calinours Posté(e) 1 septembre 2006 Posté(e) 1 septembre 2006 Moi, je ne mets pas d'accent sur les majuscules en cursive. Nous ne parlions que des lettres en capitales d'imprimerie. Ben oui mais alors là on ne s'en sort plus !!! Les capitales ne sont-elles pas les majuscules scripts ? :P Moi, à ma grande honte, je m'aperçois ici que j'avais tout faux... Et personne ne me l'avait dit ??? Je ne mets pas d'accent sur les majuscules donc pas sur les capitales d'imprimerie ni les cédilles... Et tant pis pour... mon entreprise de MACONNERIE :P Si on s'en sort, mais faut s'entendre sur les termes évidemment, il y a confusion entre capitales et majuscules dans la mesure où l'on tient compte de la valeur grammaticale du terme "majuscule" (première lettre d'un nom propre), je ne parle de majuscule avec les GS que lorsqu'ils doivent mettre en capitale la première lettre du prénom en manipulant les lettrines scriptes ("les minuscules"). Je sais, je relance comme lillypause, c'est pas encore clair cette histoire, et maintenant on a les prépositions sur les bras...
mab Posté(e) 1 septembre 2006 Posté(e) 1 septembre 2006 Si vous écrivrez une phrase en capitales d'imprimerie qui commence par "à", vous mettez aussi un accent sur la majuscule ? Je me souviens encore de la semonce que j'avais reçue de ma maîtresse de CE1 parce que j'avais mis un accent sur un A majuscule (en cursive, sous le prétexte que "on ne met jamais d'accents sur les majuscules". Depuis, je n'en mets plus aucune!
EmmanuelP Posté(e) 1 septembre 2006 Posté(e) 1 septembre 2006 Trouvé sur le site de l'académie française : "Accentuation des majuscules Quant à l’utilisation des accents sur les majuscules, il est malheureusement manifeste que l’usage est flottant. On observe dans les textes manuscrits une tendance certaine à l’omission des accents. Il en va de même dans les textes dactylographiés, en raison notamment des possibilités limitées qu’offrent les machines traditionnelles. En typographie, enfin, certains suppriment tous les accents sur les capitales sous prétexte de modernisme, en fait pour réduire les frais de composition. Il convient cependant d’observer qu’en français, l’accent a pleine valeur orthographique. Son absence ralentit la lecture, fait hésiter sur la prononciation, et peut même induire en erreur. On veille donc, en bonne typographie, à utiliser systématiquement les capitales accentuées, y compris la préposition À, comme le font bien sûr tous les dictionnaires, à commencer par le Dictionnaire de l’Académie française, ou les grammaires, comme le Bon usage de Grevisse, mais aussi l’Imprimerie nationale, la Bibliothèque de la Pléiade, etc. Quant aux textes manuscrits ou dactylographiés, il est évident que leurs auteurs, dans un souci de clarté et de correction, auraient tout intérêt à suivre également cette règle, en tirant éventuellement parti des ressources nouvelles que peuvent offrir les traitements de texte modernes. Il en va de même pour le tréma et la cédille. "
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