maridenadia Posté(e) 2 octobre 2006 Auteur Posté(e) 2 octobre 2006 oui, je trouve aussi, je n'ai pas fini car j'ai entamé un autre truc, mais cela ressemble plus à un témoignage.
astro52 Posté(e) 7 octobre 2006 Posté(e) 7 octobre 2006 A quoi bon lire un livre qui raconte ce qu'on vit au quotidien ? On le sait.
VirgR Posté(e) 7 octobre 2006 Posté(e) 7 octobre 2006 pfff, si j'aurais su, j'aurais écrit un livre aussi, moi qui a du mal à boucler mes fins de mois... oui, je sais je suis hors sujet... je suis déjà dehors!
maridenadia Posté(e) 9 octobre 2006 Auteur Posté(e) 9 octobre 2006 A quoi bon lire un livre qui raconte ce qu'on vit au quotidien ? On le sait. Qui le sait ?
Fanoue Posté(e) 11 octobre 2006 Posté(e) 11 octobre 2006 A quoi bon lire un livre qui raconte ce qu'on vit au quotidien ? On le sait. Qui le sait ? Je rejoins maridenadia Qui le sait ? Astro : A quoi bon écrire des témoignages sur des sujets qu'on connaît, hein ?
aistellh Posté(e) 17 octobre 2006 Posté(e) 17 octobre 2006 bégaudeau...j'ai bien ri, il a un style mais l'arrière goût est amère. Pourquoi? Il n'aime pas beaucoup ses élèves, au fond, je veux dire, il neporte pas sur eux un regard valorisant...il me donne l'impression de quelqu'un qui a un boulot de prof pour l'alimentaire et qui profite de son "temps libre" pour écrire. Je sais, c'est dur mais cette réflexion m'est venue bien après...en analysant le sentiment de malaise qui collait au livre.
cleo17fr Posté(e) 26 octobre 2006 Posté(e) 26 octobre 2006 A quoi bon lire un livre qui raconte ce qu'on vit au quotidien ? On le sait. Ca permet de se sentir moins seul et à ceux qui ne savent pas de savoir. Je n'ai pas eu l'impression qu'il n'aimait pas ses eleves !
clide Posté(e) 12 novembre 2006 Posté(e) 12 novembre 2006 bégaudeau...j'ai bien ri, il a un style mais l'arrière goût est amère. Pourquoi? Il n'aime pas beaucoup ses élèves, au fond, je veux dire, il neporte pas sur eux un regard valorisant...il me donne l'impression de quelqu'un qui a un boulot de prof pour l'alimentaire et qui profite de son "temps libre" pour écrire. Je sais, c'est dur mais cette réflexion m'est venue bien après...en analysant le sentiment de malaise qui collait au livre. Je suis d'accord avec toi ! Je n'ai pas senti que le prof leur voulait du bien. J'ai trouvé ses mots à leur encontre très dur ! J'ai même trouvé qu'il les menait en bateau... Certes, il a une classe / est dans un contexte difficile, mais jeme demande s'il cherche réellement à tout mettre en oeuvre pour y arriver, pour les intéresser... C'est facile de critiquer, surtout pour quelqu'un qui débute, mais je n'ai pas adhéré aux réponses qu'il proposait aux provocations des élèves.
Zephy Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 Extrait du livre :Après avoir obtenu une maîtrise de philosophie sur le thème très ésotérique de la «connaissance par accointance» et galéré avec des boulots à temps partiel, je n'étais pas plus avancé. J'avais beau me creuser la cervelle sur le théorème d'incomplétude de Gödel, le monde ne se portait pas mieux. Sans le sou ni le sens, j'étais dans l'impasse. Désemparé mais croyant, je me suis rappelé un passage de la Bible : «Demandez, on vous donnera ; frappez, on vous ouvrira. En effet, quiconque demande reçoit, qui cherche trouve, à qui frappe on ouvrira.» J'ai réalisé que je n'avais jamais demandé, sérieusement, pour de vrai. Je faisais des petites prières par-ci, par-là mais toujours en me culpabilisant. Je n'avais le droit de penser qu'aux autres et pas à moi (cette satanée pseudo-morale chrétienne...). Ne réussissant pas à trouver le sommeil, désespéré de ne pas imaginer de solution, j'ai tenté le coup et Lui ai adressé un SOS : «Mon Dieu, dis-moi ce que je dois faire et je le ferai.» Le lendemain, j'ouvris la Bible au hasard et je tombai sur ce passage : «Laissez les enfants venir à moi ; ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui sont comme eux. En vérité je vous le déclare, qui n'accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n'y entrera pas.» J'eus une illumination, un déclic : les enfants. Je venais de trouver ma voie : instit. Comme par hasard, la semaine suivante, je vis dans une salle du Quartier latin Être et avoir et ce qui n'était qu'un élan devint alors une certitude. Une chance qu'il ait démissionné rapidement... Pourquoi une chance qu'il ait démissionné? En lisant l'extrait je ne vois pas trop... Ca ne veut pas dire qu'il n'allait pas bien bosser avec les enfants.. ?
anzyla Posté(e) 1 décembre 2006 Posté(e) 1 décembre 2006 je l'ai lu et ce livre m'a super agacée!!!!!!!! <_< L'auteur critique tout, dès qu'une galère lui arrive, il s'en prend au système et démissione au bout de 3 ans! Il croyait quoi? que le métier d'instit c'était Gérard Klein ?? Et bien, non, nous faisons un métier difficile, semé d'embuche et de soucis, mais ô combien passionant, c'est ce qui nous fait persévérer..plus de trois ans!!! De toute façon, c'est le genre de type qui ne sera heureux nulle part et sans cesse dans la critique!!!! Bref si vous voulez faire des économies, ne l'achetez pas
Jonquille Posté(e) 7 décembre 2006 Posté(e) 7 décembre 2006 Je l'ai feuilleté un jour à la Fnac, je me suis dit c'est pas possible comment on fait pour éditer un torchon pareil. Je me suis dit aussi peut être que pour le critiquer correctement il fallait le lire en entier. Mais rien que c'est que j'ai lu, ça m'a énervé ! La mauvaise image qu'il a des zep, des élèves...j'ai trouvé ça plein de stéréotypes... Je comprends pas comment ce genre d'écrits peut être édité...
Eau ferrugineuse Posté(e) 7 décembre 2006 Posté(e) 7 décembre 2006 Bon ben moi aussi je l'ai lu. Je l'ai volontairement acheté d'occasion parce que j'étais curieuse mais que je n'avais pas envie d'aider à augmenter les ventes d'un bouquin pareil... Et finalement j'ai été plutôt agréablement surprise. Je n'étais pas d'accord avec tout ce qu'il disait mais j'ai trouvé certaines de ses réflexions intéressantes. Je trouve qu'il décrit assez bien le discours "moralisateur" et "anti-punition" donné à l'iUFM et qui du coup peut nous donner peur de faire de la discipline les pemières années. Enfin contrairement à Jonquille j'ai trouvé qu'il avait l'air de beaucoup aimer ses élèves (bien plus que Bégaudeau en effet) et d'apprécier les moments passés avec eux (même au départ il a pas mal d'à priori sur les gamins de ZEP). Bon ce bouquin n'a rien de transcendant mais au final je trouve qu'il n' a quand même rien d'un "torchon" qui prônerait à tout prix le retour à l'ancien temps. Disons que selon moi, pour un livre de cettte catégorie, il s'en sort pas mal
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