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Systèmes éducatifs d'autres pays


pouch

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Re

Je cherche en vain pour l'instant, où trouver des infos sur les systèmes éducatifs dans d'autres pays ... Qqn pourrait il m'aider svp ?

Bon courage à vous.

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C'est encore moi, voici encore d'autres liens et un article :

http://www.grenoble.iufm.fr/relation/erasm...ark/systedu.htm (Danemark)

http://www.info-finlande.fr/fo/visu.php3/Msg_24_134_928_1_7 (Finlande)

Un article trouvé sur ce site :

http://lamaisondesenseignants.com/index.ph...r&rub=30&id=104

(article id=104 - 20-04-2005 - 39)

Les réformes de l'éducation en Europe, dans la Lettre de l'éducation

La Lettre de l'éducation consacre, cette semaine, un supplément de quatre pages aux réformes de l'éducation entreprises en Europe, sur le modèle du système éducatif finlandais.

On peut s'étonner cependant de ce que les admirateurs inconditionnels de la Finlande ne citent jamais le chiffre du chômage des jeunes dans ce performant pays : 28,6% contre 4,6% aux Pays-Bas, et environ 20 % en France...

Extraits : Réformes éducative : l'emballement européen

Un vent de réforme souffle sur l'Europe. La loi Fillon est loin d'être un cas isolé. L'Allemagne s'est lancée dans une réforme dès 2003 (voir La Lettre n°464), l'Italie en 1999 avec une réforme remaniée par le gouvernement Berlusconi à partir de 2003, l'Espagne dès 2002, la Belgique depuis 2004 (voir page 2) ou encore l'Angleterre ou la République tchèque cette année (voir La Lettre n°471). A quoi répond cet emballement généralisé et, surtout, comment réforme-t-on ? Certes, il y a réforme et réforme. La loi Fillon ne remet pas en cause les objectifs de celle de 1989, adoptée par la gauche. De même, les réformes successives engagées au Royaume-Uni n'ont jamais modifié le fond de la loi sur l'école de Margaret Thatcher (1988) qui rendait autonomes les établissements et renforçait le pouvoir de régulation de l'Etat. En revanche, en Italie, la réforme Moratti (du nom de l'expert qui l'a élaborée) doit, lorsqu'elle sera appliquée, altérer profondément le système éducatif en accentuant sa décentralisation et en introduisant l'orientation précoce « à l'allemande ».

De fait, face à une société sans cesse en mouvement, les systèmes nationaux, soumis aux évaluations internationales (PISA, PIRLS ou Timms) et donc à la comparaison internationale, tentent de trouver de meilleures réponses aux plus grands défis de leur société : la massification de l'enseignement, et donc la gestion de l'hétérogénéité des publics, ainsi que la nécessaire augmentation générale des qualifications. Et ces améliorations ou réajustements des systèmes existants passent le plus souvent par l'application du modèle qui aujourd'hui ressort comme « le plus efficace », selon les évaluations PISA, celui de la Finlande (voir page 3) : un système fortement décentralisé, où l'autonomie des établissements et des élèves est affichée et le développement des compétences préféré à celui des connaissances. Ce modèle avec régulation étatique et autonomie des acteurs est largement défendu par les experts de l'OCDE et inspire particulièrement les réformes italienne et allemande. Ce qui fait dire à certains chercheurs, tenants de l'Etat-providence, comme Georges Soleaux, chercheur à l'Iredu (université de Bourgogne), que ce modèle témoigne de l'infiltration de l'« idéologie libérale » qui fait de sa valeur essentielle « l'efficacité au détriment peut-être de l'équité du système éducatif ». Les classements après les évaluations ne sont pas les seuls facteurs motivant les réformes actuelles. C'est plutôt la stratégie de Lisbonne lancée en 2000 par l'Union européenne, qui souhaite faire de l'Europe « l'économie de la connaissance la plus compétitive d'ici à 2010 », qui explique en bonne partie ces dernières réformes. Les ministres de l'éducation européens se sont en effet engagés dès 2001 à « améliorer la qualité et l'efficacité des systèmes d'éducation et de formation dans l'Union » et à « assurer que ceux-ci soient accessibles à tous ». Les ministres se sont donc fixé treize grands objectifs, dont la progression est vérifiée par des indicateurs. L'augmentation de 15 % du nombre d'étudiants en sciences, l'amélioration de l'apprentissage des langues vivantes ou l'abaissement sous la barre des 10 % du nombre d'élèves décrocheurs, entre autres, se retrouvent dans la loi française sur l'école, tout comme dans celles de nos voisins européens.

FINLANDE

Les secrets du meilleur système scolaire au monde

Comment le système scolaire finlandais parvient-il à former les meilleurs élèves du monde, si l'on en croit les évaluations internationales PISA (voir La Lettre n°471), tout en préservant démocratie et égalité ? C'est ce que les Cahiers pédagogiques ont voulu savoir en conviant leurs lecteurs à faire un détour par Helsinki. Le système scolaire de ce petit pays homogène de cinq millions d'habitants se caractérise par un début de scolarité très progressif, un tronc commun de 7 à 16 ans sans sélection, sans redoublements ou presque et sans examen (un certificat est délivré à la fin du cycle).

Surtout les extraits des témoignages d'élèves, d'enseignants et d'universitaires que les Cahiers reproduisent (l'intégralité est consultable sur leur site Internet) révèlent une pédagogie différente de la nôtre. L'enseignant finlandais « délègue le plus possible du travail et de la responsabilité aux élèves, quelquefois sans doute même trop : Les enfants sont donc au cœur du travail scolaire. C'est le contraire en France : le travail semble être centré sur l'enseignant, tout passe par lui, il contrôle tout ». Les maîtres mots sont : autonomie, responsabilité, confiance, échanges. L'apprentissage classique (recopiage, « par cœur ») est prohibé. « Ici, on apprend plus en faisant », déclare un collégien de 13 ans. De même, la collaboration entre les élèves est encouragée, plutôt que leur mise en compétition. Entre les Finlandais, pas de rivalité, pas de compétition, moins de pressions : « Les progrès sont mis en valeur, les échecs n étant pas soulignés. »

« L'école en Finlande », Cahiers pédagogiques, n°432, avril 2005, 7,20 Eu..

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C'est toujours moi, mais promis j'arrête de t'inonder de liens  ;)

En voici juste deux encore (le deuxième te conduira vers plusieurs pays)

http://www.ac-nancy-metz.fr/cefisem/docpri...uc/syspolog.htm (Pologne)

http://www.ac-nancy-metz.fr/cefisem/page800.html

Ah.... c'est sympa Velma. Je vois que tu maitrises la situation à ce niveau.

Un grand merci!!!

Bon courage

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