par Jospin, pose le principe de la coéducation : elle définit les parents comme les « partenaires permanents de l’école ». Avant 89, l’école de la République avait pour fonction d’arracher le futur citoyen à la tutelle parentale : on l’instruisait contre l’ignorance supposée régner dans les familles. Aujourd’hui les choses ont changé, parents et enseignants sont donc censés travailler main dans la main. Or les rapports entre l’école et les parents d’élèves s’avèrent compliqués. En effet, il existe des dérives, des conflits qui se multiplient et bien souvent dérapent. La Fédération des autonomes de solidarité (FAS), qui assure un soutien juridique aux personnels de l’Education nationale constate la dégradation des rapports de l’école et des parents. Les obstacles à la communication sont présents autant du côté des enseignants que des parents. Du côté de l’enseignant : Sa formation ne l’a pas préparé à engager des pourparlers avec les parents ; Certains ont du mal à regarder les parents comme des « associés » : l’enseignant est compétent (il peut se débrouiller seul), d’autre part il existe un service officiel d’éducation chargé d’assister, de contrôler, et même de sanctionner l’enseignant (l’inspection d’académie) ; La conception selon laquelle la confrontation avec les parents n’a pas lieu d’être : la mission de l’enseignant est de former des citoyens, l’école est au service de la société. Du côté des parents : Désacralisation de l’enseignant ; Irrespectueux de l’institution scolaire : critiquent les professeurs, se laissent aller à des agressions verbales, physiques, intimidations, portent plainte au commissariat sous des prétextes fallacieux… Des exigences accrues en matière d’information : les familles veulent être tenu au courant du déroulement des opérations et réclament un droit de cité, de donner leur avis sur la pédagogie, plus de pouvoir = comportement interventionniste ; Comportements de consommateur d’école : revendication concernant le choix des établissements scolaires, si le service ne correspond pas à leurs attentes ils vont ailleurs ; Se reposent sur les enseignants et attendent qu’ils fassent l’éducation de leurs enfants (qu’ils soient à la fois psychologues, médecins, nounous, infirmières…) ; Absents : accablés par leur travail, le chômage, ou ayant eu une mauvaise expérience avec l’école ; des bourgeois qui estiment que leurs enfants sont surdoués, que leur réussite va de soi et qui exigent qu’on fasse sauter une année, qui arrivent systématiquement en retard. En 2003, 68 % des parents font confiance au corps enseignant 20 % ont un pouvoir de nuisance Conséquences : un mauvais climat, des enseignants sur la défensive, traumatisés, à qui les autorités rappellent sans arrêt qu’il importe d’être précautionneux dans les sanctions infligées aux élèves pour désamorcer les conflits. Le droit fait son entrée dans l’école : les enseignants ont intérêt à ne pas le méconnaître. Sources : LePoint.fr (parents-prof : rien ne va plus, 12/09/03) Le nouvel Obs (parents, respectez les prof !: 02/11/03) L’Humanité (les parents ont-ils leur place à l’école ? (02/11/03)
monisa Posté(e) 28 janvier 2005 Posté(e) 28 janvier 2005 Bonjour, C'est une très bonne idée de répondre à ces questions... j'ai été surprise l'année dernière par les questions à l'OP... donc cette année, je me prépare ! J'ai réfléchi et recherché (pour certaines définitions) dans quelques bouquins les réponses aux questions enfant/élève. Voici ma contribution, donnez-moi votre avis ! 3) Quelle est la différence entre l’élève au cœur de l’apprentissage et l’élève au centre du système éducatif ? Le système éducatif correspond à « l’ensemble des structures et personnels concourant à l’éducation d’une population ». C’est depuis 1989 que l’expression « l’élève au centre du système éducatif » est utilisée, elle suppose que le système doit aider à promouvoir les fins de l’individu. Alors que l’élève au cœur de l’apprentissage est, pour moi, signifie que l’enseignant doit aider l’enfant tel qu’il est, avec ses processus d’apprentissage et que l’enseignant doit en tenir compte pour l’aider à apprendre et acquérir les savoirs. 4) L’école lie contractuellement les élèves et les enseignants : comment faire respecter leurs obligations aux élèves ? Je ne suis pas sûre des « obligations » mais je dirais : - créer un lien entre l’élève, les parents et l’enseignant pour travailler ensemble, - établir des contrats de travail ou PPAP - encourager les efforts… HELP ! 6) Qu’est-ce que le métier d’élève ? Etre élève c’est être un enfant qui a un statut dans une institution d’éducation. Etre élève suppose que l’enfant s’engage dans différentes formes d’activités imposées par l’école (individuelle, collective, coopérative), qu’il s’installe dans une dynamique d’apprentissage… 7) Que savez-vous des rythmes chronologiques (ce n’est pas chronobiologiques, plutôt ?) « La chronobiologie est l’étude des différents rythmes qui sont indispensables à la vie et varient d’une façon régulière et prévisibles » (dico des gdes notions de péda, bordas) D’après les recherches qui ont été faites, le milieu de la matinée et la fin de l’après-midi seraient les moments les plus favorables aux acquisitions scolaires, on parle alors de pic de performance alors que le début de matinée et le début de l’après-midi sont des moments où l’acquisition des connaissances est plus délicate. Suite à ces recherches, les cycles ont été mis en place à l’école primaire en France. 8) Qu’est-ce que la Zone proximale de développement selon Vygotsky ? C’est « la distance entre le niveau actuel tel qu’on peut le déterminer à travers la façon dont l’élève peut résoudre des problèmes seuls, et le niveau de développement potentiel tel qu’on peut le déterminer à travers la façon dont l’enfant résout des problèmes lorsqu’il est assisté par l’adulte ou collabore avec d’autres enfants plus avancés ». Vygotsky insiste sur l’importance de l’interaction sociale, la médiation. L’enseignant et les autre élèves sont là pour soutenir et développer l’apprentissage de chaque élève. Pour lui, l’apprentissage précède le développement, c’est-à-dire que l’enfant est à un stade de développement et grâce aux situations d’apprentissage mises en place par l’enseignant, celles-ci vont lui permettre de dépasser ce stade et développer de nouveaux savoirs et savoir-faire. 9) Qu’est-ce qu’un enfant citoyen ? Etre citoyen, c’est adopter des comportements civiques, de civilité et démocratiques. Un enfant devient citoyen à l’école, avec l’apprentissage pratique de ses comportements, il réfléchit à sa vie d’écolier, aux contraintes de la vie en groupe donc de la vie sociales. Ceci se fait avec l’éducation civique mais aussi tout au long de la scolarité dans l’ensemble des disciplines et donne à l’enfant des valeurs partagées par l’ensemble de la société.
nicolas_974 Posté(e) 30 janvier 2005 Posté(e) 30 janvier 2005 3) Quelle est la différence entre l’élève au cœur de l’apprentissage et l’élève au centre du système éducatif ? l’élève au cœur de l’apprentissage signifie que l enseigant doit adapter son enseignement a la specificite-d ou peda.diff-et -organisation en cycles pour autoriser l enfant a progresser tt au long du cycle malgre les savoirs en cours d acquisition-grace a l etayage du maitre.. 4) L’école lie contractuellement les élèves et les enseignants : comment faire respecter leurs obligations aux élèves ? -pour les plus grands(cycle 2&3) -elaboaration en commun d un reglement intérieur -la sanction me parait evidente si il y a recidive -convocation des parents il vaut mieux se garder de donner de lecons-
muuroah Posté(e) 30 janvier 2005 Posté(e) 30 janvier 2005 Salut tout le monde, j'aimerai apporter une petite precision pour "l'enfant-citoyen" On est considere citoyen seulement a 18 ans quand on a le droit de vote, l'enfant a l'ecole construit les bases de cette citoyennete, du moins c'est ce qu'on nous a dit a l'iufm. bon courage!
Antonio.21 Posté(e) 31 janvier 2005 Posté(e) 31 janvier 2005 Je n'ai pas eu le temps de synthétiser 6) le métier d'élève « METIER D’ELEVE » ET COUTUME DIDACTIQUE - dure de 10 à 15 ans (minimum de 6 à 16 ans, en moyenne 3 à 20 ans) Philippe PERRENOUD « L’élève exerce un genre de travail déterminé, reconnu et toléré par la société, et dont il peut tirer ses moyens d’existence » Métier d’élève et vie scolaire - être élève leur paraît difficile - école, lieu de découvertes - être élève c’est : o écouter souvent o parler parfois o agir rarement à l’école, on découvre les autres « l’enfer, c’est les autres » - la socialisation est d’abord obligation à faire avec les autres, sous le regard permanent de chacun - découvrir les autres, c’est faire l’apprentissage de l’imprévu, de l’interdit, de l’obligation à l’école, on s’initie à des savoirs « La culture, c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublié » Edouard HERRIOT - la société vit de + en + dans l’instant davantage que dans la durée - zapping - programmes scolaires découpés en disciplines étanches alors que les questions qui se posent au niveau mondial (éco. sociale, écolo., santé, éthique, religion) sont par nature interdisciplinaires et n’entrent dans aucun des tiroirs disciplinaires - les savoirs correspondent + à des enseignements qu’à des initiations culturelles école : temps des apprentissages des savoirs à l’école, on déchiffre des codes sociaux, généralement distincts des codes familiaux - la famille transmet des valeurs et une certaine vision du monde en formant la personnalité sociale, confrontées avec celles que fera naître et développera l’école - pour certains : grandes différences entre codes familiaux et codes scolaires - l’école est le lieu où le rapport à la loi doit se construire - différents rapports aux savoirs à l’école finalement on se découvre - l’image de soi se construira en grande partie à partir de l’image que les autres vous renvoient - école : lieu de construction des personnalités - école : lieu de difficultés pour tout élève, car elle est un lieu de construction de soi, par la confrontation avec les autres, actuels (le maître, les autres élèves) et passés (présents à travers les savoirs qu’ils nous ont légués) Métier d’élève et moments des apprentissages comprendre la demande - l’élève doit en permanence comprendre la demande de l’enseignant la coutume didactique - les élèves raisonnent fréquemment sous influence - Michel BROSSARD : 3 types d’opérations intellectuelles que l’élève doit utiliser pour suivre le cours des activités en classe : o Cadrage (se situer) o Anticipation (se questionner) o Sélection - la coutume didactique peut-être analysée en termes de contraintes et de libertés
Antonio.21 Posté(e) 1 février 2005 Posté(e) 1 février 2005 Salut à tous 9) Qu’est-ce qu’un enfant citoyen ? C’est un enfant qui a des droits (ceux de la personne humaine) et des devoirs (respecter les règles de l’institution, des contraintes multiples). Il peut s’initier à la démocratie dans le cadre de la vie scolaire, en exerçant ses droits d’apprenti-citoyen.
armelle38 Posté(e) 2 février 2005 Auteur Posté(e) 2 février 2005 Bonjour! Je viens de répertorier toutes les réponses qui ont été apportées aux questions relatives aux élèves. Bonne lecture et donnez-moi vos impressions! Armelle ReponsesOPeleveenfants.doc
armelle38 Posté(e) 2 février 2005 Auteur Posté(e) 2 février 2005 Re! Personne n'a encore répondu sur le post des questions concernant l'évaluation. J'ouvre le bal! *********************QUESTIONS OP EVALUATION*********************** 1 - Est-ce qu'un élève d'école maternelle peut s'auto-évaluer? Oui, de temps en temps. Il existe des fiches d’auto-évaluation en EPS. 2 - Quelle est la différence entre auto-évaluation et auto-contrôle? 3 – La notation sert de classement alors pourquoi noter un élève de primaire ? 4 - Est-il vraiment nécessaire de faire des évaluations diagnostic ? 5 - Comment évaluer les élèves ? 6 - A quoi sert le livret d'évaluation ? 7 - Selon vous, en quoi l'évaluation , peut-elle constituer une aide aux enfants en difficulté ? L'évaluation formative a pour but de guider l'élève dans son travail scolaire, de lui donner des info en retour qu'il peut utiliser pour optimiser ses stratégies d'apprentissages. Cette évaluation ne se traduit pas en note, elle a une fonction de régulation. Elle permet à l'élève de reconnaître et corriger lui même ses erreurs. 8 - Evaluer les enfants n'est-ce pas risquer d'évaluer les familles ? 9 - De quelle(s) ressource(s) un enseignant dispose-t-il pour évaluer son propre travail ? 10 - Quel rôle joue l'évaluation dans le processus d'apprentissage ? Evaluation diagnostique: permet de situer le niveau des élèves et permet ainsi à l'enseignant de déterminer des axes de travail. Evaluation formative: cf. question précédente. Evaluation formatrice:régulation assurée par l’élève lui-même. Il y a appropriation par les élèves des objectifs assignés. Evaluation sommative: bilan des acquisitions des élèves.Généralement elle aboutie à une note.(validation des acquis, passage en classe supérieure, attribution d'un diplôme...) 11 - Quels doivent être la place et le rôle de l'équipe éducative dans la pratique d'évaluation des élèves ? 12 - En quoi la qualité du diagnostic est-elle fondamentale dans la pratique de l'évaluation et la mise en oeuvre d'une pédagogie différenciée ? 13 - Quels avantages, quelles difficultés pourrait présenter une pratique de l'évaluation du type 'Evaluation Nationale CE2", tout au long de la scolarité primaire ? L'évaluation diagnostique va permettre de faire émerger les représentations des élèves et de partir de celles-ci pour l'enseignement. Fondamentale car les élèves sont différents, cela va permettre de repérer ces différences et de partir sur une pédagogie différenciée. 14 – Quel est le rôle de l’évaluation nationale ? Elle peut-être sommative (vérifier les acquis en fin de cycle) ou diagnostique (faire « l’état des lieux » avant de commencer un nouveau cycle). 15 - Quels sont les différents types d’évaluations ? a-Evaluation diagnostique : Mise en place en début de séquence, elle permet à l’enseignant de se rendre compte des faiblesses et des acquis des élèves à propos du concept en jeu ; les résultats permettent alors d’orienter la séquence dans telle ou telle direction. Ex : en cycle 3, un enseignant souhaite en EPS travailler autour des jeux collectifs ; il met alors en place une situation de référence comportant uniquement les règles principales du jeu (délimitation du terrain, équipes, interdits, but, critères de réussite) et laissent jouer les élèves ; de là il pourra par exemple en dégager si les élèves savent se reconnaître en tant qu’attaquants ou défenseurs, s’ils jouent seuls ou coopèrent entre eux, si les règles sont respectées, etc… De ces observations, l’enseignant axera son intervention plutôt sur tel point que sur tel autre, il dégagera des choix répondant au besoin des élèves. b-Evaluation formative : Mise en place à la suite de chaque tâche d’apprentissage, elle permet à l’enseignant et à l’élève de déceler et corriger les imperfections en cours de construction ; elle fait donc partie intégrante du processus d’apprentissage. Ex : toujours avec cette même classe, l’enseignant décide de travailler autour du respect des règles ; après avoir mis en place une tâche d’apprentissage autour de ce problème, il reprend la situation de référence et demande aux élèves qui ne jouent pas de relever les fautes (un observateur pour un joueur) ; répéter ceci sur plusieurs passages en vue de pouvoir observer l’évolution : rechercher avec les élèves les raisons de ce progrès ou non. c-Evaluation sommative : Mise en place au terme d’une séquence d’apprentissage (ou d’une période plus longue : trimestre, semestre, année…), elle permet d’établir un bilan d’ordre quantitatif (note, classement…). Ex : toujours avec cette même classe, en fin de cycle, reprendre la situation de référence pour évaluer les élèves selon des critères définis au préalable et travailler tout au long du cycle : nombre de fautes, utilisation des espaces libres, progression de la balle vers l’avant, gêne du porteur de balle… ceci doit alors permettre de faire un bilan global et ainsi permettre aux élèves de se situer par rapport à l’activité. d-Evaluation continue : Succession d’évaluations sommatives sur une période de temps aboutissant à une note finale. Ex : les évaluations sommatives effectuées tout au long du trimestre en mathématique permettent d’établir la note moyenne de cette matière pour ce trimestre. e-Evaluation ponctuelle : Evaluation effectuée à un moment donné pour répondre à une question à propos d’un individu ou d’un programme. Ex : afin de savoir si un élève est apte à pouvoir sauter une classe il doit, en plus de l’avis de l’équipe pédagogique, passer un certain nombre d’évaluations ponctuelles. 16 – Différence entre l’évaluation il y a 30 ans et aujourd’hui ? Aujourd’hui l’apprentissage de type appropriatif considère l’erreur comme processus normal de l’acquisition des savoirs ; à l’inverse il y a 30 ans l’apprentissage de type transmissif sanctionnait l’erreur, la considérant comme une faute. 17 – Différence entre contrôle et évaluation ? 18 – Différence entre faute, erreur et échec ? La faute sous-entend : manquement à la règle, à la loi. Cela mérite punition, sanction . (On brûle un feu rouge, on paie une forte amende) L’erreur est un indicateur d’obstacle : elle demande une remédiation. (L’enfant fait une erreur parce qu’il n’a pas compris : on va lui expliquer autrement). L’échec est beaucoup plus grave : c’est un aveu d’impuissance. Une remédiation ne suffira pas. 19 – Comment évaluer un travail de groupe ? On n’évalue pas un travail de groupe en soi. Le groupe doit permettre à l’enfant de progresser plus vite et mieux que seul (conflit socio-cognitif). L’évaluation reste individuelle. ************************************************************ ******** Voili, voilou, j'attends vos réactions! A+! Armelle
armelle38 Posté(e) 2 février 2005 Auteur Posté(e) 2 février 2005 A nouveau Re! :P Je mets en ligne une nouvelle série de questions concernant cette fois-ci l'oral. ATTENTION unissons notre matière grise car les questions sont très très dures! A bientôt! Armelle QuestionsOPoral.doc
monisa Posté(e) 4 février 2005 Posté(e) 4 février 2005 Je n'ai pas eu le temps de réfléchir aux questions cette semaine... je m'y mets dimanche, merci pour la récapitulation, Armelle ! A plus, bon weekend
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