valentin Posté(e) 28 juin 2006 Posté(e) 28 juin 2006 Hello, Je voulais savoir ce que signifiait et regroupait exactement ce terme de conduites motrices , j'en ai bien une petite idée mais je conclus mon exposé sur ça donc si ils m'interrogent dessus, il faut vraiment que je maitrise! Merci de votre aide (je passe demain et 1500 ttaleur!)
flo59160 Posté(e) 28 juin 2006 Posté(e) 28 juin 2006 sur internet j'ai trouvé ca mais j'ai pas tout compris lol Dans les écrits de Parlebas, on trouve cette idée de totalité incarnée dans le concept de conduite motrice. La conduite motrice est définie par l’auteur comme l’organisation signifiante du comportement moteur, « la conduite motrice est le comportement moteur en tant qu’il est porteur de signification » (Parlebas P., 1981 : 27). La conduite motrice devient alors porteuse d’un sens et implique la personne dans sa totalité : « à la synthèse de l’action signifiante ou, si l’on préfère, de la signification agie » (idem). Cette double perspective conjugue, comme le dit l’auteur, le point de vue de l’observation extérieure et le point de vue de la signification intérieure qui renferme le vécu corporel : perception, image mentale, anticipation, émotion… L’Homme est englobé dans son ensemble à travers la prise en compte de l’immédiateté de l’action motrice reliée à son histoire personnelle (le vécu) mais aussi par la diversité des éléments impliqués dans cette action immédiate : cognitifs, affectifs, relationnels, ou sémioteurs… Nous avons déjà défini le concept de conduite motrice (Collinet C., 2000) en le rapprochant de la définition de l’hologramme d’Edgar Morin avancée pour étayer son idée de la nécessité de la prise en compte de la complexité de la réalité et de l’affirmation de l’inséparabilité des éléments. L’hologramme est constitué de fragments constituants d’une totalité qui contient en elle cette totalité. Dans le Dossier EPS n°4, Pierre Parlebas intitule un article « L’éducation des conduites motrices de décision » ; il dit que dans chaque action motrice toute la personnalité est intensément sollicitée dans la pratique sportive, les facteurs passionnels entremêlés aux facteurs rationnels (1990, 3e éd. (1969) : 80). L’enjeu n’est pas de juxtaposer les dimensions évoquées mais de souligner leur inter-relation étroite. Ainsi, « la perception n’est pas une structure cognitive qui répond en écho à un état affectif parallèle et distinct ; la perception est déjà affective de même que l’affectivité est déjà perception », (Parlebas P., L’affectivité clef des conduites motrices, Dossier EPS n°4, 1990, 3e éd. (1969) : 71). L’analyse des relations entre motricité et intelligence étudiées à l’aune des données piagetiennes reste fidèle à cette volonté de totalité en soulignant que l’intelligence psycho-motrice est indiscutablement une intelligence motricisée mais aussi une intelligence motricisante permettant ainsi d’affirmer que « la représentation et l’action ne font plus qu’un dans l’unité de la conduite motrice » (Parlebas P., 1981 : 97-98). La notion de conduite motrice renvoie donc bien à la notion de totalité. Elle résume la complexité des mouvements et leurs liaisons avec des facteurs multiples (psychologiques…). Elle permet d’affirmer non la juxtaposition de ces facteurs mais leur interpénétration. On sent tout de suite les difficultés et « l’effrayante complexité » (Ulmann J., 1982 : 425) de l’analyse qu’elle implique et le danger d’un égarement dans les « méandres d’une poursuite de la causalité ultime » (ibidem : 420). Finalement l’analyse concrète des conduites motrices passe par deux voies :
flo59160 Posté(e) 28 juin 2006 Posté(e) 28 juin 2006 j'l"avais trouvé la : http://corpsetculture.revues.org/document704.html
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