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poèmes chevaux


marie l

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Bonjour

En complément de la lecture d'un cheval qui sourit, je cherche des poièmes sur le théme du cheval.

Voilà déjà ce que j'ai trouvé, mais j'aimerai élargir mon corpus merci

ML

Sur son petit cheval gris

Quand Jeannot va à Paris

Sur son petit cheval gris

Il va :

Au pas, au pas, au pas

Quand Jeannot va à Rouen

Sur son petit cheval blanc

Il va :

Au trot, au trot, au trot

Quand Jeannot va à Quimper,

Sur son petit cheval vert,

Il va :

Au galop, au galop, au galop !

C’était un cheval

Oh c’était un cheval

Oh il était bien malade

Son maître l’a pris

L’a mis dans l’écurie

Quand y avait chaud

On lui a donné de l’eau

Quand y avait frette

On lui a donné une couverte

Quand y avait faim

On lui a donné du foin

Quand y avait mal aux dents

On lui a donné de la pâte à dents

Quand y avait mal au pied

On lui a donné des gros souliers

Et là notre cheval

Il n’était plus malade

Son maître l’a pris

L’a sorti de l’écurie

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Bonjour,

En voilà un autre, mais tu connaispeut-être déjà!

COMPLAINTE DU PETIT CHEVAL BLANC

Le petit cheval dans le mauvais temps, qu’il avait

donc du courage ! C’était un petit cheval blanc, tous

derrière et lui devant.

Il n’y avait jamais de beau temps dans ce pauvre

paysage. Il n’y avait jamais de printemps, ni derrière

ni devant.

Mais toujours il était content, menant les gars du

village, à travers la pluie noire des champs, tous

derrière et lui devant.

Sa voiture allait poursuivant sa belle petite queue

sauvage. C’est alors qu’il était content, eux derrière

et lui devant.

` Mais un jour, dans le mauvais temps, un jour qu’il

était si sage, il est mort par un éclair blanc, tous

derrière et lui devant.

Il est mort sans voir le beau temps, qu’il avait donc

du courage ! Il est mort sans voir le printemps ni

derrière ni devant.

Paul Fort

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Coucou...

Je pense que tu connais déjà "Stewball" la chanson d'Hugues Aufray.... et la complainte du cheval blanc que t'a rappelé Kirnette.....

Je cherche beaucoup de comptines, poésies, récits...Etc sur le thème du cheval..... et je dois bien pouvoir te trouver quelque chose..... Envoie moi un mail en privé STP...ça me laissera le temps de rechercher...............

Par contre...pour tous ceux qui auraient des poèmes, chants, récits...Etc sur le thème du cheval...pensez à moi...JE SUIS PRENEUSE DE TOUT !!! Pour l'instant...Cycle 2..mais ça change parfois.............. Pour l'année prochaine...ça sera plutôt..Niveau CP !!!!

MErci d'avance à tous...Et..... laisse moi un mail...MArie... Je vais faire un peu de tri !!!

A bientôt

Nabvick@aol.com

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En voici trois autres, elles font rêver et jouent avec les mots

La chevauchée

Certains, quand ils sont en colère,

Crient, trépignent, cassent des verres...

Moi, je n'ai pas tous ces défauts :

Je monte sur mes grands chevaux.

Et je galope, et je voltige,

Bride abattue, jusqu'au vertige

Des étincelles sous leurs fers,

Mes chevaux vont un train d'enfer.

Je parcours ainsi l'univers,

Monts, forêts, campagnes, déserts...

Quand mes chevaux sont fatigués,

Je rentre à l'écurie ﷓ calmé.

Jacques Charpentreau

Chevaux : trois ; oiseau : un

J'ai trois grands chevaux courant dans mon ciel.

J'ai un seul petit oiseau, petit, dans mon champ.

Trois chevaux de feu broutant les étoiles.

Un oiseau petit qui vit d'air du temps.

Trois chevaux perdus dans la galaxie.

Un petit oiseau qui habite ici.

Les chevaux du ciel, c'est un phénomène.

Mais l'oiseau d'ici, c'est celui que j'aime.

Les chevaux du ciel sont de vrais génies.

L'oiseau dans mon champ, c'est lui mon ami.

Mais l'oiseau du champ s'envole en plein ciel,

rejoint mes chevaux, et je reste seul.

J'aimerais bien avoir des ailes.

Ça passerait le temps. Ça passerait le ciel.

Claude Roy

Le cheval

Et le cheval longea ma page.

Il était seul, sans cavalier,

Mais je venais de dessiner

Une mer immense et sa plage.

Comment aurais-je pu savoir

D'où il venait, où il allait ?

Il était grand, il était noir,

Il ombrait ce que j'écrivais.

J'aurais pourtant dû deviner

Qu'il ne fallait pas l'appeler.

Il tourna lentement la tête

Et, comme s'il avait eu peur

Que je lise en son coeur de bête,

Il redevint simple blancheur.

Maurice Carême

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Merci beaucoup Kirnette !!!

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Y en a une qui commence par " J'ai aimé un cheval, qui était-ce ? Il m'a bien regardé de face, sous ses mèches. Le trou vivant de ses narines était une chose belle à voir, et ...

Dans l'effort, il suait, c'est briller ! Et j'ai frotté 100 fois sur ses flancs à mes genoux d'enfant..."

J'essaye de te le retrouver via le net.

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  • 1 année plus tard...

« J’ai aimé un cheval – qui était-ce ? – il m’a bien regardé de face, sous ses mèches.

Les trous vivants de ses narines étaient deux choses belles à voir – avec ce trou vivant qui gonfle au-dessus de chaque œil.

Quand il avait couru, il suait : c’est briller ! – et j’ai pressé des lunes à ses flancs sous mes genoux d’enfant…

J’ai aimé un cheval – qui était-ce ? – et parfois (car une bête sait mieux quelles forces nous vantent)

il levait à ses dieux une tête d’airain : soufflante, sillonnée d’un pétiole de veines. »

Andreas Beck

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