Héloïse44 Posté(e) 1 octobre 2006 Posté(e) 1 octobre 2006 Au fait, l'homéopathie est soumise aux mêmes règles? Ce sont aussi des médocs, alors il me semble que oui... Après, chacun est libre d'appliquer les textes ou non, à ses risques et périls...
balouchon Posté(e) 1 octobre 2006 Posté(e) 1 octobre 2006 faisant fonction de directrice cette année, j'ai eu une "petite formation" avec IEN, C. peda et medecin scolaire, leur discourpar rapport aux medocx a ete: - on peut donner des medoc uniquement sur ordonnance et avec autorisation parentale -les medocs doivent etre mis en securite dans la pharmacie avec le nom de l'enfant (pas dans le sac) - la ventoline peut etre donner en cas de doute je cite" il vaut mieux en donner à un enfant qui n'en a pas besoin plutot que la refuser à un enfant en crise"
dada Posté(e) 1 octobre 2006 Posté(e) 1 octobre 2006 faisant fonction de directrice cette année, j'ai eu une "petite formation" avec IEN, C. peda et medecin scolaire, leur discourpar rapport aux medocx a ete:- on peut donner des medoc uniquement sur ordonnance et avec autorisation parentale -les medocs doivent etre mis en securite dans la pharmacie avec le nom de l'enfant (pas dans le sac) - la ventoline peut etre donner en cas de doute je cite" il vaut mieux en donner à un enfant qui n'en a pas besoin plutot que la refuser à un enfant en crise" Ils sont simpas tes ien , conseiller péda et autres médecins, en cas de pb , c'est toi qui aura les emm..... pas eux... Tu peux trouver ici un texte de référence cliquer sur M comme médicaments
Moustache Posté(e) 1 octobre 2006 Posté(e) 1 octobre 2006 Les textes officiels : Le BO qui fait référence : http://www.education.gouv.fr/bo/2003/34/MENE0300417C.htm il ne s'applique qu'à l'" Accueil en collectivité des enfants et des adolescents atteints de troubles de la santé évoluant sur une longue période " et non aux grippes, rhumes, et autres varicelles... il s'appuie sur cette circulaire : CIRCULAIRE n°92-174 du 29 juin 1992 OBJET : Accueil des enfants porteurs du virus de l'immunodéficience humaine (V.I.H.) dans les établissements d'enseignement publics et privés sous contrat des premier et second degrés. La prise de médicamentsCertains enfants atteints de maladies chroniques, comme certains enfants porteurs du VIH doivent prendre des médicaments de façon régulière et prolongée. Ces traitements nécessitent parfois des prises orales quotidiennes, dont au moins une pendant le temps de présence des élèves à l'Ecole, Les parents sont donc amenés à solliciter, dans certains cas, l'aide de l'enseignant, Il paraît souhaitable que pour ces enfants l'Ecole apporte son concours aux parents pour l'exécution des ordonnances médicales prescrivant un traitement par voie orale. C'est dans un climat d'échange et de confiance que les enseignants peuvent eux-mêmes donner, lorsque les familles le demandent et sur prescription de leur médecin, des médicaments à ces enfants en cours de traitement. S'agissant des problèmes de responsabilité qui peuvent se poser dans ce domaine, l'enseignant bénéficierai en l'espèce, et sous réserve de l'appréciation souveraine des tribunaux, du régime particulier de substitution de responsabilité prévu par l'article 2 de la loi du 5 avril 1937 qui dispose que "dans tous les cas où la responsabilité des membres de l'enseignement public est engagée à la suite ou à l'occasion d'un fait dommageable commis, soit par les enfants ou jeunes gens qui leur sont confiés en raison de leurs fonctions, soit à ces enfants ou jeunes gens dans les mêmes conditions, la responsabilité de l'État sera substituée à celle des dits membres de l'enseignement qui ne pourront jamais être mis en cause devant les tribunaux civils par la victime ou ses représentants". Pour les établissements privés sous contrat, ce régime de substitution de responsabilité est applicable aux maîtres contractuels qui exercent dans les établissements privés sous contrat d'association conformément à l'article 10 du décret modifié n° 60-389 du 22 avril 1960. Dans les écoles maternelles et élémentaires, les parents mettront à la disposition du directeur ou du maître le médicament, accompagné d'une copie de l'ordonnance médicale en cours de validité ainsi que leur demande écrite. De plus, l'enseignant aura soin de mettre les produits pharmaceutiques en lieu sûr. II n'est pas possible, en effet, que l'enfant en dispose lui-même. Dans les établissements du second degré, dans lesquels une présence continue de l'infirmière n'est pas assurée, ces dispositions seront appliquées dans les mêmes conditions que celles indiquées pour le premier degré. Un membre de l'équipe éducative (le chef d'établissement, son adjoint, le conseiller d'éducation, le professeur principal...) pourra alors apporter son aide aux parents en veillant auprès de l'enfant ou de l'adolescent à la bonne application du traitement médical.' Dans les autres établissements du second degré, c'est à l'infirmière qu'incombe la responsabilité d'administrer les soins et les traitements prescrits par le médecin de famille qui suit habituellement l'enfant et d'assurer la garde et l'utilisation des produits pharmaceutiques, l'infirmière veillera également au respect attentif des mesures d'hygiène. La collaboration du médecin de l'éducation nationale et, le cas échant, du médecin du service de protection maternelle et infantile, pour ce qui concerne les enfants de moins de 6 ans, sera sollicitée. Leur intervention devrait permettre de résoudre un certain nombre de problèmes, en particulier dans le cadré de l'application à l'Ecole des traitements médicaux prescrits aux enfants. Les services de promotion de la santé en faveur des élèves ont en effet pour mission d'apporter soutien et assistance technique aux directeurs d'école, chefs d'établissement et enseignants dans la mise en œuvre des dispositions qu'ils seront amenés à prendre en vue de faciliter l'accueil à l'Ecole des enfants porteurs du virus du Sida, au même titre que les enfants atteints de maladie chronique. D'une manière générale, le médecin et l'infirmière de l'éducation nationale s'emploieront à développer de programmes d'information, de formation et de prévention auxquels seront associés l'ensemble des membres de la communauté éducative, Le Ministre d'Etat, Ministre de l'Education Nationale et de la Culture Jack LANG Autre Bo de référence : http://www.education.gouv.fr/bo/2000/hs1/som.htm ( ORGANISATION DES SOINS ET DES URGENCES )
doubleR Posté(e) 2 octobre 2006 Posté(e) 2 octobre 2006 En plus, la directrice en a rajouté, quand j'ai demandé la dose, en disant que je n'avais pas d'enfant, donc je ne connaissais pas les doses.....et m'a dit d'en donner 3... LA maman a insisté en me disant d'en donner une seule.... elle n'avait plus l'air rassurée à la fin Ici non plus, pas de médicament à l'école. Par contre, je ne comprends pas le coup de la dose, ce n'était pas écrit sur l'ordonnance ?
dhaiphi Posté(e) 2 octobre 2006 Posté(e) 2 octobre 2006 Au fait, l'homéopathie est soumise aux mêmes règles? De toutes façons, les sucreries, c'est mauvais pour les dents. :P
Titi77 Posté(e) 2 octobre 2006 Posté(e) 2 octobre 2006 Trouvé sur le site de la MAE, je crois: PRISE DE MÉDICAMENTS DANS LE TEMPS SCOLAIRE Mise à jour au 01/04/2006 De manière générale : L'enseignant n'a pas à donner de médicaments sauf à : Un élève ayant un traitement médicamenteux à prendre à l'école et dont l'état de santé lui permet de la fréquenter (traitement par voie orale ou inhalé uniquement). Un élève relevant d'un Projet d'Accueil individualisé. Que faut-il faire ? Demander à la famille une photocopie de l'ordonnance et une autorisation écrite et signée des parents. Placer les médicaments dans un local ou une armoire fermée à clé sous la responsabilité d'un adulte. En ce qui concerne les enfants atteints d'ASTHME ayant besoin de conserver sur eux un SPRAY à utiliser lors de la survenue d'une crise, il faut là encore exiger une photocopie de l'ordonnance et une autorisation signée des parents. Références règlementaires : Médecine : En cas de doute ou de difficultés ne jamais hésiter à prendre conseil auprès du médecin scolaire ou de l'infirmière de l'Education nationale. Législation : Circulaire n°92-194 du 29 juin 1992 Elle précise les dispositions concernant la prise de médicaments pendant le temps de présence de l'élève à l'école. Elle a pour objectif de faciliter la vie quotidienne à l'école des enfants confrontés à la maladie . Loi du 5 avril 1937 Dans son article II la loi 1937 rappelle : « Dans tous les cas où la responsabilité des membres de l'enseignement public est engagée à la suite ou à l'occasion d'un fait dommageable commis, soit par les enfants ou jeunes gens qui leur sont confiés en raison de leurs fonctions, soit à ces enfants ou jeunes gens dans les mêmes conditions, la responsabilité de l'Etat sera substituée à celle des dits membres de l'enseignement qui ne pourront jamais être mis en cause devant les tribunaux civils par la victime ou ses représentants.» Circulaire n° 93-248 du 22 juillet 1993 Accueil des enfants et adolescents atteints de troubles de la santé évoluant sur une longue période dans les établissements d'enseignement publics et privés sous contrat des premiers et seconds degrés.
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