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Comment faire


Yaka...

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oui, ce sont les parents qui font la demande à la maison des personnes handicapées. C'est sûr que si, déjà, ils étaient réticents, ça ne va pas les aider à faire la démarche. Ceci étant, c'est à nous, enseignants spé, de leur dire de faire la lettre de demande, pour que leur enfant, déjà scolarisé en clis, puisse y rester. Demande de validation du handicap et de la déficience, en quelque sorte. J'estime que ça n'est pas à nous de faire ça, mais à la MDPH.

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Tu as en partie raison, ce n'est pas à vous de le faire mais à la MDPH qui dispose pour cela localement de référents qui sont des enseignants spécialisés qui servent de médiateurs entre l'élève, sa famille, l'école les partenaires et la mdph. C'est encore le rôle du psy scolaire de préparer la famille à accepter le diagnostic et l'orientation en AIS (ASH).

On peut penser que la mdph va certainement profiter du réexamen des dossiers des élèves en clis, upi, ime ou en intégration individuelle pour remettre dans le circuit ordinaire (surtout pour les clis 1) les élèves qui y sont sans projet de scolarisation et dont le handicap n'aura pas été établi ou reconnu par l'ex cdes ou la cda.

Les parents qui ont accepté avec réticence l'orientation de leur enfant en clis ou ime vont profiter de cette occasion pour refuser de signer la demande de prise en charge et demander la réintégration en classe ordinaire.

Je reprécise qu'inscription dans l'école de son secteur ne veut pas dire scolarisation dans cette école de référence. Il y a de bonnes analyses de la loi du 11 février sur le site de Daniel Calin qui en explique la philosophie.

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J'aimerais pouvoir te croire, momi, quant à la philosophie de cette loi.

Il devient urgent que l'on nous donne les moyens de l'appliquer réellement. Que l'on informe, par exemple, les enseignants non spécialisés en quoi consiste l'intégration, comment la réfléchir intelligemment, la mettre en place... Et surtout, il n'y a pas d'uniformisation. Lorsque l'on voit à quel point le fonctionnement de l'AIS diffère d'une académie à l'autre, ça fait très peur. Il y a un manque cruel de cohérence, alors que nos élèves et nous même en avons particulièrement besoin. Il faut se battre pour tout, devenir menaçant pour obtenir de travailler dans des conditions à peu près potables. Ca use, à force. Alors que ça pourrait être beaucoup plus simple.

Ceci étant, j'adore ce que je fais et c'est pour ça que je me bats.

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