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Posté(e)
Masi golbalement la formation reste insuffisante...je pense que ça ne pourra jamais etre parfait, je ne crache pas dans la soupe, mais malgré tout je suis pommée pour certaines partiques de classe A CAUSE des sons de cloche contradictoires entendus à l'iufm. On me dira que je susi assez grande pour me forger ma propre opinion: oui et non...je veux bien expérimenter mais ça m'ennuie de le faire sur mes élèves. Il n'y a pas qu'une seule manière de faire la classe, d'accord, mais sans en arriver aux exemples, il y a quand même descontradictions aberrrantes parfois entre les différents protagonistes de l'iufm.

Bien sûr qu'une formation n'ai jamais parfaite, et qu'il nous reste beaucoup à apprendre sur le terrain. C'est le lot de toute personne qui veut apprendre un métier. Mais, si des cours théoriques suffisent à certains pour apprendre leur boulot, d'autres auraient besoin de quelque chose de plus concret, c'est ce que je laisse entendre lorsque je dis que la pédagogie différenciée n'est pas appliquée à l'IUFM, car on ne nous laisse pas apprendre dans les classes avec ceux qui ont de l'expérience.

Dans mes classes, il me suffit de montrer une fois à certains pour qu'ils aient compris, alors qu'à d'autres il faut montrer plusieurs fois et dans différentes situations, mais ce n'est pas pour cela que je les considère pour des ratés (en ce qui me concerne on a essayé de m'écraser parce que je ne refaisais pas bien ce qu'on m'avait montré). Loin de là, car certains montrent dans certaines situations de véritables trésors d'intelligence. Or, à l'IUFM, la possibilté d'apprendre différemment et à son rythme n'existe pas. Je sais que c'est dur de vouloir prendre en compte les différences de chacun, mais sans cela, il me semble difficile d'enseigner quoi que ce soit à certains.

Pour ce qui est de la multiplicité des discours, je pense que lorsqu'on débute, c'est très déstabilisant d'entendre des choses qui parfois se contredisent. Je crois donc, qu'au début, il faut mettre nos pas dans ceux qui nous ont précédés et puis trouver sa propre voie petit à petit.

Je persiste et je signe : pour ce que j'ai appris à l'IUFM (je parle des cours où l'on est dans un cocon bien à l'écart de la réalité), j'aurais mieux fait de rester chez moi à potasser des bouquins plutôt que de somnoler sur ma chaise... Faites-nous de bons bouquins, des ouvrages didactiques, plutôt que de vouloir nous enfoncer à coup de marteau le savoir, ou à nous faire faire ces travaux de groupes si peu productifs... Pourquoi peu productifs, parce qu'ils sont déconnectés de la réalité, on prépare des choses qu'on ne mettra pas en pratique ou si peu... Là encore, où est-elle cette pédagogie du projet dont on nous parle tant...

Comme toi enna, je pense que la créativité ne peut avoir lieu que dans la différence, et ce que je reproche à l'IUFM c'est de ne pas prendre en compte la différence de chacun... et une formation qui ne fait pas cela, pour moi elle est nulle. Du coup, comment nous demander d'être créatifs dans notre métier si la base n'a pas été assimilée ?

Il y en avait des formateurs qui auraient eu des choses à nous apprendre, mais pas comme ça, pas dans ces conditions...

Posté(e)

Le problème est,vois-tus que des recettes nous ne pouvons vous en donner du fait justement de la diversité des réalités que vous allez rencontrer. En ce qui concerne les propos discordants ben à mon sens cela est inévitable dans la mesure où nous ne sommes pas confrontés à une science exacte.

Je réagis à vos propos parce qu'en tant que formatrice à l'IUFM j'ai vu et je vois encore des attitudes en cours que je trouve personnellement très irrespectueuses.

A chaque fois que je voulais travailler sur des réalités concretes en partant des préparations des étudiants, j'ai eu un mal fou à obtenir leur adhésion. Voilà aussi une autre réalité. Et quand il s'agit de s'impliquer personnellement là il n'y a pratiquement personne tant le regard de l'autre est vécu comme inquisiteur. Comment dès lors avancer ? En tout cas je me refuse d'être un modèle ambulant sur pieds car d'une part je suis moi et que d'autre part vous êtes vous. Faire du Enna en cours ne marche pas même si Enna fait du bon boulot ;) Il faut que vous vous appropriez les choses et donc faut bien passer par des travaux de groupe et des expérimentations en cours sans les élèves ......

J'anime par ailleurs des groupes d'analyse de pratiques et ben lorsqu'il s'agit de discuter des pratiques pédagogiques ce qui amène forcément les personnes à les remettre en question cela devient très difficile aussi.

On préfère généralement remettre en question l'Institution, les parents ou la faute à pas de chance mais dès que l'on remet en question une manière de faire les gens se ferment comme des huitres en remettant en question le dispositif.

Voilà je tenais moi aussi à exprimer mon ressenti de formatrice et je le fais sans colère ni animosité.

Posté(e)

Bonjour à tous!

La peur de Flitch, je la ressens tout pareil! Sauf que LC, j'ai été parachutée (pour mon plus grand bonheur évidemment :P ) sur deux décharges de direction de cycle 3 et un mi-temps en cycle1. Donc pas de référence par rapport à la formation de pe2 et je ressens un manque de ce côté. Même si on m'en dit du mal!

Par contre, de lire Enna me fait du bien : de voir son côté des choses me permet de comprendre qu'on est pas forcément fliqué, comme on me le sous-entend bien des fois! Et que cette remise en question de soi-même, si elle est dirigée en pe2, est libre quand on est en poste!

Personnellement, j'en reviens aux qualités personnelles qu'on développe. Malgré les informations qu'on aura glanées, elles vont nous construire et nous faire évoluer dans l'INTERET DE NOS ELEVES, mais si à la base on est une prof con.., alors on le restera!

D'où mes interrogations lancinantes : suis-je à ma place pour les élèves? Leur apporte-je ce qu'il faut? Vais-je m'améliorer? Pourquoi ces inquiétudes?

et version débile :D : pourquoi m'interroge-je? Et dans quelle étagère?

merci à mon doudou de me rassurer dans ces moments-là :wub:

Posté(e)
...

Je réagis à vos propos parce qu'en tant que formatrice à l'IUFM j'ai vu et je vois encore des attitudes en cours que je trouve personnellement très irrespectueuses.

A chaque fois que je voulais travailler sur des réalités concretes en partant des préparations des étudiants, j'ai eu un mal fou à obtenir leur adhésion. Voilà aussi une autre réalité. Et quand il s'agit de s'impliquer personnellement là il n'y a pratiquement personne tant le regard de l'autre est vécu comme inquisiteur. Comment dès lors avancer ? En tout cas je me refuse d'être un modèle ambulant sur pieds car d'une part je suis moi et que d'autre part vous êtes vous. Faire du Enna en cours ne marche pas même si Enna fait du bon boulot ;) Il faut que vous vous appropriez les choses et donc faut bien passer par des travaux de groupe et des expérimentations en cours sans les élèves ......

J'anime par ailleurs des groupes d'analyse de pratiques et ben lorsqu'il s'agit de discuter des pratiques pédagogiques ce qui amène forcément les personnes à les remettre en question cela devient très difficile aussi.

On préfère généralement remettre en question l'Institution, les parents ou la faute à pas de chance mais dès que l'on remet en question une manière de faire les gens se ferment comme des huitres en remettant en question le dispositif.

Cette attitude est quelque peu normale; les formateurs sont aussi les évaluateurs. Tout stagiaire vient à l'iufm pour y recevoir sa formation mais souhaite aussi être titularisé à la fin de l'année. Pour cela il doit montrer qu'il est prêt à prendre une classe. S'il émet des doutes sur ses compétences (comme le fait ici flitch) il se trouve que certains formateurs (supposés donner des conseils pour aider à remédier aux problèmes posés) vont s'en emparer pour étoffer leur rapport.

J'ai l'impression d'en avoir fait les frais: je n'ai pas hésité à m'"ouvrir" au piufm venu me conseiller lors du premier stage (vu que c'était censé être une visite conseil et non pas évaluative) et bizarement sur le compte rendu il a fait mention de choses qu'il n'a pas vues (il ne peut évidemment pas tout voir en 1h30) mais dont j'ai parlées donc quelque part de parler de ce que l'on ne maitrise pas , ça se retourne contre le stagiaire <_<

Cette année, puisque non titularisée, je ne perçois pas non plus les visites de la CP comme des visites conseils, vu qu'elle fait un rapport à chaque fois donc j'évite de parler de certains points qui risqueraient de se retourner contre moi .Quand elle me demande comment ça se passe "tout va bien" point! et les rapports sont bons ;)

Sauf que la dernière fois, puisqu'elle a abordé le sujet, j'ai parlé de la discipline et elle a pris tout plein de notes, maintenant je sis sûre qu'elle va mettre ça dans le rapport. or elle n'a rien vu qui posait problème mais comme je lui ai dit que parfois c'était dur d'obtenir le silence. Je regrette d'avoir été sincère avec elle.J'aurais mieux fait de mentir et dire que tous mes élèves étaient des anges :P

Voilà tout ça pour dire Enna que je comprends l'attitude de tes stagiaires. Ce n'est pas contre toi qu'ils agissent comme ça mais c'est une espèce de protection contre un système prêt à les noyer alors qu'ils ont déjà eu tellement de mal (en général) à décrocher le concours. (oui ok, là moi aussi, je me mets en avant mon propre ressenti :blush: )

Posté(e)

On change de sujet là, mais moi aussi, ca me derange d'etre évaluée par mes formateurs.

En PA, j'etais chez une IMF formidable qui a tout de suite proposé de nous aider. Mais cette IMF ( qui finalement a vu beaucoup de mon côté personnel pednat le stage) est aussi la personne qui m'évalue. Un rien aurait pu faire de cette personne une sorte de tuteur à qui confier ses angoisses, ses difficultés, mais le fait que cette personne est LA personne qui remplit deux evaluations sur trois, ca me bloque un peu...et pourtant ce n'est pas une de ces IMF pedantes et madame-je sais tout ( je generalise pas ;) ) comme on en croise partout. C'est une personne passionée et qui a envie de transmettre ce qu'elle sait.

Posté(e)

Oui et puis il n'y a pas que ça. Je crois que l'attitude contestataire des stagiaires ne vient pas comme ça au début de l'année parce qu'ils n'ont pas envie d'être là.

Moi personnellement j'ai très mal vécu l'année de PE2 que j'ai trouvé extrêmement infantilisante (et je pèse mes mots).

L'analyse de pratiques dont tu as parlé plus haut Enna, je suis désolée mais perso cela ne m'a jamais rien apporté. Je ne comprends pas que les formateurs trouvent ça enrichissant pour nous. Nos problèmes, on en parle entre nous, on en parle aux collègues pendant les stages, on n'a pas envie de ressasser ça pendant les cours. Pour entendre dire quoi? "C'est du cas par cas, il n'y a pas de solution miracle" :huh: <_< Ben oui on s'y attendait, donc quel interet?

Je ne veux pas créer de polémique en embrayant la dessus; simplement parler de mon ressenti face à l'année de PE2.

On a vraiment besoin de concret, le mieux est vraiment d'aller dans les classes voir les autres faire.

Enfin ça c'est mon avis :wub: j'espère ne blesser personne

Posté(e)

Merci de ne pas dévier du sujet d'origine :)

Posté(e)
Cette attitude est quelque peu normale; les formateurs sont aussi les évaluateurs. Tout stagiaire vient à l'iufm pour y recevoir sa formation mais souhaite aussi être titularisé à la fin de l'année. Pour cela il doit montrer qu'il est prêt à prendre une classe. S'il émet des doutes sur ses compétences (comme le fait ici flitch) il se trouve que certains formateurs (supposés donner des conseils pour aider à remédier aux problèmes posés) vont s'en emparer pour étoffer leur rapport.

J'ai l'impression d'en avoir fait les frais: je n'ai pas hésité à m'"ouvrir" au piufm venu me conseiller lors du premier stage (vu que c'était censé être une visite conseil et non pas évaluative) et bizarement sur le compte rendu il a fait mention de choses qu'il n'a pas vues (il ne peut évidemment pas tout voir en 1h30) mais dont j'ai parlées donc quelque part de parler de ce que l'on ne maitrise pas , ça se retourne contre le stagiaire <_<

Cette année, puisque non titularisée, je ne perçois pas non plus les visites de la CP comme des visites conseils, vu qu'elle fait un rapport à chaque fois donc j'évite de parler de certains points qui risqueraient de se retourner contre moi .Quand elle me demande comment ça se passe "tout va bien" point! et les rapports sont bons ;)

Sauf que la dernière fois, puisqu'elle a abordé le sujet, j'ai parlé de la discipline et elle a pris tout plein de notes, maintenant je sis sûre qu'elle va mettre ça dans le rapport. or elle n'a rien vu qui posait problème mais comme je lui ai dit que parfois c'était dur d'obtenir le silence. Je regrette d'avoir été sincère avec elle.J'aurais mieux fait de mentir et dire que tous mes élèves étaient des anges :P

Voilà tout ça pour dire Enna que je comprends l'attitude de tes stagiaires. Ce n'est pas contre toi qu'ils agissent comme ça mais c'est une espèce de protection contre un système prêt à les noyer alors qu'ils ont déjà eu tellement de mal (en général) à décrocher le concours. (oui ok, là moi aussi, je me mets en avant mon propre ressenti :blush: )

C'est vrai que le cumul des rôles ne joue pas en notre faveur, je te l'accorde mais les groupes d'APP en principe ne se font pas lors d'une visite et les protocoles utilisés (GEASE ou GAP) protègent des jugements de valeur.

Ceci dit de là à penser que l'IUFM a pour objectif de vous noyer me semble être complètement erroné. D'ailleurs, le nombre de non titularisé à la fin de la formation ne dépasse pas les 10 % donc en régle général quand on est en PE 2 on a quand même plus de chance de devenir instite que le contraire non ?

De surcroit sur les 10 % restant plus de la moitié des prorogés sont titularisés .....

Posté(e)
Merci de ne pas dévier du sujet d'origine :)

Oups pardon je ne recommencerai plus ............................................. sf si ....................... lol

Posté(e)
Je réagis à vos propos parce qu'en tant que formatrice à l'IUFM j'ai vu et je vois encore des attitudes en cours que je trouve personnellement très irrespectueuses.

A chaque fois que je voulais travailler sur des réalités concretes en partant des préparations des étudiants, j'ai eu un mal fou à obtenir leur adhésion. Voilà aussi une autre réalité. Et quand il s'agit de s'impliquer personnellement là il n'y a pratiquement personne tant le regard de l'autre est vécu comme inquisiteur. Comment dès lors avancer ? En tout cas je me refuse d'être un modèle ambulant sur pieds car d'une part je suis moi et que d'autre part vous êtes vous. Faire du Enna en cours ne marche pas même si Enna fait du bon boulot ;) Il faut que vous vous appropriez les choses et donc faut bien passer par des travaux de groupe et des expérimentations en cours sans les élèves ......

J'anime par ailleurs des groupes d'analyse de pratiques et ben lorsqu'il s'agit de discuter des pratiques pédagogiques ce qui amène forcément les personnes à les remettre en question cela devient très difficile aussi.

On préfère généralement remettre en question l'Institution, les parents ou la faute à pas de chance mais dès que l'on remet en question une manière de faire les gens se ferment comme des huitres en remettant en question le dispositif.

Voilà je tenais moi aussi à exprimer mon ressenti de formatrice et je le fais sans colère ni animosité.

Pour ce qui est des recettes, je n'en voulais pas non plus, on est bien d'accord.

Mais pour ce qui est du modèle, alors là c'est différent, et je pense que cela m'a manqué. S'inspirer d'un modèle ne signifie pas imiter bêtement ou singer, mais voir ce que d'autres peuvent faire, s'en inspirer et écouter leurs conseils sur notre pratique. Ce que j'ai profondément regretté à l'IUFM, c'est de ne voir les maîtres-formateurs que (ou presque) pour être évalué, et que certains aient du mal à se positionnner : confidents ou juges ? Je reconnais que ce n'est pas facile d'être les deux à le fois, mais dès qu'on vous voit arriver, avec le bulletin de visite sous le bras, et la titularisation qui en dépend, et bien on a pas envie de faire dans l'épanchement de sentiments...

S'approprier les choses par des seances fictives, désolé mais j'y crois peu... Pourquoi? Parce que ces séances on ne les met pas en pratique, c'est comme si un scientifique faisait des hypothèses sans jamais les vérifier par l'expérience. Arf... j'en rigole rien que d'y penser. Et pourquoi on ne les met pas pratique, car elles ne prennent pas en compte la réalité du terrain; elles sont fictives et la plupart du temps sont élaborées sans prendre en compte le matériel à disposition, le pubic auquel elle s'adresse, la multiplicité des niveaux qu'on a dans la classe... enfin, bref, on ressent très bien le côté impalpable, voire inutile, de la chose... Sans le recours à l'expéreince, ces séances construites à l'Institut deviennent une espèce d'exercice nombriliste détestable. C'est comme ce mémoire, il faut faire 30 pages sur un problème pédagogique que l'on n'a jamais eu le temps de rencontrer.

En ce qui concerne les groupes d'analyse, ben... pardonne-moi mais la formule ne m'a jamais convaincu. Premièrement, c'est à chaud et sur le terrain qu'il fallait nous reprendre et pas dans ce laboratoire qu'est l'IUFM, l'essentiel, à mon sens, a été perdu. Quand je corrige avec mes élèves des choses qui ont été faites la semaine précédente, je sens pour la plupart qu'ils en ont un peu rien à foutre, et j'arrive à les comprendre. Ensuite, il faut qu'on ait nous-mêmes vu ce qui n'allait pas et qu'on arrive à mettre des mots là-dessus. Bof... et si on n'arrive pas à voir ce qui ne va pas, et si on avait besoin d'un regard extérieur sur ce que l'on était en train de faire... A l'IUFM, ces fameux groupes d'analyse, on appelait ça la thérapie de groupe... c'est dire si on prenait la chose au sérieux. Même avec de bons formateurs j'arrivais vite à m'ennuyer, c'est sur le principe que ça ne fonctionne pas, ou peu...

Pour ce qui est de la remise en question des PE2, ben... tu n'as qu'à lire le premier post de flitch, et tu te feras une idée toi-même de la chose. Si j'attaquais l'institution c'était pour la décharger de un peu de ses doutes, et puis pour attribuer à celle-ci qui lui revient : des jeunes qui arrivent sur le terrain désarmés. Et les formateurs, ils se remettent eux en question ? Est-ce qu'il n'est pas un peu facile d'attribuer certains manques à l'entêtement des stagiaires ?

En tout cas, merci, enna, de venir ici discuter de l'IUFM (ne vois aucune ironie dans mes propos). Car ici, il n'y a pas d'hypothétiques bulletins d'évaluation qui pourraient nous empêcher de dire le fond de notre pensée.

Et si tu veux savoir, oui, j'ai une dent contre l'IUFM, et c'est vrai que je dois me retenir pour ne pas généraliser de façon rapide et inconséquente. Peut-être que je me trompe, mais encore faudrait-il me le prouver, et parmi les gens que je connais, personne n'a pu encore me faire changer d'avis...

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