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Posté(e)

Oui milles excuses, je sais (pour avoir lu des dizaines de posts dans la page recherche) que le sujet a été abordé plusieurs fois... :blush:

Mais pas moyen de retrouver ce que j'avais lu une fois : une comptine, ou une petite histoire pour mémoriser le positionnement des doigts sur le crayon.. la pince et la position du majeur... Dernièrement, il y avait l'idée de la chenille qui grimpe, mais ce n'était pas ça.... autre chose..

Quelqu'un s'en souvient-il s'il vous plaît??

Merci :wub::wub:

Posté(e)

Je suis intéressée également par cette comptine mais je n'ai rien lu à ce sujet alors donne moi le titre si tu l'as retrouvé ! Merci

Posté(e)

Je pense que ce que vous cherchez se trouve sur le site du CRDP d'Amiens... ;)

Je ne suis pas d'accord avec ce qui est dit par l'intervenante dans le troisième lien donné par Sourimimi.

Posté(e)
Je pense que ce que vous cherchez se trouve sur le site du CRDP d'Amiens...  ;)

Je ne suis pas d'accord avec ce qui est dit par l'intervenante dans le troisième lien donné par Sourimimi.

:D:D

Précise ton désaccord <_< STP

MCD

Posté(e)

Voilà :

Extrait de l'affirmation : (cf. ton lien)

"Il y a quelques décennies les enfants commençaient à écrire au crayon, puis, très vite, utilisaient le porte-plume. L’usage de cet instrument nécessitait une tenue correcte faute de quoi les pages des cahiers étaient tachées ou griffées. Parents et enfants percevaient donc la nécessité d’une bonne tenue du porte-plume.

Avec les outils actuels, les conséquences d’une tenue défectueuse passent inaperçues (...)"

L'exemple du porte-plume est un peu facile et nous avons besoin dans ce débat d'autre chose que de l'odeur surannée des encriers. Le porte-plume a été un instrument redoutable et redouté à une époque où le dressage prenait le pas sur l'apprentissage.

Autre extrait (in "Chère école", mémoires de maîtres, paroles d'élèves page96) :

" ... Lentement, je trempais ma plume dans l'encre violette et en tremblant j'ajustais la pointe métallique sur la première ligne du cahier. Elle crissait. Trois carreaux à gauche de la marge, il y avait un petit point rouge qui indiquait le départ. Alors, je prenais le risque d'oser, le risque de tracer et de laisser une marque (...)"

Je pense que nous n'avons pas à regretter cet outil dans cette ambiance là... Je connais une enseignante qui s'en sert au cp dans la mesure où l'enfant maîtrise la pression qu'il exerce sur l'outil. Mais ces élèves ne risquent plus rien, la maîtresse mesure le risque raisonnablement je crois pour eux...

A mon avis, les difficultés que rencontrent les enfants dès la PS dans leur prise manuelle quel que soit l'objet a fortiori un outil scripteur, résident davantage dans les défauts d'une génération d'enfants caractérisée par l'hyperactivité, des élèves qui se précipitent dans l'action, qui "zappent" et commencent partout sans jamais rien achever (cf. divers post significatifs)...

Le porte plume n'arrangerait rien... C'est dans les activités "graphisme" (éducation du geste et des postures, latéralité, structuration de l'espace graphique, ...) pensées pour prendre le chemin de l'écriture cursive que je vois des occasions réitérées d'apprendre à tenir l'outil. Une mauvaise tenue ne passe pas pour autant inaperçue aux yeux de la maîtresse attentive à son étayage, elle doit se montrer patiente et opiniâtre.

Pour conclure (j'en resterai donc là), la méthode en question dans ton lien, Sourimimi, est une progression systématique (cf. les 3 livrets) vers l'écriture cursive qui me laisse encore sceptique sur le plan de la démarche pédagogique. Elle ne m'engage pas à modifier mes propres choix (sûrement plus empiriques et pas édités). Ces derniers tiennent davantage compte des signes découverts initialement en "graphisme"... Je favorise la prise pincée pouce/majeur effectivement plus solide mais je ne l'impose pas si naturellement l'enfant maintient l'outil par le pouce et l'index.

Posté(e)

:D:D

Je ne veux pas ici reprendre et poursuivre un débat autrefois commencé et souvent acharné <_< ...

Autant je ne reste pas bloquée sur l'affirmation d'une nostalgie de l'ancien temps et des bénéfices du porte plume, autant je ne suis pas persuadée que la mauvaise tenue de l'outil scripteur réside " davantage dans les défauts d'une génération d'enfants caractérisée par l'hyperactivité, des élèves qui se précipitent dans l'action, qui "zappent" et commencent partout sans jamais rien achever ..."

Je suis une gauchère contrariée, voire très contrariée, puisque j'écrivais naturellement en miroir de la main gauche en partant de la droite ( logique il me semble mais pas adapté aux règles de l'imprimerie :P ).

J'ai subi les affres d'un apprentissage laborieux mais... je tiens correctement mon stylo ( jamais pratiqué la plume ! ) tout en ayant toujours souffert d'une certaine fatigabilié ( certainement liée à ma gymnastique mentale ) autant qu'à la posture.

Je ressens un peu une certaine forme de rejet...

Je ne veux ni défendre un projet, ni vendre une méthode... j'ai toujours eu du mal avec ce mot ( j'aurais été nulle à enseigner en CP ) mais je pense que là, sans tomber dans du forcing forcené, il est utile de conseiller et guider les enfants le plus tôt possible vers une tenue de l'outil convenable pour leur donner la souplesse et l'agilité dans le futur.

Je sais par expérience que toute habitude est difficile à changer.

Je ne fais pas non plus une fixation sur les petites déviations dans la tenue mais je pense qu'il est très gênant de tenir un stylo à pleins doigts comme de masquer son écrit par un majeur ou un pouce trop avancé...

Voilà ! Ces précisions pourront peut-être être utiles à la reflexion d'autres :)

Et j'ajoute un lien de post passé sur le même sujet : http://forums-enseignants-du-primaire.com/index.php?showtopic=60590&st=0

MCD

Posté(e)
Voilà :

Extrait de l'affirmation : (cf. ton lien)

"Il y a quelques décennies les enfants commençaient à écrire au crayon, puis, très vite, utilisaient le porte-plume. L’usage de cet instrument nécessitait une tenue correcte faute de quoi les pages des cahiers étaient tachées ou griffées. Parents et enfants percevaient donc la nécessité d’une bonne tenue du porte-plume.

Avec les outils actuels, les conséquences d’une tenue défectueuse passent inaperçues (...)" 

L'exemple du porte-plume est un peu facile et nous avons besoin dans ce débat d'autre chose que de l'odeur surannée des encriers. Le porte-plume a été un instrument redoutable et redouté à une époque où le dressage prenait le pas sur l'apprentissage.

Je pense que nous n'avons pas à regretter cet outil dans cette ambiance là... Je connais une enseignante qui s'en sert au cp dans la mesure où l'enfant maîtrise la pression qu'il exerce sur l'outil. Mais ces élèves ne risquent plus rien, la maîtresse mesure le risque raisonnablement je crois pour eux...

(…) Le porte plume n'arrangerait rien... C'est dans les activités "graphisme" (éducation du geste et des postures, latéralité, structuration de l'espace graphique, ...)  pensées pour prendre le chemin de l'écriture cursive que je vois des occasions réitérées d'apprendre à tenir l'outil. Une mauvaise tenue ne passe pas pour autant inaperçue aux yeux de la maîtresse attentive à son étayage, elle doit se montrer patiente et opiniâtre.

Je n’ai pas de nostalgie du porte plume, je n’ai jamais écrit ni dit qu’il fallait y revenir, je n’ai jamais écrit ni dit que les stylos bille sont mal adaptés.

Je maintiens « Avec les outils actuels, les conséquences d’une tenue défectueuse passent inaperçues ». C’est un simple constat : ces conséquences peuvent être repérées mais pas perçues comme étant des conséquences, ce qui empêche de voir que certaines tenues de crayons sont défectueuses et posent un réel problème à la personne qui écrit.

Suite de la citation : "Par exemple, nombre d’enfants appuient très fort sur leur crayon. Enseignants et parents pensent qu’il s’agit d’une question de dosage de l’appui alors que la plupart du temps il s’agit simplement d’une mauvaise position de la main (main posée sur le côté) que l’enfant compense en soulevant le poignet : le point d’appui qui se fait normalement sur le poignet, laissant la main mobile, se trouve ainsi transféré sur la pointe du crayon.

Autre exemple, après avoir écrit longtemps telle personne enfant, adolescent ou adulte, est fortement tendue et/ou se plaint de douleurs dans le bras. Cela provient la plupart du temps d’une mauvaise tenue de crayon qui prive les doigts de la mobilité nécessaire pour écrire souplement. Le sujet se trouve donc contraint de mobiliser l’ensemble de son bras pour réaliser les tracés de l’écriture et tétanise ses doigts sur le stylo ainsi que les muscles de l’avant bras alors que fait correctement, l’acte graphique ne nécessite pas d’effort."

Voilà : (...)

Une mauvaise tenue ne passe pas pour autant inaperçue aux yeux de la maîtresse attentive à son étayage, elle doit se montrer patiente et opiniâtre. (...)

Pour illustration

Posté(e)
J'ai essayé l'ombre chinoise de la main ( faire la tête du lapin) avec des PS et bien je reste sceptique. En tout cas ce ne fut pas concluant du tout! de même pour la latérisation.

Petite question pratique; vous dîtes sur la méthode qu'il ne faut pas dire à l'enfant d'appuyer suon poignet sur la feuille mais il faut bien qu'il sente son poignée sur la feuille et qu'il y reste. C'est fou le nombre d'enfant en début de PS qui font le pont avec le poignet! :huh:

Maouëlle

Pour l'ombre chinoise avec les PS il faut du temps, c'est difficile. Mais ça marche surtout qu'il n'y a pas que cela.

La latéralisation marche très bien quant à elle; peut-être as-tu oublié une étape ou es-tu allée trop vite; ou as-tu voulu annoncer aux enfants qu'ils étaient en train d'apprendre où est la droite, auquel cas ils auraient été perturbés ?

Je n'ai jamais écrit qu'il ne faut pas appuyer le poignet, mais qu'il ne faut pas l'appuyer trop fort. Le contact, donc l'appui, est indispensable et assez facile à acquérir. Je suis tout à fait d'accord avec toi : "C'est fou le nombre d'enfant en début de PS qui font le pont avec le poignet! " c'est d'ailleurs normal puisque c'est dû à la tenue palmaire du bébé.

Posté(e)

bonjour je ne sais pas si je suis dans le bon sujet concernant les mouvements de pré-apprentissage de l'écriture ( chez nous on dit pré-écriture )

J'avais acheté un disque qui s'appelle chansons et danses pour rire et pour écrire par Josiane Jeannot-Girard aux éditions

Fernand Nathan il est vieux ( 1980 ) mais peut être est il réédité ???????

Ce disque comprends 14 chansons qui permettent d'étudier les différents mouvements ( le pont, la boucle etc.. )Il y a également 14 fichesd'utilisation

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