Willow59 Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Tout d'abord, je suis prof des écoles,T3, actuellement ZIL dans le Nordet j'ai obtenu un poste fixe au mvt (mon 2è voeu), à Aubry-du-Hainaut, à 5 min de chez moi, pour la rentrée prochaine. La maire d'Aubry, que je dois rencontrer mercredi, pour lui demander de scolariser mon fils dans ma future école, selon la directrice, refuserait de le faire au motif que les parents des enfants nés en 2004 font des histoires car ceux-ci (=qui auraient été TPS) ne seront pas admis à l'école par manque de place (petite école de village de 5 classes en tout) alors que d'autres enfants plus agés d'autres communes l'ont été par le passé et sont encore dans l'école dans diverses classes. Je tiens à préciser que mon fils est né en 1999, qu'il entrera donc au CE1, dans la classe de la directrice qui accepte de le prendre (c'est du moins ce qu'elle prétend mais comme elle est assez tyrannique et que je ne m'en laisse pas conter, elle pourrait très bien jouer double jeu...). Donc, il ne "vole" pas une place d'un TPS, puisqu'il n'est pas dans la même tranche d'âge! Je ne peux accepter sa décision car j'ai demandé un poste fixe précisément parce que mon fils faisait des longues journées (garderie-cantine-garderie), qu'on passait trop de temps sur la route et qu'on ne se voyait plus beaucoup, puisqu'en enseignante consciencieuse et débutante (T3 et zil, c'est encore le début, quand on change tt le tps de niveau), je passe bcp de mon temps perso en travail professionnel (préparations). Alors, voilà, ayant essayé de joindre ce soir mon syndicat sans succès par téléphone, je m'adresse à vous car une collègue m'a dit qu'il y avait un texte (loi?) qui disait que les enseignants étant nommés dans une école, même s'ils habitaient une autre ville, étaient considérés comme résidents de la ville de leur école, ce qui leur permettait d'y faire scolariser leurs enfants. D'autre part, il me semble que l'admission des tout-petits n'est désormais plus obligatoire; existe-t-il aussi un décret, une loi, circulaire qui le précise? Merci d'avance de m'avoir lue... J'espère vraiment que ces textes existent. J'ai besoin de votre aide et c'est urgent. Willow59 en détresse PS: si vous avez vécu une expérience similaire, comment avez-vous fait pour résoudre le problème?
Willow59 Posté(e) 12 juin 2006 Auteur Posté(e) 12 juin 2006 Tout d'abord, je suis prof des écoles,T3, actuellement ZIL dans le Nordet j'ai obtenu un poste fixe au mvt (mon 2è voeu), à Aubry-du-Hainaut, à 5 min de chez moi, pour la rentrée prochaine.La maire d'Aubry, que je dois rencontrer mercredi, pour lui demander de scolariser mon fils dans ma future école, selon la directrice, refuserait de le faire au motif que les parents des enfants nés en 2004 font des histoires car ceux-ci (=qui auraient été TPS) ne seront pas admis à l'école par manque de place (petite école de village de 5 classes en tout) alors que d'autres enfants plus agés d'autres communes l'ont été par le passé et sont encore dans l'école dans diverses classes. Je tiens à préciser que mon fils est né en 1999, qu'il entrera donc au CE1, dans la classe de la directrice qui accepte de le prendre (c'est du moins ce qu'elle prétend mais comme elle est assez tyrannique et que je ne m'en laisse pas conter, elle pourrait très bien jouer double jeu...). Donc, il ne "vole" pas une place d'un TPS, puisqu'il n'est pas dans la même tranche d'âge! Je ne peux accepter sa décision car j'ai demandé un poste fixe précisément parce que mon fils faisait des longues journées (garderie-cantine-garderie), qu'on passait trop de temps sur la route et qu'on ne se voyait plus beaucoup, puisqu'en enseignante consciencieuse et débutante (T3 et zil, c'est encore le début, quand on change tt le tps de niveau), je passe bcp de mon temps perso en travail professionnel (préparations). Alors, voilà, ayant essayé de joindre ce soir mon syndicat sans succès par téléphone, je m'adresse à vous car une collègue m'a dit qu'il y avait un texte (loi?) qui disait que les enseignants étant nommés dans une école, même s'ils habitaient une autre ville, étaient considérés comme résidents de la ville de leur école, ce qui leur permettait d'y faire scolariser leurs enfants. D'autre part, il me semble que l'admission des tout-petits n'est désormais plus obligatoire; existe-t-il aussi un décret, une loi, circulaire qui le précise? Merci d'avance de m'avoir lue... J'espère vraiment que ces textes existent. J'ai besoin de votre aide et c'est urgent. Willow59 en détresse PS: si vous avez vécu une expérience similaire, comment avez-vous fait pour résoudre le problème? Up, je fais remonter Vous regardez tous Desperate housewives?
Savignard71 Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Je ne sais pas s'il existe des textes pour donner ce droit aux enseignants . Je crois plutôt que c'est une tolérance de la part des municipalités ou des directeurs . Je ne sais pas ce que tu peux faire si le maire refuse .... Syndicats ? Au moins pour un conseil ...
amalex Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Tout d'abord, je suis prof des écoles,T3, actuellement ZIL dans le Nordet j'ai obtenu un poste fixe au mvt (mon 2è voeu), à Aubry-du-Hainaut, à 5 min de chez moi, pour la rentrée prochaine. La maire d'Aubry, que je dois rencontrer mercredi, pour lui demander de scolariser mon fils dans ma future école, selon la directrice, refuserait de le faire au motif que les parents des enfants nés en 2004 font des histoires car ceux-ci (=qui auraient été TPS) ne seront pas admis à l'école par manque de place (petite école de village de 5 classes en tout) alors que d'autres enfants plus agés d'autres communes l'ont été par le passé et sont encore dans l'école dans diverses classes. Je tiens à préciser que mon fils est né en 1999, qu'il entrera donc au CE1, dans la classe de la directrice qui accepte de le prendre (c'est du moins ce qu'elle prétend mais comme elle est assez tyrannique et que je ne m'en laisse pas conter, elle pourrait très bien jouer double jeu...). Donc, il ne "vole" pas une place d'un TPS, puisqu'il n'est pas dans la même tranche d'âge! Je ne peux accepter sa décision car j'ai demandé un poste fixe précisément parce que mon fils faisait des longues journées (garderie-cantine-garderie), qu'on passait trop de temps sur la route et qu'on ne se voyait plus beaucoup, puisqu'en enseignante consciencieuse et débutante (T3 et zil, c'est encore le début, quand on change tt le tps de niveau), je passe bcp de mon temps perso en travail professionnel (préparations). Alors, voilà, ayant essayé de joindre ce soir mon syndicat sans succès par téléphone, je m'adresse à vous car une collègue m'a dit qu'il y avait un texte (loi?) qui disait que les enseignants étant nommés dans une école, même s'ils habitaient une autre ville, étaient considérés comme résidents de la ville de leur école, ce qui leur permettait d'y faire scolariser leurs enfants. D'autre part, il me semble que l'admission des tout-petits n'est désormais plus obligatoire; existe-t-il aussi un décret, une loi, circulaire qui le précise? Merci d'avance de m'avoir lue... J'espère vraiment que ces textes existent. J'ai besoin de votre aide et c'est urgent. Willow59 en détresse PS: si vous avez vécu une expérience similaire, comment avez-vous fait pour résoudre le problème? Up, je fais remonter Vous regardez tous Desperate housewives? Non, mon homme regarde la coupe du monde...
cat99 Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Même chose pour moi, je scolarise ma fille dans mon école ( pas celle du village) et la directrice ne m'a rien demandé: tous les enfants des instist sotn dans l'école même si on habite pas là et le maire n'a jamais rien demandé. La directrice m'a dit que c'était un droit mais je n'ai pas de textes.
giga Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Malheureusement, je ne pense pas qu'il existe ce texte ... Il y a d'ailleurs eu plusieurs post sur ce sujet ... C'est au bon vouloir du maire de la commune d'accueil... Tu peux peut être faire jouer la "balance": la mairie accepte ton fils et en échange un enfant de ce village ira dans le tien (évidemment, il faut que ça l'arrange ... ) Sinon, ce que tu peux demander à la directrice c'est si elle accepterait de prendre ton fils en surnombre, c'est à dire en ne le comptant pas dans les effectifs de l'école...
lireli Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Extrait de Dirlo.net " Depuis la rentrée 89, les parents peuvent demander que leurs enfants soient scolarisés dans une autre commune dans trois cas: - raisons professionnelles : les parents travaillent tous les deux et la commune de résidence n'assure pas de cantine ou de garderie; - raisons médicales (au titre du décret N° 59-310 du 14 février 59); - raisons de fratrie: un frère ou une soeur est déjà scolarisé dans cette commune. Dans ces cas, la commune de résidence doit aussi participer aux charges scolaires. Une dérogation est encore possible avec l'accord des deux maires concernés (et, en général, des deux directeurs d'école) pour d'autres cas. Quelles que soient les raisons de l'accueil d'un enfant dans une commune autre que celle de sa résidence, l'accord donné est valable jusqu'à la fin de la scolarité maternelle ou élémentaire.
Willow59 Posté(e) 12 juin 2006 Auteur Posté(e) 12 juin 2006 Même chose pour moi, je scolarise ma fille dans mon école ( pas celle du village) et la directrice ne m'a rien demandé: tous les enfants des instist sotn dans l'école même si on habite pas là et le maire n'a jamais rien demandé. La directrice m'a dit que c'était un droit mais je n'ai pas de textes. Pourrais-tu, s'il te plaît, demander à ta directrice la référence du texte de droit demain? La directrice de ma future école, j'ai l'impression, joue double-jeu: elle prétend qu'elle est d'accord pour le prendre dans sa classe, si la maire est d'accord, mais la collègue que je remplacerai (elle prend sa retraite) pense que qd elle en a parlé au maire, elle a annoncé le contraire et que c'est à cause de la dirlo que la maire a dit non (selon cette même collègue, la maire ne serait pas qqn de méchant, elle aurait l'esprit de famille, s'occupe de sa petite fille qui va ds l'école...). D'autre part, Lireli, je te remercie pour le renseignement, mais il ne concerne pas directement les enseignants. J'espère une prompte réponse des syndicats à ce sujet. En plus, l'école scolarisant déjà des enfants d'autres communes, l'argument présenté est-il recevable? Je vais travailler dans cette commune, mon mari cherche du boulot, il existe bien une garderie et une cantine dans l'actuelle commune d'accueil de mon fils (qui n'est pas notre ville car pour des raisons de commodité, mon mari bossant en poste à l'époque et moi zil, on l'avait fait scolariser sur Hasnon, à 15 km d'ici, car ma belle-mère le gardait en périscolaire à l'époque et que même si ce ne fut plus le cas l'année suivante, pour éviter de le perturber, on l'avait laissé sur Hasnon. Maintenant, l'école de notre quartier assure des horaires périscolaires trop limités par rapport à mon boulot, et je ne sais pas s'il y a cantine, sans parler qu'elle est mal famée (désolée pour le mauvais exemple mais qd il s'agit de son gamin, on veut du correct, pas des gros mots, des habits déchirés, un niveau au ras des pâquerette (j'ai rencontré un enseignant de cette école pas débutant et au bout du rouleau car enfants ingérables))... Bref, j'aimerais pouvoir concilier boulot et vie familiale sans léser l'un ou l'autre. Je suis consciencieuse et en général, je ne compte pas mes heures, mais là, je l'ai mauvaise devant tant d'injustice... Mon mari qui, à bac+6, ne trouve pas de taf, moi qui vais perdre mes indemnités de zil (mais qui finalement, vu l'économie faite sur la cantine, la garderie de Valentin, et l'essence, que nos vieilles bagnoles seraient épargnées, ce serait kif-kif...), une directrice qui fait plein de sales coups dans le dos des collègues (appelle l'inspection pour se plaindre d'un remplaçant qui assure parce qu'il ne dit pas amen et fait preuve d'humour, rappelle pour empêcher une remplaçante d'obtenir un plein temps(2 mi temps en fait) dans l'école au 2è mouvement car elle peut pas la blairer...). Bref, elle veut décider pour les autres (je l'ai encore vu récemment en conseil) et ceux qui ne plient pas ou ne lui plaisent pas, elle les casse par derrière. M'enfin, je vais voir avec la maire, histoire de m'assurer qu'elle est au courant que la directrice était d'accord pour prendre Valentin dans sa classe, sinon, je l'informerai des manipulations de la directrice et des problèmes qu'elle crée au sein de l'école (personne ne l'aime alors qu'elle se croit "bien intégrée"!!!). J'en ai marre des soucis, marre de perdre mon temps et du temps de sommeil (je suis épileptique et le stress et le manque de sommeil est le facteur déclenchant de mes crises) à cause de gens égoïstes et mesquins.
Juliet23 Posté(e) 12 juin 2006 Posté(e) 12 juin 2006 Non ce n'est plus vrai depuis plusieurs années ! C'est à la bonne volonté de la mairie où est ton école... Désolée
cat99 Posté(e) 13 juin 2006 Posté(e) 13 juin 2006 Bonjour, je ne epux pas te donner plus d'info , la directrice est en classe de découverte juqu'à vendredi soir ! cat1
Maïs Posté(e) 13 juin 2006 Posté(e) 13 juin 2006 Sinon, ce que tu peux demander à la directrice c'est si elle accepterait de prendre ton fils en surnombre, c'est à dire en ne le comptant pas dans les effectifs de l'école... ça, c'est illégal
Namas Posté(e) 13 juin 2006 Posté(e) 13 juin 2006 Malheureusement pour toi, je pense que les enseignants n'ont pas plus de droit que les autres parents. Un employé qui travaille à côté de ton école n'aura pas le droit de scolariser son enfant dans ton école, pour les raisons que tu as exposées, par refus du maire. Pour quelle raison le maire accepterait-il pour toi ? C'est vrai que c'est désolant pour toi, que c'est ridicule s'il y a de la place, mais le maire respecte peut-être une ligne de conduite qu'il s'est fixée et que nul ne pourra contrecarrer.
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant