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un élève est il un citoyen ?


tartopome

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le problème affable c'est que citoyen ça a un sens précis et ça implique le droit de vote d'être responsable devant la loi ....

c'est pour ça qu'on parle de citoyen en devenir

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D'après la Constitution est citoyen celui qui a la nationalité française... ;)

Le citoyen a des droits et des devoirs, mais tous les citoyens n'ont pas tous les mêmes droits...

On peut être privé de voter et pour autant rester un citoyen.

Si on considère que l'élève n'est pas un citoyen alors il n'a pas de "devoirs" vu qu'il n'a pas de droits...

Vois tu ce que je veux dire ?

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D'après la Constitution est citoyen celui qui a la nationalité française...  ;)

Le citoyen a des droits et des devoirs, mais tous les citoyens n'ont pas tous les mêmes droits...

On peut être privé de voter et pour autant rester un citoyen.

Si on considère que l'élève n'est pas un citoyen alors il n'a pas de "devoirs" vu qu'il n'a pas de droits...

Vois tu ce que je veux dire ?

oui oui je vois :D (j'ai pas encore d'oeillères ;) )

la nationalité française ...c'est quoi les petits points??? :blush:

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Je sais que t'as pas d'oeillères :D c'est juste que parfois j'ai du mal à me faire comprendre ...

Les points de suspensions ?...c'est juste que j'aime bien , j'en mets partout ;)

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moi aussi j'adore les petits points :D:D

.....définition....

citoyen,enne n.

(membre d'une nation)

* ces gens ont accompli leur devoir de

citoyen (ils ont voté)

ça nous fait pas avancer :idontno:

je vais en chercher une autre ;)

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voilà un site très bien fait sur la notion de citoyen (pas trop long à lire) ;)

http://erra.club.fr/Citoyen-Mallet.htm

ce site me laisse penser que l'élève n'est pas un citoyen affable ;)

va voir on en reparle après si tu veux :blush:

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Je l'ai lu...mais je ne suis pas convaincue...

Pour moi on assimile trop citoyen à électeur...

Mais c'est mon point de vue, je n'ai pas dit que j'ai raison... ;)

Pour moi être citoyen ce n'est pas spécialement jouir de droits civiques ( dans ce cas les personnes privées de leurs droits civiques ne sont plus des citoyens ? ils n'ont donc plus de droits et de devoirs ?)

C'est être sous la " tutelle " de l'Etat...avoir des droits et des devoirs...

Pas facile...

Il faudrait approfondir la notion de citoyenneté...

Je vais relire la constitution... :cry:

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bon courage alors :D:D

bon d'accord ce n'est pas aussi tranché que ça finalement

si on a ça à l'oral on aura au moins des choses à dire ;)

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Etre citoyen c'est aussi compter parmis les membres de la communauté politique que forment les habitants d'un pays: soit parce qu'on est né sur le territoire en question, soit parce qu'on a été naturalisé

ex: on peut vivre en France depuis 10ans, mais rester citoyen américain

A cela s'ajoute bien sur la capacité de voter.

Est citoyen francais toute personne de nationalité francaise et jouissant du droit de vote

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Est citoyen francais toute personne de nationalité francaise et jouissant du droit de vote

Oui mais quand on est privé de ses droits civiques ?

Et si on vit en France depuis 10 ans mais qu'on est de nationalité anglaise...on est sujet ou citoyen ou sujet-citoyen ?

Bon je rigole, mais sérieusement...c'est chiant <_< :D;)

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MEA CULPA :D

En principe, sont citoyens français les personnes ayant la nationalité française et jouissant de leurs droits civils et politiques (ex : droit de vote).

En effet, la qualité de citoyen est d'abord liée à la détention de la nationalité. Ce lien est très fort en France à la différence de certaines démocraties (ex : certains pays scandinaves).

Mais si la nationalité est une condition nécessaire, elle n'est pas suffisante. Au sens strict, il faut aussi jouir de ses droits civils et politiques. Cette condition semble, d'un point de vue juridique, exclure de la citoyenneté les mineurs, les majeurs sous tutelle et les personnes déchues de ces droits par les tribunaux.

Toutefois, le lien traditionnel entre nationalité et citoyenneté tend à s'estomper sous l'effet de la construction communautaire. En effet, depuis le Traité de Maastricht (et la révision de la Constitution française), les ressortissants d'un État de l'Union européenne résidant dans un autre État de l'Union que le leur peuvent participer aux élections municipales et européennes et s'y faire élire. Ils sont ainsi dotés d'un des éléments essentiels de la citoyenneté, le droit de vote.

En revanche, les étrangers d'origine non communautaires ne peuvent pas, aujourd'hui, participer aux élections politiques en France. Ils peuvent néanmoins voter aux élections professionnelles et universitaires.

Reste un cas particulier, celui de la superposition de deux citoyennetés qui existe désormais en Nouvelle Calédonie (citoyenneté française et citoyenneté néo-calédonienne).

La citoyenneté française est liée à la détention de la nationalité française. Cette nationalité s'acquiert de quatre manières :

- par le « droit du sang » : est considéré comme français tout enfant dont au moins l'un des deux parents est français ou devient français ;

- par le « droit du sol » : devient automatiquement français, l'enfant qui est né en France ; pour l'enfant né en France de parents étrangers, la nationalité devient de plein droit à 18 ans ;

- par la procédure dite de « naturalisation » : un étranger majeur, résidant habituellement sur le sol français depuis au moins cinq ans peut demander à être naturalisé. Cette durée de résidence peut être réduite à deux ans si le demandeur a accompli avec succès deux années dans un établissement d’enseignement supérieur français ou s’il a rendu ou peut rendre « des services importants à la France » ;

- par le mariage : depuis la loi du 26 novembre 2003 sur la maîtrise de l’immigration, au séjour des étrangers en France et à la nationalité, un étranger unit à un conjoint français depuis deux ans, peut demander à acquérir la nationalité française par déclaration. Le délai est porté à trois ans lorsque le demandeur ne justifie pas avoir résidé de manière ininterrompue pendant au moins un an en France à compter du mariage. Le demandeur doit également avoir un niveau de connaissance de la langue française suffisante, « selon sa condition ».

D'un point de vue juridique, la nationalité est une condition nécessaire mais pas suffisante pour acquérir la citoyenneté. Il faut aussi jouir de ses droits civils et politiques.

Ainsi un enfant, ayant obtenu la nationalité française, ne devient citoyen français qu'à partir de 18 ans, âge de l'acquisition du droit de vote.

À la lumière de cette énumération, la citoyenneté en France, par rapport à d'autres pays, semble relativement ouverte.

En effet, le lien entre citoyenneté et nationalité demeure, sauf dans le cas des élection municipales et européennes, auxquelles peuvent prendre part les étrangers ressortissants de l'Union européenne. Mais la nationalité française semble relativement aisée à obtenir, notamment au regard de l'exemple allemand. Pendant très longtemps, seul le droit du sang existait, et ce n'est que récemment que la loi a permis l'obtention de la nationalité allemande par la voie du droit du sol.

Peut-on perdre sa citoyenneté ?

Il convient d'abord de rappeler que l'on ne naît pas citoyen. En effet, si les enfants doivent voir leurs droits fondamentaux protégés (ex : droit à l'éducation, droit à la vie), ils ne deviennent citoyens qu'à 18 ans, en atteignant l'âge de la majorité politique.

Mais une fois cette majorité acquise, un citoyen peut, dans certaines circonstances, se voir privé de son droit de vote et de son droit d'éligibilité.

Cette hypothèse recouvre deux situations :

- d'abord, certaines infractions pénales, en raison de leur gravité, sont sanctionnées non seulement par des peines très lourdes (emprisonnement, amendes...) mais aussi par la privation de ces droits essentiels liés à la citoyenneté. La société signale ainsi le caractère d'indignité qu'elle attache à ces infractions ;

- ensuite, les droits de vote et d'éligibilité sont également retirés aux incapables majeurs. Les personnes dont l'état mental est très défaillant sont mises sous tutelle. Il serait dès lors dangereux de les laisser voter, puisqu'une tierce personne pourrait tirer avantage de leur état pour influencer leur expression politique.

Il faut néanmoins rappeler le principe selon lequel la citoyenneté de toute personne est liée à la nationalité française.

Ainsi une fois purgée sa peine ou une fois rétablie, une personne condamnée au pénal ou sous tutelle retrouve de plein droit son droit de vote.

Source

Donc toutes mes excuses auprès d'Emee :blush:

Donc, les enfants ne sont pas des citoyens...mais cela ne les empêche pas de faire preuve de civisme...

Ou l'art de retomber sur ses pieds :P ;)

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ahhh bravo affable :applause:

ton efficacité m'étonnera toujours ;)

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