romario33 Posté(e) 15 août 2006 Posté(e) 15 août 2006 Bonjour, à la rentrée dans mon effectif de MS, j'ai 5 enfants de MS qui n'ont pas été scolarisés en Petite section. La maîtresse titulaire les a vus pendant les journées d'adaptation. Elle m'a dit qu'au niveau langage ce n'était pas ça. Pensez-vous que je puisse mettre ses enfants avec les petits le matin pour leur permettre de s'adapter à l'école de manière plus souple, leur apprendre les techniques : collage, tenir un crayon, et l'aprés-midi je travaille avec eux à leur niveau. J'ai peur que si je les mets directement avec les MS, il ne vont pas se sentir capable. Que feriez-vous à ma place ? Romain
Moustache Posté(e) 15 août 2006 Posté(e) 15 août 2006 (...) Bon courage!Mon avis n'est que le mien. Et je le partage Sous réserve de difficultés autres, il y a quelques années, un enfant est arrivé directement en MS, très gros retard (handicap) nous avons préféré, en accord avec les parents le mettre en PS (afin d'éviter que le gamin soit en situation permanente d'échec) , ensuite, il a """suivi""" une MS, et a été orienté vers un IMP.
pralinenicoise Posté(e) 15 août 2006 Posté(e) 15 août 2006 Non,non surtout pas ! avec leurs camarades plus "dégourdis"-notamment sur le plan du langage-ils vont être tirés vers le haut. A toi de les répartir dans chaque groupe, de respecter leur temps d'attention moindre ,leur fatiguabilité et d'être plus tolérant .Redouble d'encouragement et de félicitations. Bon courage!Mon avis n'est que le mien. Entièrement d'accord. je les laisserai au sein de la classe et les répartirai avec les autres enfants plus dégourdis. A toi, ensuite de faire de la différenciation: pour un même objectif, varier les difficultés ou les quantités, etc. En tout cas ce n'est que mon humble avis.
entre2m Posté(e) 17 août 2006 Posté(e) 17 août 2006 Même chose que mes camarades. J'ai eu une élève dans cette situation, l'année dernière. Il est vrai qu'elle a eu un peu de mal à accepter les contraintes de la classe, de l'école, mais elle a progressé à son rythme, et avec l'aide du RASED, (petits ateliers avec la rééducatrice, une fois par semaine de janvier à mai, en gros), elle a gagné en confiance à investir auprès de ses copains de classe. Bilan très positif. Elle fera une GS à la rentrée, avec la perspective de bénéficier encore du soutien du RASED si nécessaire.
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