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Posté(e)

je m'interroge quel niveau faut t-il pour passer cette épreuve ?

J'ai un deug histoire ac des option en histoire de l'art et des connaissances en sémiologie des images mais je me demande si c'est suffisant ?

Sur quel livre (ou autre) révisez vous la deuximéme partie de l'entretien ?

Moi je lis beaucoup de choses s'adressant aux enfants (collection DADA , histoire de l'art pour les jeunes ect... )

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Posté(e)

ton niveau est largement suffisant

il faut se dire que beaucoup ayant pris cette option que je connais (Iufm, formathemes...) bref ont aucune connaissance ou si peu

donc tu pourra faire la difference

Posté(e)
ton niveau est largement suffisant

il faut se dire que beaucoup ayant pris cette option que je connais (Iufm, formathemes...) bref ont aucune connaissance ou si peu

donc tu pourra faire la difference

Tu crois que les livres s'adressant au enfants sont de bonnes sources , en tout cas merci pour ta réponse rassurante !

Posté(e)

Bonjour,

oui, les livres s'adressant aux enfants comme DADA sont très bien pour l'épreuve. Pas besoin d'avoir un niveau elevé en histoire de l'art ;)

Posté(e)
Bonjour,

oui, les livres s'adressant aux enfants comme DADA sont très bien pour l'épreuve. Pas besoin d'avoir un niveau elevé en histoire de l'art ;)

Mon niveau à moi est NUL ! (en histoire de l'art ! en informatique ça va bien, mais ce n'est pas une option du concours snif snif)

Bref, qui peut me donner les références du livre DADA dont vous parlez ?

Posté(e)

J'ai fait des études en histoire de l'art, si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas!

Alex.

Posté(e)

Bonjour,

oui, les livres s'adressant aux enfants comme DADA sont très bien pour l'épreuve. Pas besoin d'avoir un niveau elevé en histoire de l'art ;)

Mon niveau à moi est NUL ! (en histoire de l'art ! en informatique ça va bien, mais ce n'est pas une option du concours snif snif)

Bref, qui peut me donner les références du livre DADA dont vous parlez ?

DADA est une revue d'art pour les enfants aux éditions MANGO. Elle paraît tous les mois. Tu peux la trouver dans les IUFM, les CRDP et parfois dans les librairies.

Posté(e)

Alex... ta proposition est + que + mieux... :D

J'ai fais des frises avec les noms des différents mouvement, et bien souvent je n'ai pas d'explication, ce qui fait que si tu me dis expressionnisme, je te reponds 1900; ça, ça va.. mais si tu me donnes un tableau je serais incapable de le ralier à un mouvement.. Aurais tu une technique, des caracteristiques pour situer une oeuvre?

Et deuxieme question, (j'en profite) on aura une analyse a faire, quels sont les points incontournables?? je connais CLEF: couleur, lignes, espaces, forme.. et SMOG: support, matiere, outils, geste..

Et des trucs du style, la spirale represente la galaxie, l'infini, la vie eternelle.. j'en ai vraiment peu, hors c'est ca qu'il faut connaitre pour faire l'analyse d'un tableau, pour en donner un sens !! nan!!!

Stp aide nous, nous qui sommes...... NULS.... tout simplement !!

Posté(e)

Bonjour, j'ai passé le concours en 2005 dans l'académie de Nantes. En arts plastiques, j'ai eu 15 sans passer par l'IUFM ou le CNED. Je me suis surtout baser sur des livres disponibles au CRDP pour la pédagogie ou bien pour la connaissance de l'histoire de l'art sur des bouquins présents au rayon enfants en bibliothèque municipale, car les bouquins étaient plus nombreux, plus récents et plus simples que ceux pour adultes. D'ailleurs la revue Dada y figurait (elle est bien car elle parle chaque mois d'un théme différent (le noir, le paysage, le beau, Matisse,...) avec des photos d'oeuvres sur plusieurs siècles et dans différents pays et continents). En histoire de l'art je n'avais pas un niveau fantastique mais l'art m'a toujours intéressé. Ce qui posait davantage problème c'était l'analyse des oeuvres. En bossant c'est venu petit à petit. Au concours, j'ai tout de suite recherché dans les reproductions qu'on nous avait donné les lignes dominantes, comment étaient disposées les formes (espacées ou pas, nombreuses ou pas), les matériaux (sur les deux photos de Yann Arthus-Bertrand il y avait d'une part un village africain donc des maisons en terre et d'autre part le chateau de Chambord donc de la pierre)... et ce que cela voulait dire en arts plastiques. Il faut tenir compte de l'intérêt pédagogique et donc de retrouver des éléments qu'on exploite à l'école primaire. C'est donc surtout l'idée de contraste : il était évident (quand on avait bossé plusieurs mois dessus) dans le sujet de voir l'idée de vide et de plein. Par contre, dans les rapports de jury j'avais déjà lu que les jurés n'aimaient pas trop les symboles : du genre, mettre une colombe pour dire la paix (même si des artistes l'on utilisée).

Au concours, mes examinateurs n'ont pas trop apprécié que j'insiste sur le contraste des couleurs (orange/bleu : chaud/froid... peut-être trop bateau et aussi parce que dans ma production il y avait des choses intéressantes que eux avaient vu mais pas moi et dont ils auraient voulu que je parle).

les autres contrastes développés à l'école : lourd/léger, grand/petit,...

Voilà pour quelques conseils que j'espère toujours bons à prendre même si l'épreuve a changé et que l'échéance est proche.

Posté(e)
Par contre, dans les rapports de jury j'avais déjà lu que les jurés n'aimaient pas trop les symboles : du genre, mettre une colombe pour dire la paix (même si des artistes l'on utilisée).

Ah bon!? Ben pourquoi?

Pourtant les oeuvres d'art sont truffées de symboles plus ou moins cachés...

Je ne comprends pas.

Posté(e)

Méfiez-vous l'épreuve est différente de 2005...

Si vous n'avez pas d'idée fixe, reportez-vous à la liste officielle: les oeuvres sont très connues, ce qui signifie que vous n'aurez aucun mal à trouver des reproductions et des analyses précises et concises (on a que 10 mn!).

Surtout, ne vous traumatisez pas: l'exercice demandé est intéressant et guère difficile.

Je vous propose le cours que j'avais donné à l'université d'aix pour les étudiants de première année qui se posaient autant de questions que vous:

La Vierge au chancelier Rolin, musée du Louvre (vers 1435, huile sur bois, 66 X 62 cm) :

1) Présentation de l’œuvre :

Appelé également La Vierge d’Autun, ou Madone d’Autun ce tableau est le plus célèbre de Jan van Eyck. Nicolas Rolin, (1376-1462) est le fondateur des Hospices de Beaune. Il devient chancelier en 1419. Homme instruit, il se distingua par ses grandes capacités diplomatiques, s’assurant la confiance de Philippe le Bon. Il multiplia les actes pieux afin de faire oublier la mauvaise réputation liée à sa fonction de chancelier. Il est représenté agenouillé en prière devant la Vierge, sur la tête de laquelle un ange dépose une couronne très riche qui rappelle celle du retable de Gand. L’enfant Jésus, dans les bras de sa mère, regarde le chancelier.

La scène est située dans un intérieur de noble palais, et montre quatre personnages dans un intérieur qui s’ouvre sur un beau paysage dans le fond. Ce tableau de petite surface présente donc pourtant tout un monde, un microcosme.

Une grande plénitude se dégage de cette œuvre : on ne peut pas en saisir tout le sens au premier regard. Comme la plupart de ces tableaux, cette œuvre devait être entourée d’un cadre de bois où étaient inscrit la date et la signature du peintre.

Le panneau se compose de trois planches de chêne aux veines verticales. Ces planches ont légèrement joué, on distingue par endroit les joints. Les panneaux étaient préparés selon des méthodes encore utilisées chez les ébénistes d’art et les luthiers : les planches étaient extraites d’un bois coupé l’hiver (non remontée de la sève), elles étaient poncées, puis chevillées. On appliquait ensuite du Gesso, mélange de colle animale et de plâtre fin. Une première couche fait gonfler les veines du bois, puis on applique d’autres couches finement poncées, jusqu’à l’obtention d’une surface dure et lisse comme de l’ivoire. Une esquisse était réalisée au pinceau fin, (cf la sainte Barbe, dessin/bois, 1437 (43 X 18,5 cm) du musée d’Anvers), où objets et personnages sont esquissés en grisaille.

La dendrochronologie permit de mieux connaître l’âge des panneaux utilisés par van Eyck : le panneau 1 et 3 proviennent d’un même arbre planté vers 1215, la planche 2 d’un arbre planté vers 1247. L’abattage aurait eu lieu vers 1426. Après l’abattage, on attend environ une dizaine d’années. Le panneau a dû être monté vers 1436.

Les techniques modernes de restauration nous montre grâce à l’emploi de rayons infra rouge qu’une bourse était disposée au côté droit du chancelier. Rolin a dû demander au peintre de supprimer ce détail, allusion trop clair à son immense fortune. Le bras droit du Christ était initialement baissé, avant qu’il ne demande d’être béni par lui.

2) composition :

Le chancelier placé à gauche est en position de priant. Sa masse fait le pendant avec le corps de la Vierge à droite. Leurs coloris se complètent également, le peintre jouant avec les contrastes chaud-froid (Vierge-Rolin). L’illusion de la profondeur est donnée par le jeu subtil des carreaux (perspective linéaire) et la lumière du paysage du fond (perspective atmosphérique). Carreaux et architecture sont les supports de la perspective. Dans Le portrait du couple Arnolfini (1434) il y a un système à trois points de fuite. Dans La Vierge de van der Paele (1436) c'est un système double. Ici, les lignes du carrelages convergent vers un point central au niveau du fleuve, celles des chapiteaux vers des points situés un peu plus hauts. Les points de fuite sont donc très proche. Leur dérivation est peut-être due à la déformation des planches de bois. A l’origine, le points étaient confondus, du moins alignés sur une même verticale. Pour les deux tableaux précédents, van Eyck tâtonnait à la recherche d’un système. Ici la perspective centrale à point de fuite unique semble donc à peu près trouvé.

La composition repose sur un jeu de contrastes : gauche-droite ; haut (ouvert) et bas (fermé) et intérieur (privé)-extérieur (public). L’opposition des couleurs (froid-chaud) entre Rolin et la Vierge est rappelé par les deux guetteurs.

Les gammes colorées couvrent tout le spectre des couleurs ce qui permet d’avoir une harmonie générale.

Le portrait de Rolin est très réaliste (rides…), la Vierge a un aspect juvénile (toujours des contrastes donc), les yeux baisés en signe de modestie. Elle ne regarde pas Rolin. Elle est assise sur un coussin bleu brodé d’or posé sur un coffre de bois ciselé. Son manteaux rouge, couleur de noblesse et portée par les empereurs romains, est somptueux. Elle a quelques chose d’inapprochable. Ce manteau est orné de pierreries le long de l’ourlet avec des inscriptions sur l’ourlet en or : citations du cantique des cantiques. Le texte tiré de l’Ecclésiaste précise « elle règne sur Jérusalem comme un grand cèdre sur le Liban, ou le cyprès sur la montagne de Sion ». La Vierge est le symbole de l’Eglise.

L’enfant béni Rolin, par le geste de sa main droite, à hauteur du pont signe d’universalité, et tient un globe de cristal orné d’une croix en or et de pierres précieuses, symbole de la puissance terrestre du Christ. Une certaine douceur se dégage de cette gestuelle. Mais il n’a pas l’attitude d’un enfant : son visage est sérieux, car il a conscience de son sacrifice futur.

Un ange vêtu d’une robe bleue des chérubins et d’une paire d’ailes bariolées au couleurs de l’arc-en-ciel, symbole de l’alliance entre Dieu et les hommes. Il porte une couronne au-dessus de la tête de la Vierge.

Rolin est agenouillé sur un prie-dieu couvert d’une housse bleu émail. Il est en position de prière et est coiffé en calotte, mode du XVe siècle, tempes et cou rasé. Il porte un vêtement de brocart brun bordé de fourrure de vison : c’est donc un grand de ce monde, mais il garde une certaine distance avec la Vierge et son fils. Sa silhouette est massive, immobile et raide. Mais ces vêtement sont plus doux et ils adoucissent donc son visage austère, bien conscient de sa puissance, la plus estimée et la plus crainte de Bourgogne. Van Eyck a donc saisi l’âme du modèle. Un livre est posé sur ses genoux, sans doute un livre de prière puisque on peut déchiffrer la première lette un « D », sans doute la première lettre du mot «Dominus. Peut-être le huitième psaume qui fait référence à la lune et au soleil, (qui seraient présents à gauche et à droite dans ce ciel de fin de journée d’été), aux travaux des hommes (paysage du fond).

La composition est donc aérée et rigoureuse. La symétrie est presque parfaite, il y a moins de personnages à gauche. L’ensemble est proche de la chambre des époux Arnolfini que nous étudierons ensuite.

Trois regards se croisent : la Vierge, donc, ne regarde pas Rolin, regard qui semble lointain, elle est absorbée dans ses pensées. Le Christ regarde Rolin qui regarde le Christ. Les regards concordent au centre du tableau. Le personnage de Rolin est de la même taille que la Vierge, signe plus moderne, puisqu’au Moyen Age, la tendance voulait que le donataire représenté, en signe d’humilité, soit représenté plus petit.

Les chapiteaux sculptés sont ornés de scènes figuratives : à droite, l’histoire de Babylone et de la reine de Saba, fille de Sion touchée par l’Esprit saint, symbole de la conversion des païens ; à gauche Adam et Eve, la mort d’Abel, bref, les premiers péchés de l’humanité. Le pont est donc le symbole entre le monde des païens et des pécheurs, entre l’ancienne et la nouvelle religion.

Le jardin clos rappelle celui des cantiques des cantiques. Les fleurs présentes ont également une symbolique : les lys renvoient à la virginité de Marie, les roses aux martyrs, les violettes à la fidélité et les iris à la future royauté du Christ.

Le paon st symbole d’éternité, sa chair avait la réputation d’être incorruptible, rappelle la promesse d’immortalité céleste.

La pie est un oiseau de malheur, lorsqu’il y en a deux, c’est un signe de bonheur.

Une colonne écrase des lapins, symbole de l’amour charnel.

La galerie s’ouvre vers le spectateur et vers le jardin. Le christianisme est au centre du monde.

La salle haute est typique d’une galerie médiévale. Le style roman domine, même si le pied de la colonne est gothique. Trois baies s’ouvrent sur un paysage, symbole de la sainte Trinité sans doute.

Un fleuve traverse en son centre une plaine habitée et travaillée par l’homme. Près de la voie fluviale surgit une cité dont on voit, sur la droite, une ville dense (côté Vierge) avec une cathédrale, et, à gauche, derrière la figure du chancelier, les murs externes d’un grand monastère ou d’une abbaye dans un faubourg et des chemins qui mènent vers la campagne et ses vignobles. Un pont à arches traverse le fleuve, au milieu duquel est situé un petit îlot. Un grand nombre de personnages franchissent le pont à cheval ou à pied. D’autres traversent la rivière dans des bacs. Ces personnages ont moins d’1mm de hauteur. Des historiens ont vu la flèche de la cathédrale d’Utrecht, la cathédrale de Bruxelles ou la campagne Bourguignonne (Autun) : le paysage est imaginaire et reprend des éléments de la réalité. Deux personnages sont représentés de dos au premier plan. L’un d’eux regarde le paysage du haut du mur crénelé du palais, l’autre porte un bâton. Ils sont vêtus à la mode des années 1430. Ils font le lien entre le premier et le second plan. Ce ne sont pas les seuls personnages représentés : la ville est remplie d’habitants qui grouillent dans les rues, sur les ponts, sur les places, dans un tourbillon frénétique qui contraste avec le calme et l’aspect contemplatif du premier plan.

Il y a de nombreuses églises dans la vile, de manière irréaliste : symbole de toutes les églises de la terre, on est du côté de la Vierge et du Christ. Du côté de Rolin, ce sont le bâtiments publics, le travail des hommes. C’est l’image de la Jérusalem céleste selon es textes de saint Augustin.

Le paysage:

Le tout est baigné d’une lumière douce et crépusculaire.

En 1419, des négociations ont lieu entre France, Bourgogne et Angleterre. Un rendez-vous est organisé sur le pont fortifié de Montereau sur l’Yonne entre le duc de Bourgogne et le roi de France. Au moment où il s’approche vers le dauphin, Jean Sans Peur est assassiné d’un coup de hache. La rupture entre France et Bourgogne est profonde.

En 1435, Rolin arrive à réunir les trois parties à nouveau. C’est le traité d’Arras. Charles VII accorde des concessions territoriale à la Bourgogne et s’engage à faire dire des requiems quotidiens dans l’église N.D. de Montereau en la mémoire de Jean Sans Peur et à fonder un monastère à proximité et faire ériger une croix d’or à l’endroit même du meurtre.

Van Eyck a placé dans son paysage, le ponton, la tour, la croix et le monastère.

Certains ont vu dans les deux guetteurs, Charles VII et Philippe le Bon enfin réconciliés., à moins qu’il ne s’agisse de Jan et Hubert, mort dix ans plis tôt. Rolin est donc figuré là au sommet de sa gloire politique. Les paons placés à sa hauteur sont aussi symbole d’orgueil.

3) conclusion :

Ce tableau est le chef-d’œuvre de van Eyck. Au XVe siècle, le tableau devient indépendant. Il n’est plus seulement un ornement religieux, mais une fenêtre ouverte sur le monde. Il marque un moment d’équilibre dans son art. Ce tableau aura un grand succès auprès des peintres des XVe et XVIe siècles, à l’image du Diapo 6, Saint Luc peignant la Vierge vers 1535-1540, de Pieter Coecke van Aelst (1502-1550), du Musée des Beaux-Arts de Nîmes. Cette huile sur bois, de 165 X 125 cm, reprend la même composition que le chancelier Rolin de van Eyck.

En 1457, Rolin ordonna de grands travaux dans la cathédrale Saint-Lazare d’Autun, où il avait été baptisé. A sa mort, il souhaita que cette œuvre soit placée dans la chapelle Saint-Sébastien de la dite cathédrale.

Ne vous affolez pas: ce que vous venez de lire dure environ une heure! Chaque partie devra être traitée de manière plus concise. Je vous conseille de préparer votre travail pour plus de 10 mn: ainsi si le jury souhaite qq précisions, il pourra se rendre compte de la qualité de vos connaissances.

Pour plus de précisions, n'hésitez pas!

Alex.

Alex.

Posté(e)

Je trouve ça très sympa de nous consacrer autant d'attention. C'est très interessant!

Un grand merci!!

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