dada Posté(e) 7 mai 2005 Posté(e) 7 mai 2005 le parlement vaquera le lundi de pentecôte. <{POST_SNAPBACK}> ça , vraiment ça , ça me met très en colère
Watteau Posté(e) 7 mai 2005 Posté(e) 7 mai 2005 pour les médecins je vais me renseigner <_< Je sais que mon frère a mis en congé (et pas en RTT) les secrétaires (journée offerte) et qu'il ne travaille pas mais je ne sais les consignes à appliquer côté "facturation" de l'acte .
uji Posté(e) 8 mai 2005 Posté(e) 8 mai 2005 Perso, je serai en grève .... :P Je travaille en IME avec des élèves reconnus handicapés ..... et donc je serai solidaire avec eux en leur donnat ma journée de salaire ....
morgane13 Posté(e) 8 mai 2005 Posté(e) 8 mai 2005 Sur l'académie d'aix-marseille, la journée de formation syndicale est interdite par le recteur : dans notre école pas d'atsem ni de cantine. Nous serons présentes mais jepense presque seule : en fait on boycotte cette journée en demandant aus parents de bien vouloir garder leurs bambins (on se sert de différentes idées dont 'appel de la fcpe, le manque de personnel et notre désir de dire non à cette mascarade !
aileria Posté(e) 10 mai 2005 Posté(e) 10 mai 2005 Chez nous toutes les enseignantes feront grève donc les ATSEM et dames de cantines sont en congès de fait. En revanche, l'IEN a demandé que je vienne à l'école vérifier qu'il n'y avait pas d'élèves. Quel est donc l'intérêt de fermer la porte et d'informer tous les parents?
Kiwichick Posté(e) 10 mai 2005 Posté(e) 10 mai 2005 Petite question en rapport : je suis PE2 en stage et j'ai du mal à gérer ma classe. Serais-je obligée d'accepter d'autres élèves de mes collègues grévistes ?
Danièle Posté(e) 10 mai 2005 Posté(e) 10 mai 2005 Dans notre commune, le maire "offre" la journée au personnel communal. Il n'y aura donc pas d'ATSEM dans les écoles, pas de cantine et pas de garderie. Pas mal d' écoles seront fermées car tous les enseignants seront en grève. Cela va sûrement être le cas de notre école. Nous étions, au départ, trois à penser ne pas faire grève car cela nous énerve de penser qu'en plus ils vont récupérer notre journée de salaire. Parallèlement à notre mouvement de grève, la FCPE organise une journée "écoles désertes". Merci Watteau pour ton délire !
romy Posté(e) 11 mai 2005 Posté(e) 11 mai 2005 nous avons demandé aux parents de garder leurs enfants chez eux ou de les mettre à l'école si pas d'auter choix. sinon, pas de cantine, ni de garderie et nous, enseigants nous faisons non pas grève en tant que telle, mais journée morte! c'est-à-dire que nous accueillons simplement les enfants. par contre, nous n'avons pas encore décidé ce que ferait les enfants : ballade (mais bon, faut encadrer ...), jeux, récré rallonge ou ... je ne sais pas trop. voilà. mais de toute façon, nous ne dispenserons pas d'enseignement ce jour-là!
Plume Posté(e) 11 mai 2005 Posté(e) 11 mai 2005 Chez nous, ATSEM en grève, pas de cantine non plus. Au moins une collègue gréviste sûre sur 4, une autre peut-être. L'idée de faire "classe morte" me plait bien mais avons-nous le droit de le faire? Et devons-nous prévenir les parents que ce sera journée récré et leur demander de garder les enfants (déjà qu'ils ne le font pas quand une collègue est malade et non remplacée...), sachant qu'il n'y a pas d'assos de parents d'élèves
diego Posté(e) 11 mai 2005 Posté(e) 11 mai 2005 Chez nous toutes les enseignantes feront grève donc les ATSEM et dames de cantines sont en congès de fait. En revanche, l'IEN a demandé que je vienne à l'école vérifier qu'il n'y avait pas d'élèves. Complètement illégal. Tu n'as pas à le faire... . >On nous "rabache" à longueur de débat que nous ne sommes pas chef d'établissement (ce qui est faux dans les faits) que nous ne sommes pas des sup. hiérarchiques (ce qui est vrai, et nous ne voulons pas que cela change). Donc c'est à ton IEN de venir voir s'il y a des élèves s'il le désire... Moustache à déjà donner plusieurs fois la marche à suivre (que j'applique avec rigueur, étape par étape): Voici la dernière réponse "ministérielle" recopiée à partir d'ici:: (J.O. du 26 décembre 1996)18612 – 7 novembre 1996 – M. Nicolas About attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur l'accueil des enfants par les écoles primaires et maternelles en cas de grève partielle des enseignants. Lors de la journée de grève du 30 septembre dernier, certaines communes ont été amenées à prendre en charge des enfants, alors que seule une partie des enseignants était en grève et que les écoles n'étaient pas totalement fermées. Les enseignants non grévistes estimaient en effet ne pas être tenus d'accueillir les élèves de leurs collègues en grève. D'après une réponse apportée par M. le ministre de la jeunesse et des sports (J.O. du 7 mars 1996, question écrite n° 12679), aucun texte ne prévoit pourtant que la commune soit tenue d'assurer l'accueil des enfants : il appartient au directeur d'école de trouver des solutions pour organiser l'accueil et la surveillance des élèves en cas de grève. Il lui demande par conséquent de bien vouloir lui préciser les droits et les obligations des enseignants non grévistes et le rôle du directeur d'école dans l'accueil des élèves que les familles ne peuvent garder. Est-ce le rôle des collectivités locales que d'assumer financièrement la grève des écoles, lorsque celles-ci ne sont pas totalement fermées ? Réponse – Le droit de grève est reconnu aux enseignants du premier degré, y compris aux directeurs d'école. Par ailleurs, les écoles maternelles et élémentaires ne disposent pas de personnels administratifs, ouvriers et de service, en particulier pour assurer la surveillance des élèves, ce qui rend difficile l'organisation de l'accueil en cas de grève. Il appartient au directeur d'école de rechercher des solutions pour accueillir les enfants, soit en obtenant de la municipalité la mise en place d'un service de garde, soit avec la participation d'enseignants volontaires. Toutefois, il n'est pas fait obligation aux instituteurs non grévistes d'accueillir les élèves de leurs collègues en grève puisqu'ils assurent, ce jour-là, le service d'enseignement normalement prévu pour les élèves de leur propre classe. Il appartient donc donc à ces enseignants d'apprécier dans quelles conditions l'accueil des élèves de leurs collègues grévistes est compatible avec l'organisation de leur propre service. Par ailleurs, les communes ne sont pas tenues d'assurer l'accueil des élèves en cas de grève des personnels enseignants, aucune disposition législative ne leur en faisant obligation. C'est pourquoi il est demandé aux directeurs d'école, lorsque aucune solution n'a pu être trouvée pour accueillir les enfants, d'informer les parents suffisamment tôt afin qu'ils puissent prendre les dispositions nécessaires pour garder ou faire garder leurs enfants. D'une manière générale, la continuité du service public en cas de grève est un problème qui ne peut trouver de solution dans le cadre strict de l'éducation nationale. Cela n'a pas la force d'une loi, mais ces directives ne peuvent pas être contredites par un IEN. >Je trouve également abracadabrantesque la question de savoir si "la visiteuse" sera ou non contente en cas de grève du "visité" ... Quel rapport! Les époques ont vraiment changées, à presque, 50 balais, je suis de plus en plus largué Nous sommes dans une société de droit, et c'est un devoir de chacun de faire en sorte que nos droits soient respectés. 1/Les IEN seront d'autant plus respectueux des dirlos, si ces derniers montrent qu'ils savent pourquoi ils sont là. 2/La grève est un droit, craindre un IMF (un collègue, non?) ... Pensez à nos aînés qui devaient affronter la cavalerie qui chargeait "sabre au clair"... et déterminez-vous par rapport à vos convictions.
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