mena1 Posté(e) 5 mai 2006 Posté(e) 5 mai 2006 Ca me rassure e vous lire... Moi j'ai histoire en mineure et comme c'ets ma bête noire j'ai pas mal bosser, enfin je lis je comprends mais je ne retiens pas tout pour la géo j'ai presque rien fait je vais lire des fiches toruvées sur le net mais bon... Pour les sciences ce qui me fait peur c'est la partie connaissances. Pour la partie dida, ça m'inquiète moins car j'ai déjà passer l'oral 2 fois et que ça s'est plutot bien passé, mais niveua connaissance j'ai encore des lacunes. En gros cette nouvelle épreuve est une belle M....
Yseult Posté(e) 5 mai 2006 Posté(e) 5 mai 2006 Alors que, si quelqu'un peut me dire comment il/elle fait pour retenir les dates des règnes des rois, je suis preneuse.C'est bête au possible. Retenir la chonologie et pas mettre les pères après les fils, ça, c'est ok, c'est de la culture G, mais ne pas s'emmêler les crayons avec les dates qui ne sont pas des dates phares, là, moi, je sais pas faire. Je crois que c'est tout simplement une histoire du goût. Les dates rentrent toutes seules pour moi car depuis toute petite, je suis baignée dedans... Par contre, je suis vraiment réfractaire aux sciences ...et depuis la 6° ...Mais hier soir, j'ai fait un effort : j'ai lu la partie bio sur le Hachette : je ne sais pas ce qu'il en restera :P c'est la première fois que tu les lisais, que t'en est -il resté alors ce matin? :P moi , j'ai lu l'hist géo plusieurs fois il y a quelques semaines, et il ne m'en reste rien! La différence avec la bio et l'histoire au délà des penchants pour telle ou telle matière, c'est qu'en bio avec un peu de bon sens, on peut arriver à gratter quelques mots sur des questions simples de l'être humain car nous en sommes un, ou sur les végétaux et animaux qui nous entourent, tandis qu'en histoire sans avoir appris la date, on ne peut pas la retrouver dans sa mémoire...c'est pas en lisant des pages entières de dates qui vont dans tous les sens ( car on va dans tel siècle puis on nous parle d'un évènement d'un autre etc) qu'on peut s'en souvenir, le bachotage est plus indispensable en histoire qu'en sciences... Exactement. Et le problème de ce concours, c'est qu'on demande des gens scolaires, pas forcément des gens qui raisonnent. J'ai fait deux ans en IUFM et c'est ce qui ressort. Et où c'est le plus flagrant, c'est en OP : des personnes qui sont capables de ressortir le nom des sigles qui foisonnent dans l'EN s'en sortent mieux que des personnes qui ont fait une formation en sciences de l'éducation. Je caricature mais à peine. L'impression que j'ai c'est qu'on cherche des têtes bien pleines plutôt que bien faites (evidemment si on a les deux, c'est tant mieux !). Et pour en revenir aux sciences : la nouvelle forme du concours cette année changera peut-être la donne ; mais pour avoir assisté à des cours en sciences en IUFM, j'ai été... je ne trouve pas le mot, stupéfaite ?, atterrée ?, affligée? par le fait que des personnes qui présentaient cette matière en sachent aussi peu sur des notions de base (je radote, mais par exemple, entendre "Ah? Quand on monte en altitude, la pression diminue?", je trouve ça énorme) et s'en sortent malgré tout plus qu'honorablement au concours : mais c'était à l'oral et la documentation se trouvait dans la salle... peut-être que ceci explique cela. Peut-être que cette année ou tout doit être dans la tête, et rien dans les mains ni dans les poches, les choses seront-elles différentes... Bon, allez, j'y retourne.
del-120312 Posté(e) 6 mai 2006 Auteur Posté(e) 6 mai 2006 Alors que, si quelqu'un peut me dire comment il/elle fait pour retenir les dates des règnes des rois, je suis preneuse.C'est bête au possible. Retenir la chonologie et pas mettre les pères après les fils, ça, c'est ok, c'est de la culture G, mais ne pas s'emmêler les crayons avec les dates qui ne sont pas des dates phares, là, moi, je sais pas faire. Je crois que c'est tout simplement une histoire du goût. Les dates rentrent toutes seules pour moi car depuis toute petite, je suis baignée dedans... Par contre, je suis vraiment réfractaire aux sciences ...et depuis la 6° ...Mais hier soir, j'ai fait un effort : j'ai lu la partie bio sur le Hachette : je ne sais pas ce qu'il en restera :P c'est la première fois que tu les lisais, que t'en est -il resté alors ce matin? :P moi , j'ai lu l'hist géo plusieurs fois il y a quelques semaines, et il ne m'en reste rien! La différence avec la bio et l'histoire au délà des penchants pour telle ou telle matière, c'est qu'en bio avec un peu de bon sens, on peut arriver à gratter quelques mots sur des questions simples de l'être humain car nous en sommes un, ou sur les végétaux et animaux qui nous entourent, tandis qu'en histoire sans avoir appris la date, on ne peut pas la retrouver dans sa mémoire...c'est pas en lisant des pages entières de dates qui vont dans tous les sens ( car on va dans tel siècle puis on nous parle d'un évènement d'un autre etc) qu'on peut s'en souvenir, le bachotage est plus indispensable en histoire qu'en sciences... Exactement. Et le problème de ce concours, c'est qu'on demande des gens scolaires, pas forcément des gens qui raisonnent. J'ai fait deux ans en IUFM et c'est ce qui ressort. Et où c'est le plus flagrant, c'est en OP : des personnes qui sont capables de ressortir le nom des sigles qui foisonnent dans l'EN s'en sortent mieux que des personnes qui ont fait une formation en sciences de l'éducation. Je caricature mais à peine. L'impression que j'ai c'est qu'on cherche des têtes bien pleines plutôt que bien faites (evidemment si on a les deux, c'est tant mieux !). Et pour en revenir aux sciences : la nouvelle forme du concours cette année changera peut-être la donne ; mais pour avoir assisté à des cours en sciences en IUFM, j'ai été... je ne trouve pas le mot, stupéfaite ?, atterrée ?, affligée? par le fait que des personnes qui présentaient cette matière en sachent aussi peu sur des notions de base (je radote, mais par exemple, entendre "Ah? Quand on monte en altitude, la pression diminue?", je trouve ça énorme) et s'en sortent malgré tout plus qu'honorablement au concours : mais c'était à l'oral et la documentation se trouvait dans la salle... peut-être que ceci explique cela. Peut-être que cette année ou tout doit être dans la tête, et rien dans les mains ni dans les poches, les choses seront-elles différentes... Bon, allez, j'y retourne. Pourtant j'ai toujours été scolaire et c'est vrai que j'ai eu une scolarité primaire, secondaire et supérieure réussies...mais depuis le crpe, soit je ne suis plus scolaire, soit ça ne suffit pas, puisque ça fait 4 fois que je le tente!
Yseult Posté(e) 6 mai 2006 Posté(e) 6 mai 2006 Alors que, si quelqu'un peut me dire comment il/elle fait pour retenir les dates des règnes des rois, je suis preneuse.C'est bête au possible. Retenir la chonologie et pas mettre les pères après les fils, ça, c'est ok, c'est de la culture G, mais ne pas s'emmêler les crayons avec les dates qui ne sont pas des dates phares, là, moi, je sais pas faire. Je crois que c'est tout simplement une histoire du goût. Les dates rentrent toutes seules pour moi car depuis toute petite, je suis baignée dedans... Par contre, je suis vraiment réfractaire aux sciences ...et depuis la 6° ...Mais hier soir, j'ai fait un effort : j'ai lu la partie bio sur le Hachette : je ne sais pas ce qu'il en restera :P c'est la première fois que tu les lisais, que t'en est -il resté alors ce matin? :P moi , j'ai lu l'hist géo plusieurs fois il y a quelques semaines, et il ne m'en reste rien! La différence avec la bio et l'histoire au délà des penchants pour telle ou telle matière, c'est qu'en bio avec un peu de bon sens, on peut arriver à gratter quelques mots sur des questions simples de l'être humain car nous en sommes un, ou sur les végétaux et animaux qui nous entourent, tandis qu'en histoire sans avoir appris la date, on ne peut pas la retrouver dans sa mémoire...c'est pas en lisant des pages entières de dates qui vont dans tous les sens ( car on va dans tel siècle puis on nous parle d'un évènement d'un autre etc) qu'on peut s'en souvenir, le bachotage est plus indispensable en histoire qu'en sciences... Exactement. Et le problème de ce concours, c'est qu'on demande des gens scolaires, pas forcément des gens qui raisonnent. J'ai fait deux ans en IUFM et c'est ce qui ressort. Et où c'est le plus flagrant, c'est en OP : des personnes qui sont capables de ressortir le nom des sigles qui foisonnent dans l'EN s'en sortent mieux que des personnes qui ont fait une formation en sciences de l'éducation. Je caricature mais à peine. L'impression que j'ai c'est qu'on cherche des têtes bien pleines plutôt que bien faites (evidemment si on a les deux, c'est tant mieux !). Et pour en revenir aux sciences : la nouvelle forme du concours cette année changera peut-être la donne ; mais pour avoir assisté à des cours en sciences en IUFM, j'ai été... je ne trouve pas le mot, stupéfaite ?, atterrée ?, affligée? par le fait que des personnes qui présentaient cette matière en sachent aussi peu sur des notions de base (je radote, mais par exemple, entendre "Ah? Quand on monte en altitude, la pression diminue?", je trouve ça énorme) et s'en sortent malgré tout plus qu'honorablement au concours : mais c'était à l'oral et la documentation se trouvait dans la salle... peut-être que ceci explique cela. Peut-être que cette année ou tout doit être dans la tête, et rien dans les mains ni dans les poches, les choses seront-elles différentes... Bon, allez, j'y retourne. Pourtant j'ai toujours été scolaire et c'est vrai que j'ai eu une scolarité primaire, secondaire et supérieure réussies...mais depuis le crpe, soit je ne suis plus scolaire, soit ça ne suffit pas, puisque ça fait 4 fois que je le tente! Oui, on est presque dans cette configuration : on a tous plus ou moins fait des études supèrieures... mais justement : je crois que plus on est impliqué dans la "vraie vie" moins on a de chances statistiques d'avoir le concours (ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas, et heureusement, des exceptions qui contredisent ce que j'essaie de dire). Voici un extrait d'un mail d'un de mes profs d'OP, avec lequel j'ai discuté lors de mon recalage, qui explique, entre autres, pourquoi je dis cela : Je suis aussi révolté et consterné que toi, à la différence près que ce n'est pas la première fois... De tels scandales arrivent chaque année, et je n'arrive pas à m'y faire ; et cela ne concerne pas que le CRPE, je refuse désormais, par exemple, de sièger au concours maître-formateur pour la même raison : tout se passe comme si les candidats les moins concernés par les réels enjeux de l'éducation étaient les plus susceptibles de réussir. Le principal obstacle, je crois, tient dans la constitution des jurys, et les critères formels (et le plus souvent inconscients) de sélection. Le problème est qu'il est impossible de préjuger des conditions effectives de l'épreuve pour tous, ce qui nous permettrait de concevoir une préparation adéquate ; nous en parlons souvent entre collègues, et avec ceux d'autres académies : l'aléatoire règne en maître. En effet, tu aurais très bien pu réussir un autre jour, avec un autre jury... Allez, j'en arrête là : mon but n'est pas de casser le moral des troupes, mais de dire qu'il n'y a pas de relation directe entre la qualité d'une prestation et la note chiffrée attribuée par le jury.
galilea Posté(e) 6 mai 2006 Posté(e) 6 mai 2006 Allez, j'en arrête là : mon but n'est pas de casser le moral des troupes, mais de dire qu'il n'y a pas de relation directe entre la qualité d'une prestation et la note chiffrée attribuée par le jury. entendre ça remonte plutot le moral car on peut se dire que ce n'est pas forcément notre prestastion qui étaiy tres mauvaise mais qu'elle ne correspondait pas à ce jury... et donc qu'avec un autre jury ça pourrait passer...
Yseult Posté(e) 6 mai 2006 Posté(e) 6 mai 2006 Allez, j'en arrête là : mon but n'est pas de casser le moral des troupes, mais de dire qu'il n'y a pas de relation directe entre la qualité d'une prestation et la note chiffrée attribuée par le jury. entendre ça remonte plutot le moral car on peut se dire que ce n'est pas forcément notre prestastion qui étaiy tres mauvaise mais qu'elle ne correspondait pas à ce jury... et donc qu'avec un autre jury ça pourrait passer... Disons que ça peut aider à ne pas trop sombrer quand on se fait planter : c'est moins grave que si c'était pire... <_<
del-120312 Posté(e) 7 mai 2006 Auteur Posté(e) 7 mai 2006 Finallement, je viens de décider que je relirai vite fait, trés vite alors, l'hist géo (mineure) si j'ai le temps , sinon tant pis, je croise les doigts et fonce en sciences!
Malakime Posté(e) 7 mai 2006 Posté(e) 7 mai 2006 Finallement, je viens de décider que je relirai vite fait, trés vite alors, l'hist géo (mineure) si j'ai le temps , sinon tant pis, je croise les doigts et fonce en sciences! Cloééé, à mon avis, si tu peux, bosse un ou deux sujet à fond en plus de relire. On sait jamais avec la chance CRPE, 100% des admis ont tenté leur chance Aurore
del-120312 Posté(e) 7 mai 2006 Auteur Posté(e) 7 mai 2006 Finallement, je viens de décider que je relirai vite fait, trés vite alors, l'hist géo (mineure) si j'ai le temps , sinon tant pis, je croise les doigts et fonce en sciences! Cloééé, à mon avis, si tu peux, bosse un ou deux sujet à fond en plus de relire. On sait jamais avec la chance CRPE, 100% des admis ont tenté leur chance Aurore Oui c'est ce que j'ai prévu de faire (3 sujets en histoire) et 2 en géo, comme au bac et je relis le reste...et encore qu'au bac j'avais pas lu le reste! Que la chance me soit présente comme à l'âge de 17 ans! :P et surtout que mes intuitions sur ces sujets bossés se confirment!
vero49 Posté(e) 7 mai 2006 Posté(e) 7 mai 2006 Oui c'est ce que j'ai prévu de faire (3 sujets en histoire) et 2 en géo, comme au bac et je relis le reste...et encore qu'au bac j'avais pas lu le reste! Que la chance me soit présente comme à l'âge de 17 ans! :P et surtout que mes intuitions sur ces sujets bossés se confirment! On sera deux sauf que pour moi c'est pour les sciences...
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