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Posté(e)
La violence psy existe aussi.

Quand un enfant est amené à la DDASS les parents sont prévenus et il ya dialogue

Prévenir voir la maman c'est aussi un moyen de lui dire qu'on est attentif à la situation.

tout à fait d'accord

le pb de la violence psy c'est qu'elle est plus difficilement décelable

Posté(e)

UP

  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)

Bonjour, j'ai été cpe quelques mois cette année, en remplacement et je suis admissible au crpe. Ma spécialité à moi est plutôt dasn les comportements inquiétants, les troubles et les problèmes socio, affectifs, éducatifs etc ...

Bref, je pense qu'il est important d'une part de voir la maman, comme on te le faisait remarquer, peut être en marchant sur des oeufs au départ. Cad en liui proposant de parle de son fils à l'école qui ne va pas très bien, de ses résultats (en valorisant un max). Attention, il ne faut pas qu'elle se sente piégé en découvrant que le sujet est tout autre ! Sinon, tu rique de rompre le dialogue avec elle.

D'autre part, il faut reprendre avec l'élève ce qui s'est passé, et tenter , si tu le sens capable de gérer cette info, de dédramatiser la rencontre avec sa mère. La plupart des enfants élevés par des mères seules, et particulièrement les garçons, posent de gros problèmes. Je le dit aussi par expérience, étant maman d'un petit garçon de 3 ans, et heureusement que le papa est là. On a beau être (ou avoir été ) des éducs, c'est pas simple du tout. Les mamans seules se trouvent prises en porte à faux, entre un rôle maternant et le besoin absolu d'un enfant d'autorité, de limites etc.

Je retire de mes diverses expériences que les enfants ont parfois des réactions disproportionnées ou hors de rpopos. Ils ne mesurent pas toujours bien l'impact et les conséquences de leurs actes. c'est également un apprentissage à faire. Je te conseille donc de suivre lea démarche habituelle et de prendre garde à ne pas se laisser enfermer dans des conclusions hâtives, dans un sesn comme dans l'autre.

Enfin, effectivement,; la réaction del'éléève est inquiétante et en même temps, elle peut être induite par de "petites" choses. j'ai vu nombres d'élèves, de la 6° à la terminal, se mettrent dans des états incroyabes, à croire que leurs parents les battaient, parce que les disours à la maisons prenaient dans leurs têtes des proportions incroyables. Ex : un élève de 12ans, un peu "farceur", un peu moyen voire médiocre depuis quelques semaines. Ses parents, à qui bien sûr ils n'épargne pas ses sautes d'humeur, lui disent un soir que s'il continue, ils le priveront de sortie, quitte à se faire AIDER pour cela. L'élève en a conclu qu'il finirait son année scolaire en "maison de redressement" (sic) et a du coup commencé à perdre son cahier de liaison, et à aggraver son cas (de petites bêtises pourtant) car il croyait n'avoir plus rien à perdre, et qu'il se sentait en danger.

BON COURAGE !

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