Anwamanë Posté(e) 6 juin 2006 Posté(e) 6 juin 2006 L’entrée dans le métier : Divers documents très interessants et très concrets : Ici Là et encore là Ou encore ici Bonne lecture !
chandie Posté(e) 6 juin 2006 Posté(e) 6 juin 2006 Affable, tu es décidemment la tite maman du forum Génial ces sites..Pleins de ptits trucs à piocher!!
salut Posté(e) 6 juin 2006 Posté(e) 6 juin 2006 Un grand merci à Affable!!!! Y'a plein d'info dans tes sites!!!
mango Posté(e) 7 juin 2006 Posté(e) 7 juin 2006 Ben, encore merci Affable, c'est tout ce dont j'avais besoin : un peu de concret. Mango
achatanne Posté(e) 7 juin 2006 Posté(e) 7 juin 2006 un grand merci à toi affable.. c'est très concret.. achatanne
Anwamanë Posté(e) 8 juin 2006 Auteur Posté(e) 8 juin 2006 Je rajoute : Une circulaire ministérielle (27/07/2001 B.O. n°32) invite à mettre en place "l’accompagnement de l’entrée dans le métier". Un groupe de travail (des CPC, des IEN, des DEA, des PIUFM) s’est réuni en 2002 pour se former à une approche de l’accompagnement qui soit une alternative aux pratiques traditionnelles de la visite et du comblement des manques. Ce travail fondé sur la discussion a été d’abord un moment de formation de formateurs et a débouché sur la rédaction d’une charte de l’accompagnement des enseignants débutants. Charte de l’accompagnement à l’entrée dans le métier Votre place, votre relation avec le formateur. * Votre place Le formateur vous reconnaît comme un professeur, un enseignant, responsable d’une classe ou d’un groupe d’élèves, membre à part entière de l’équipe d’école. Vous êtes responsable de votre formation ; vos demandes sont essentielles dans ce processus. Néanmoins, le formateur n’oublie pas que vous entrez dans le métier. * La relation avec le formateur Un cadre clair et explicite est défini d’emblée. Lors du premier contact, le formateur vous indique quel est son rôle. Vous êtes en droit de savoir qui est à l’origine de cette rencontre, laquelle peut faire suite à votre propre demande... Vous êtes alors en mesure d’exprimer vos besoins, vos attentes... Un projet de formation peut se contractualiser : o les buts o les méthodes : entretiens, rencontres, visites... o les dispositifs de communication o les problématiques à aborder et les priorités à dégager o l’échéancier. - Le code de déontologie et de civilité auquel l’un et l’autre se réfèrent. Il engage le formateur et vous-même. Le formateur garantit la confidentialité. Dans le cadre de la loi, il est à votre écoute. Dans ce cadre, vous pouvez exprimer votre ressenti, vos difficultés et formuler toutes les questions sans en exclure aucune. Le formateur doit être en mesure de vous dire s’il n’a pas les réponses, s’il les diffère, ou s’il les construit avec vous. De votre côté, vous vous engagez à entreprendre les recherches nécessaires. Le formateur peut s’inscrire dans une relation d’aide : quelles que soient les circonstan-ces, vous pouvez faire appel à lui, sans craindre de jugement a priori. Le formateur et vous-même vous engagez à vous respecter mutuellement. - Les missions et les rôles du formateur. Le formateur a pour mission de vous accompagner dans votre professionnalisation, dans les domaines pédagogiques, relationnel, organisationnel, institutionnel. Ses différents rôles sont : o vous écouter o exprimer les problématiques o conduire ensemble des analyses o aider à analyser l’organisation de l’école et du système, vous aider à vous situer dans l’école o rechercher ensemble des solutions o vous informer. Le formateur et vous-même êtes en position symétrique : deux professionnels travail-lant en confiance qui se reconnaissent mutuellement des compétences, adoptent un mode de communication non-hiérarchique et définissant ensemble les modalités et leurs rencontres - Les diverses ressources mobilisées pour vous accompagner. o les propres champs de compétence du formateur o le réseau de personnes-ressources o le directeur et les collègues de l’école o d’autres équipes d’école o d’autres néo-titulaires o d’autres formateurs (CPC, IEN, IMF, PIUFM etc...) o les lieux de ressources (CDDP, CRDP, IUFM, bibliothèque de circonscription etc...) o les références bibliographiques o les sites ou plate-forme "ressources" existants ou à développer selon les besoins o la liste de diffusion dont le but est de favoriser les échanges transversaux o le courrier électronique qui permet de poursuivre une communication directe "sy-métrique" o la rencontre o le groupe d’approfondissement o les personnes-ressources dont dispose l’administration (par exemple services so-ciaux et médicaux des inspections académiques et des rectorats, responsables des ressources humaines)
yukon Posté(e) 8 juin 2006 Posté(e) 8 juin 2006 Je rajoute :Une circulaire ministérielle (27/07/2001 B.O. n°32) invite à mettre en place "l’accompagnement de l’entrée dans le métier". Un groupe de travail (des CPC, des IEN, des DEA, des PIUFM) s’est réuni en 2002 pour se former à une approche de l’accompagnement qui soit une alternative aux pratiques traditionnelles de la visite et du comblement des manques. Ce travail fondé sur la discussion a été d’abord un moment de formation de formateurs et a débouché sur la rédaction d’une charte de l’accompagnement des enseignants débutants. Charte de l’accompagnement à l’entrée dans le métier Votre place, votre relation avec le formateur. * Votre place Le formateur vous reconnaît comme un professeur, un enseignant, responsable d’une classe ou d’un groupe d’élèves, membre à part entière de l’équipe d’école. Vous êtes responsable de votre formation ; vos demandes sont essentielles dans ce processus. Comme on ne te le dit pas souvent :P MERCI Néanmoins, le formateur n’oublie pas que vous entrez dans le métier. * La relation avec le formateur Un cadre clair et explicite est défini d’emblée. Lors du premier contact, le formateur vous indique quel est son rôle. Vous êtes en droit de savoir qui est à l’origine de cette rencontre, laquelle peut faire suite à votre propre demande... Vous êtes alors en mesure d’exprimer vos besoins, vos attentes... Un projet de formation peut se contractualiser : o les buts o les méthodes : entretiens, rencontres, visites... o les dispositifs de communication o les problématiques à aborder et les priorités à dégager o l’échéancier. - Le code de déontologie et de civilité auquel l’un et l’autre se réfèrent. Il engage le formateur et vous-même. Le formateur garantit la confidentialité. Dans le cadre de la loi, il est à votre écoute. Dans ce cadre, vous pouvez exprimer votre ressenti, vos difficultés et formuler toutes les questions sans en exclure aucune. Le formateur doit être en mesure de vous dire s’il n’a pas les réponses, s’il les diffère, ou s’il les construit avec vous. De votre côté, vous vous engagez à entreprendre les recherches nécessaires. Le formateur peut s’inscrire dans une relation d’aide : quelles que soient les circonstan-ces, vous pouvez faire appel à lui, sans craindre de jugement a priori. Le formateur et vous-même vous engagez à vous respecter mutuellement. - Les missions et les rôles du formateur. Le formateur a pour mission de vous accompagner dans votre professionnalisation, dans les domaines pédagogiques, relationnel, organisationnel, institutionnel. Ses différents rôles sont : o vous écouter o exprimer les problématiques o conduire ensemble des analyses o aider à analyser l’organisation de l’école et du système, vous aider à vous situer dans l’école o rechercher ensemble des solutions o vous informer. Le formateur et vous-même êtes en position symétrique : deux professionnels travail-lant en confiance qui se reconnaissent mutuellement des compétences, adoptent un mode de communication non-hiérarchique et définissant ensemble les modalités et leurs rencontres - Les diverses ressources mobilisées pour vous accompagner. o les propres champs de compétence du formateur o le réseau de personnes-ressources o le directeur et les collègues de l’école o d’autres équipes d’école o d’autres néo-titulaires o d’autres formateurs (CPC, IEN, IMF, PIUFM etc...) o les lieux de ressources (CDDP, CRDP, IUFM, bibliothèque de circonscription etc...) o les références bibliographiques o les sites ou plate-forme "ressources" existants ou à développer selon les besoins o la liste de diffusion dont le but est de favoriser les échanges transversaux o le courrier électronique qui permet de poursuivre une communication directe "sy-métrique" o la rencontre o le groupe d’approfondissement o les personnes-ressources dont dispose l’administration (par exemple services so-ciaux et médicaux des inspections académiques et des rectorats, responsables des ressources humaines)
yukon Posté(e) 8 juin 2006 Posté(e) 8 juin 2006 Je rajoute : Une circulaire ministérielle (27/07/2001 B.O. n°32) invite à mettre en place "l’accompagnement de l’entrée dans le métier". Un groupe de travail (des CPC, des IEN, des DEA, des PIUFM) s’est réuni en 2002 pour se former à une approche de l’accompagnement qui soit une alternative aux pratiques traditionnelles de la visite et du comblement des manques. Ce travail fondé sur la discussion a été d’abord un moment de formation de formateurs et a débouché sur la rédaction d’une charte de l’accompagnement des enseignants débutants. Charte de l’accompagnement à l’entrée dans le métier Votre place, votre relation avec le formateur. * Votre place Le formateur vous reconnaît comme un professeur, un enseignant, responsable d’une classe ou d’un groupe d’élèves, membre à part entière de l’équipe d’école. Vous êtes responsable de votre formation ; vos demandes sont essentielles dans ce processus. Néanmoins, le formateur n’oublie pas que vous entrez dans le métier. * La relation avec le formateur Un cadre clair et explicite est défini d’emblée. Lors du premier contact, le formateur vous indique quel est son rôle. Vous êtes en droit de savoir qui est à l’origine de cette rencontre, laquelle peut faire suite à votre propre demande... Vous êtes alors en mesure d’exprimer vos besoins, vos attentes... Un projet de formation peut se contractualiser : o les buts o les méthodes : entretiens, rencontres, visites... o les dispositifs de communication o les problématiques à aborder et les priorités à dégager o l’échéancier. - Le code de déontologie et de civilité auquel l’un et l’autre se réfèrent. Il engage le formateur et vous-même. Le formateur garantit la confidentialité. Dans le cadre de la loi, il est à votre écoute. Dans ce cadre, vous pouvez exprimer votre ressenti, vos difficultés et formuler toutes les questions sans en exclure aucune. Le formateur doit être en mesure de vous dire s’il n’a pas les réponses, s’il les diffère, ou s’il les construit avec vous. De votre côté, vous vous engagez à entreprendre les recherches nécessaires. Le formateur peut s’inscrire dans une relation d’aide : quelles que soient les circonstan-ces, vous pouvez faire appel à lui, sans craindre de jugement a priori. Le formateur et vous-même vous engagez à vous respecter mutuellement. - Les missions et les rôles du formateur. Le formateur a pour mission de vous accompagner dans votre professionnalisation, dans les domaines pédagogiques, relationnel, organisationnel, institutionnel. Ses différents rôles sont : o vous écouter o exprimer les problématiques o conduire ensemble des analyses o aider à analyser l’organisation de l’école et du système, vous aider à vous situer dans l’école o rechercher ensemble des solutions o vous informer. Le formateur et vous-même êtes en position symétrique : deux professionnels travail-lant en confiance qui se reconnaissent mutuellement des compétences, adoptent un mode de communication non-hiérarchique et définissant ensemble les modalités et leurs rencontres - Les diverses ressources mobilisées pour vous accompagner. o les propres champs de compétence du formateur o le réseau de personnes-ressources o le directeur et les collègues de l’école o d’autres équipes d’école o d’autres néo-titulaires o d’autres formateurs (CPC, IEN, IMF, PIUFM etc...) o les lieux de ressources (CDDP, CRDP, IUFM, bibliothèque de circonscription etc...) o les références bibliographiques o les sites ou plate-forme "ressources" existants ou à développer selon les besoins o la liste de diffusion dont le but est de favoriser les échanges transversaux o le courrier électronique qui permet de poursuivre une communication directe "sy-métrique" o la rencontre o le groupe d’approfondissement o les personnes-ressources dont dispose l’administration (par exemple services so-ciaux et médicaux des inspections académiques et des rectorats, responsables des ressources humaines) Comme on ne te le dit pas souvent :P MERCI
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