Moustache Posté(e) 19 février 2005 Posté(e) 19 février 2005 Attend un peu, l'avis des spécialistes Il me semble Calinours que tu as tout à fait la légitimité pour répondre à ce genre de question, pas de complexes à avoir face aux sois disants spécialistes quels qu'ils soient. Cela fait un moment que je ne réponds plus à ce genre de message car ça tourne au dialogue de sourd. - d'un côté nous avons des échanges, des discussions, des partages... - de l'autre un martèlement qui frise le marketting. ou pour dire les choses autrement et plus diplomatiquement : - D'un côté nous avons : "je pense que", "j'ai l'impression", "il me semble" - De l'autre : "il n'y a pas d'autres méthodes possibles", "il faut"... etc (Ce qui ne vaut abolument pas dire que la théorie est inutile, ou que toutes les pistes pédagogiques soient totalement à rejeter, bien au contraire, elles nous aident souvent à avancer en faisant notre propre mixture) Je suppose que tu devines dans quel camp je me situe, quand je serai fat de mes certitudes je changerai de métier. Je précise également que mon but n'est pas de créer une polémique que je n'entretiendrai d'ailleurs pas, mais parfois on a envie de réagir et ton message, Calinours, m'en a donné l'occasion, merci.
calinours Posté(e) 19 février 2005 Posté(e) 19 février 2005 Attend un peu, l'avis des spécialistes Il me semble Calinours que tu as tout à fait la légitimité pour répondre à ce genre de question, pas de complexes à avoir face aux sois disants spécialistes quels qu'ils soient. Cela fait un moment que je ne réponds plus à ce genre de message car ça tourne au dialogue de sourd. - d'un côté nous avons des échanges, des discussions, des partages... - de l'autre un martèlement qui frise le marketting. ou pour dire les choses autrement et plus diplomatiquement : - D'un côté nous avons : "je pense que", "j'ai l'impression", "il me semble" - De l'autre : "il n'y a pas d'autres méthodes possibles", "il faut"... etc (Ce qui ne vaut abolument pas dire que la théorie est inutile, ou que toutes les pistes pédagogiques soient totalement à rejeter, bien au contraire, elles nous aident souvent à avancer en faisant notre propre mixture) Je suppose que tu devines dans quel camp je me situe, quand je serai fat de mes certitudes je changerai de métier. Je précise également que mon but n'est pas de créer une polémique que je n'entretiendrai d'ailleurs pas, mais parfois on a envie de réagir et ton message, Calinours, m'en a donné l'occasion, merci. <{POST_SNAPBACK}> Alain DELON fait son clin d'oeil !
enviedespoir Posté(e) 19 février 2005 Posté(e) 19 février 2005 Pour bien tenir le crayon, c'est comme pour (presque) tout en maternelle on commence par ... ne pas parler de la tenue du crayon. . Pas d'accord ! J'ai l'impression (et ça me gêne ça n'est plus un secret :P ) en te suivant dans tes sujets, que le langage est secondaire dans tes démarches (...) Beaucoup de Petits le tienne comme un burin, ce n'est pas inutile de verbaliser et de dire comment et pourquoi la maîtresse souhaite voir tenir l'objet. Apprendre à se servir d'un outil en faisant abstraction de cet outil me gêne aussi <_< . Le langage n'est pas du tout secondaire pour moi. Bien au contraire, mais il doit être adapté à l'action. Si tu veux que les enfants placent correctement les doigts sur le crayon, il faut leur apprendre à les mettre dans la bonne position. Je ne crois pas que ce soit contestable. J'ai déjà donné une explication complète de ma proposition sur le forum, mais je peux réexpliquer. On apprend par des jeux à placer les doigts comme dans la position qu'ils ont sur le crayon. (exemple ombres chinoises). Si, à ce moment-là on dit aux enfants qu'ils sont en train d'apprendre à tenir le crayon, l'idée de la tenue du crayon va parasiter leur conception du geste à faire et ils risquent de le rater. Bien sûr il vaut mieux verbaliser cette position des doigts ( mais pas en parlant de la tenue du crayon, simplement en parlant de "l'ombre du lapin" : comment on place ses doigts pour la faire etc., quel doigt fait l'oreille, quel doigt le museau etc.) Une fois que les enfants savent placer leurs doigts correctement, on fait de la peinture à doigts en faisant des traits qui descendent pour ajouter à cette compétence celle de poser le poignet sur la feuille au lieu de le soulever et de placer la main dans l'axe de l'avant-bras comme il se doigt. Là aussi on verbalise, mais toujours sans parler de la tenue du crayon. On verbalise en évoquant la compétence déjà acquise : "tu places tes doigts comme pour l'ombre du lapin" et précisant aussi : "le pouce ne doit pas toucher la feuille" ... Une fois que c'est réussi, là on peut parler de tenue de crayon : "on va refaire comme la peinture à doigts mais en prenant un crayon". C'est une méthode. C'est celle que je connais et pour cause. Je n'ai jamais dit qu'il n'y en avait pas d'autres. En revanche, il n'y a qu'une seule façon de tenir de crayon sans ajouter des tensions parasites, c'est une question de morpholpogie. Lorsque je dis "arrête les activités de graphisme qui étant de grand format obligent à déplacer le bras tout entier", je réponds à la question de Chrisv3 qui se plaint de ne pas arriver éviter que 2 de ses GS mobilisent tout le bras.
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