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Posté(e)

Jevous joins un article de libé à propos d'un livre qui traite de l'humiliation à l'école.

Pour info et pour échanger sur le sujet, s'il vous inspire.

Education. Pierre Merle, sociologue, regrette que les classes soient souvent des zones de non-droit:

«Humilier, une forme d'autorité très usitée»

Par Emmanuel DAVIDENKOFF

lundi 20 juin 2005 (Liberation - 06:00)

Pour Pierre Merle, sociologue et professeur d'université à Rennes, «le régime politique de l'institution scolaire» n'est pas conforme aux principes généraux du droit ­ lesquels prévalent aussi bien dans la société que dans les discours sur l'école. Au coeur du malentendu : le sentiment d'humiliation que ressentent parfois les élèves, auquel il vient de consacrer une longue recherche qui donnera lieu à un livre : l'Elève humilié (1).

A la question : «L'école, zone de non-droit ?»posée en sous-titre de votre livre, que répondez-vous ?

Je réponds par l'affirmative, sachant que cette absence de droit se manifeste essen-tiellement dans la classe. Elle est vécue la plupart du temps comme un espace quasi privé, et le droit s'arrête bien souvent dès que la porte se ferme.

Pourquoi ?

Les enseignants, majoritairement, ont le sentiment que ce qui s'y passe ne regarde qu'eux. Et les élèves ont le sentiment qu'il n'existe aucun recours contre les anomalies dont la classe peut être le théâtre.

Il y a pourtant d'autres adultes ?

Oui. Mais un conseiller principal d'éducation n'interviendra que rarissimement pour mettre en cause un enseignant. Quant au chef d'établissement, il est dans une situation délicate : non seulement son pouvoir sur les enseignants est réduit, mais il doit surtout préserver sa relation avec eux ­ comme il n'a quasiment aucun moyen de coercition, il doit compter sur leur collaboration.

Et les parents ?

Ils interviennent peu, par crainte de retombées sur leurs enfants. Et ils n'ont pas tort...

En 2000, une circulaire de l'Education nationale avait pourtant tenté de faire entrer le droit à l'école, notamment en créant des dispositifs de dialogue.

Le destin de ce texte est au coeur du sujet. Il prévoyait effectivement des modifications des règlements intérieurs afin de mettre en application quelques principes généraux du droit. Par exemple la proportionnalité des sanctions, ou l'égalité de tous (adultes et élèves) face à certaines règles ­ la ponctualité, par exemple. Or le règlement intérieur est voté en conseil d'administration dans chaque établissement. Et beaucoup ont choisi de n'introduire que des modifications marginales et de laisser de côté le corps du texte.

Comment est-ce possible ?

Très simplement : l'absence de culture juridique est telle que les membres des conseils d'administration se vivent comme étant au-dessus du ministre ; ils s'arrogent le droit de décider de ce qui leur convient ou pas dans la loi commune. C'est un usage abusif de l'autonomie des établissements et de la liberté qui leur est reconnue.

C'est le fait du Prince ?

Exactement. Et c'est là que tout peut déraper. Quand un enseignant n'a pas de problème pour «tenir» sa classe, il n'est pas tenté de recourir à des méthodes limites. S'il est mis en difficulté, l'autoritarisme devient tentant, et une de ses formes les plus efficaces consiste à humilier les élèves. Il peut le faire bien souvent en toute impunité.

Est-ce fréquent ?

Il est fréquent que les élèves se sentent humiliés. Une enquête statistique avait montré que 50 % des collégiens estimaient avoir été humiliés par un enseignant. Mais cela ne signifie pas du tout que les enseignants se comportent, en tout cas sciemment, de manière humiliante. Un exemple typique de ce que j'ai recueilli dans mon enquête est celui du professeur qui rend une copie en disant publiquement : «Ce n'est pas digne de toi.» L'élève peut se sentir atteint ­ après tout, la notion de dignité renvoie bien à ce qu'il est. Alors que le message est probablement plus proche du : «Tu es passé à côté cette fois-ci, je sais que tu peux faire mieux.» L'enjeu scolaire est tellement fort aujourd'hui que les élèves ont sans doute tendance à prendre plus à coeur ce genre de remarque que par le passé.

Y a-t-il un ressort dominant de l'humiliation ?

Oui : toucher à la vie privée des enfants. Là encore ça peut se faire sans volonté de nuire de la part de l'enseignant. Mais beaucoup ne se rendent pas compte qu'enfants et adolescents n'ont pas envie que leur vie soit étalée sur la place publique ­ parce qu'ils cachent des choses, qu'ils ont honte, que leur rapport au regard des pairs est très sensible. Ces dérapages ne sont pas acceptables : les enseignants n'ont aucune autorité pour exposer la vie privée des élèves.

Certains élèves se sentent-ils plus humiliés ?

Comme souvent, les phénomènes négatifs sont cumulatifs. On s'autorise plus facilement à humilier les faibles. Ceux qui ont de mauvaises notes, ceux dont les parents n'oseront pas venir se plaindre...

Un enseignant qui devient humiliant n'est-il pas confronté à la solitude ?

A la solitude, et aussi au manque de sollicitude de l'administration. Même les enseignants débutants rechignent à parler des difficultés qu'ils rencontrent, et ça ne s'arrange pas par la suite. A l'Education nationale, le discours officiel veut que tout aille bien, qu'on s'en sorte toujours. On est dans une logique de silence et de dénégation, y compris quand les enseignants sont eux-mêmes ­ ou se sentent ­ humiliés, ce qui arrive aussi.

Les débutants sont plus fragiles ?

A l'évidence. Ils ne sont pas préparés à devoir faire leurs preuves comme personnes devant les élèves. Même quand on les prévient, ils pensent confusément qu'avoir fait la preuve de leur compétence en passant les concours sera suffisant pour instaurer leur autorité. L'humiliation peut poindre quand un enseignant ne se sent pas capable d'affronter les élèves. Faut-il qu'il le reconnaisse...

Les enseignants sont-ils conscients du rapport de domination qui se joue ?

S'ils le sont, ils ne le sont pas assez. Je pense qu'ils ne raisonnent que rarement en termes d'organisation politique de la classe, laquelle est une petite société. Instaurez un régime où un seul détient toute l'autorité, sans recours pour ses sujets, et vous vous obtiendrez probablement l'ordre ­ la terreur, ça marche. Mais ne vous étonnez pas que les élèves finissent par se révolter, par tout casser ou par crever des pneus sur les parkings.

(1) Publié en septembre aux PUF.

Posté(e)

A l'école on entend tout le temps "Casséééééééééééééééééééééé" en ce moment...

ça me fait penser à ça :idontno:

Posté(e)

la violence ne résulte pas que du comportement de l'enseignant, mais de l'institution sans nul doute....

n'est -ce pas violence que d'envoyer des gens sans formation enseigner? quel recul ont-ils sur leur pratique, quelle analyse quand un problème se pose? souvent on se réfèrera à ce qu'on connait pour pouvoir faire face et c'est là que peut naitre l'autoritarisme...

d'autre part, l'école soit faire face à une difficulté pour elle : elle promeut l'égalité des chances (heureusement)des élèves mais légitime aussi l'exclusion d'une partie d'entre eux d'où l'insatisfaction qui peut engendrer de la violence...

un lien intéressant sur la question :

http://www.cahiers-pedagogiques.com/art_im...?id_article=124

:)

Posté(e)

très intéressant cet article Lul

Qu'on le trouve sur le site des cahiers pédago ne m'étonne pas.

C'est de ce genre de textes dont on devrait débattre à l'iufm.

Posté(e)
Jevous joins un article de libé à propos d'un livre qui traite de l'humiliation à l'école.

Pour info et pour échanger sur le sujet, s'il vous inspire.

Education. Pierre Merle, sociologue, regrette que les classes soient souvent des zones de non-droit:

«Humilier, une forme d'autorité très usitée»

Par Emmanuel DAVIDENKOFF

lundi 20 juin 2005 (Liberation - 06:00)

Pour Pierre Merle, sociologue et professeur d'université à Rennes, «le régime politique de l'institution scolaire» n'est pas conforme aux principes généraux du droit ­ lesquels prévalent aussi bien dans la société que dans les discours sur l'école. Au coeur du malentendu : le sentiment d'humiliation que ressentent parfois les élèves, auquel il vient de consacrer une longue recherche qui donnera lieu à un livre : l'Elève humilié (1).

A la question : «L'école, zone de non-droit ?»posée en sous-titre de votre livre, que répondez-vous ?

Je réponds par l'affirmative, sachant que cette absence de droit se manifeste essen-tiellement dans la classe. Elle est vécue la plupart du temps comme un espace quasi privé, et le droit s'arrête bien souvent dès que la porte se ferme.

Pourquoi ?

Les enseignants, majoritairement, ont le sentiment que ce qui s'y passe ne regarde qu'eux. Et les élèves ont le sentiment qu'il n'existe aucun recours contre les anomalies dont la classe peut être le théâtre.

Il y a pourtant d'autres adultes ?

Oui. Mais un conseiller principal d'éducation n'interviendra que rarissimement pour mettre en cause un enseignant. Quant au chef d'établissement, il est dans une situation délicate : non seulement son pouvoir sur les enseignants est réduit, mais il doit surtout préserver sa relation avec eux ­ comme il n'a quasiment aucun moyen de coercition, il doit compter sur leur collaboration.

Et les parents ?

Ils interviennent peu, par crainte de retombées sur leurs enfants. Et ils n'ont pas tort...

En 2000, une circulaire de l'Education nationale avait pourtant tenté de faire entrer le droit à l'école, notamment en créant des dispositifs de dialogue.

Le destin de ce texte est au coeur du sujet. Il prévoyait effectivement des modifications des règlements intérieurs afin de mettre en application quelques principes généraux du droit. Par exemple la proportionnalité des sanctions, ou l'égalité de tous (adultes et élèves) face à certaines règles ­ la ponctualité, par exemple. Or le règlement intérieur est voté en conseil d'administration dans chaque établissement. Et beaucoup ont choisi de n'introduire que des modifications marginales et de laisser de côté le corps du texte.

Comment est-ce possible ?

Très simplement : l'absence de culture juridique est telle que les membres des conseils d'administration se vivent comme étant au-dessus du ministre ; ils s'arrogent le droit de décider de ce qui leur convient ou pas dans la loi commune. C'est un usage abusif de l'autonomie des établissements et de la liberté qui leur est reconnue.

C'est le fait du Prince ?

Exactement. Et c'est là que tout peut déraper. Quand un enseignant n'a pas de problème pour «tenir» sa classe, il n'est pas tenté de recourir à des méthodes limites. S'il est mis en difficulté, l'autoritarisme devient tentant, et une de ses formes les plus efficaces consiste à humilier les élèves. Il peut le faire bien souvent en toute impunité.

Est-ce fréquent ?

Il est fréquent que les élèves se sentent humiliés. Une enquête statistique avait montré que 50 % des collégiens estimaient avoir été humiliés par un enseignant. Mais cela ne signifie pas du tout que les enseignants se comportent, en tout cas sciemment, de manière humiliante. Un exemple typique de ce que j'ai recueilli dans mon enquête est celui du professeur qui rend une copie en disant publiquement : «Ce n'est pas digne de toi.» L'élève peut se sentir atteint ­ après tout, la notion de dignité renvoie bien à ce qu'il est. Alors que le message est probablement plus proche du : «Tu es passé à côté cette fois-ci, je sais que tu peux faire mieux.» L'enjeu scolaire est tellement fort aujourd'hui que les élèves ont sans doute tendance à prendre plus à coeur ce genre de remarque que par le passé.

Y a-t-il un ressort dominant de l'humiliation ?

Oui : toucher à la vie privée des enfants. Là encore ça peut se faire sans volonté de nuire de la part de l'enseignant. Mais beaucoup ne se rendent pas compte qu'enfants et adolescents n'ont pas envie que leur vie soit étalée sur la place publique ­ parce qu'ils cachent des choses, qu'ils ont honte, que leur rapport au regard des pairs est très sensible. Ces dérapages ne sont pas acceptables : les enseignants n'ont aucune autorité pour exposer la vie privée des élèves.

Certains élèves se sentent-ils plus humiliés ?

Comme souvent, les phénomènes négatifs sont cumulatifs. On s'autorise plus facilement à humilier les faibles. Ceux qui ont de mauvaises notes, ceux dont les parents n'oseront pas venir se plaindre...

Un enseignant qui devient humiliant n'est-il pas confronté à la solitude ?

A la solitude, et aussi au manque de sollicitude de l'administration. Même les enseignants débutants rechignent à parler des difficultés qu'ils rencontrent, et ça ne s'arrange pas par la suite. A l'Education nationale, le discours officiel veut que tout aille bien, qu'on s'en sorte toujours. On est dans une logique de silence et de dénégation, y compris quand les enseignants sont eux-mêmes ­ ou se sentent ­ humiliés, ce qui arrive aussi.

Les débutants sont plus fragiles ?

A l'évidence. Ils ne sont pas préparés à devoir faire leurs preuves comme personnes devant les élèves. Même quand on les prévient, ils pensent confusément qu'avoir fait la preuve de leur compétence en passant les concours sera suffisant pour instaurer leur autorité. L'humiliation peut poindre quand un enseignant ne se sent pas capable d'affronter les élèves. Faut-il qu'il le reconnaisse...

Les enseignants sont-ils conscients du rapport de domination qui se joue ?

S'ils le sont, ils ne le sont pas assez. Je pense qu'ils ne raisonnent que rarement en termes d'organisation politique de la classe, laquelle est une petite société. Instaurez un régime où un seul détient toute l'autorité, sans recours pour ses sujets, et vous vous obtiendrez probablement l'ordre ­ la terreur, ça marche. Mais ne vous étonnez pas que les élèves finissent par se révolter, par tout casser ou par crever des pneus sur les parkings.

(1) Publié en septembre aux PUF.

Il est vrai que les mauvais enseignants existent et qu'ils peuvent recourir à un certain sadisme (j'en ai connu). Mais dans ce cas, les élèves savent très vite se défendre et dénoncer cette façon de faire. Il faut arrêter de prendre les enfants pour des victimes alors que la place et les droits qu'on leur accorde sont de plus en plus importants et qu'ils le savent...les petits mâlins!

Je trouve vraiment que l'auteur exagère surtout lorsqu'il parle d'"un régime où un seul détient l'autorité sans recours pour ses sujets"...et on obtient de "la terreur". On est vraiment loin de ça quand même, faut arrêter le délire. On respecte les élève bien plus qu'avant et même trop des fois, dirais-je par esprit de contradiction avec monsieur Merle, na!

Posté(e)

Au passage, je pense que ce sujet aurait davantage sa place dans "débat sur l'école" mais bon... :P

Posté(e)
Il est vrai que les mauvais enseignants existent et qu'ils peuvent recourir à un certain sadisme (j'en ai connu). Mais dans ce cas, les élèves savent très vite se défendre et dénoncer cette façon de faire. Il faut arrêter de prendre les enfants pour des victimes alors que la place et les droits qu'on leur accorde sont de plus en plus importants et qu'ils le savent...les petits mâlins!

Je trouve vraiment que l'auteur exagère surtout lorsqu'il parle d'"un régime où un seul détient l'autorité sans recours pour ses sujets"...et on obtient de "la terreur". On est vraiment loin de ça quand même, faut arrêter le délire. On respecte les élève bien plus qu'avant et même trop des fois, dirais-je par esprit de contradiction avec monsieur Merle, na!

Tout à fait d'accord avec toi Toubab, il délire ce mec ou quoi ...

Je crois que je vais détester ce livre ...

Entre guillemets la terreur des professeur connaît pas autour de moi à l'heure actuelle... (mais j'ai bien connu une de mes profs d'allemand qui balancait ses craies ou des éponges mouillées en pleine figure de ses élèves quand ils n'écoutaient pas ! J'y ai eu droit ... je ne suis pas traumatisée, mais certes elle me laisse un mauvais souvenir de l'apprentissage de l'allemand ...)

MAIS autour de moi, j'ai juste deux exemples de directeurs, l'un qui est craint, l'autre pas dans 2 écoles ... Celui qui est craint dans une grosse école en zone urbaine (ben ca marche super bien, ca file droit ... et ca aide énormément les profs et l'ambiance de classe qui est plus calme!), il me semble que c'est important surtout dans une société comme la notre où beaucoup de parents laissent tout faire à leurs chers petits ...

Dans l'autre école (en zone plus rurale) où le directeur n'est pas craint, les élèves ne font que bêtises sur bêtises, les classes sont plus difficiles à gérer et le respect de l'adulte n'est pas au rendez-vous!

Il y a une juste mesure certes, ne parlons pas de terreur mais enfin où va-t-on ?

Cette semaine une collègue de CP (vous pouvez pas trouver une maîtresses plus douce !) a rencontré des parents qui l'ont accusé d'avoir "traumatisé" leur gamin : le gamin, un matin avait décidé de ne pas travailler ... elle avait juste insisté auprès du gamin pour qu'il termine son travail et était restée à côté de lui pour montrer qu'elle surveillait !

Posté(e)

attention à ne pas confondre autorité et autoritarisme...

Je ne crois pas que l'auteur de ce livre (que je n'ai pas lu et que je ne connais pas) dit qu'il faut renoncer à faire preuve d'autorité, c'est effectivment un gage de sécurité et de relations sereines dans un établissement ;)

Mais tout est dans l'art et la manière de faire, tout est aussi dans la considération que l'on a de ses élèves, dans la place qu'ils ont dans la classe, dans l'écoute qu'on peut leur allouer...

Posté(e)

je ne savais pas qu'il y avait une catégorie débat sur l'école.

Fait longtemps que je n'étais pas venue

si un modo passe par là c'est lui qui jugera bon d'une réorientation

lul, j'ai lu tes deux premiers liens.

le 2ème sans avoir lu la source,je savais que c'était "une source officielle"

Il prone le travail en groupe de façon dogmatique. C'est le propre de l'EN de passer d'un dogme à l'autre en faisant table rase du précédent alors que c'est les mêmes qui avaient mis en avant le précédent. Une fois de plus c'est mis en mots comme étant la solution miracle. Or, à lire le forum et de part mon expérience en IR, j'en suis amenée à penser que le travail de groupe et coopératif, je préfère le deuxième d'ailleurs, doit se pratiquer à doses homéopathiques avec une population qui manque de repères. Après libre à nous de faire évoluer les doses en fonction de l'ambiance de classe et des résultats obtenus en terme de gestion de classe mais ça frole la malhonneté que de le proner de cette façon.

Quand au texte que j'ai inséré au début, moi aussi je trouve que l'auteur va un peu loin, surtout dans le choix des mots mais je pense qu'il est sain de se poser des questions sur nos pratiques, même si ces questionnements ne mettent pas en avant les côtés les plus reluisants de notre métier.

Posté(e)

Pour ma part, je suis pas vraiment d'accord avec l'auteur quand il dit que les enseignants débutants ne veulent pas parler de leurs problèmes. J'en parles beaucoup et les gens que je rencontre à l'IUFM parlent des difficultés rencontrées...Je crois même que c'est vraiment impératif de pouvoir en parler...ne pas rester seul...

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