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Ceux qui passent le concours en 2008


EMMETTE

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Ben merde ! Je suis scotchée sur ce coup là. J'sais même pas quoi dire (ce qui est plutôt rare chez moi) :idontno:

je sais que tu me comprends et tu sais que j'ai raison... ce n'est pas parce qu'on peut le faire qu'on le fera bien (d'ailleurs je pense que certaine que l'on juge incapable de le faire s'en sortirait beaucoup mieux... ;) )... et ce n'est pas parce que c'est bien que ça nous rend forcement heureux ("être quelqu'un d'utile m'a toujours semblé quelque chose de bien hideux" :P )

alors moi je m'arrête là... et puis toi tu fais tout ce que tu peux pour arriver là où tu dois être :)

Je crois que tu as raison. Et de toutes manières, c'est ton choix, ta vie. Quoiqu'il en soit, tu peux sans doute compter sur moi pour te harceler de temps en temps pour savoir où tu en es. Enfin, si tu me le permets. ;)

Ou alors, tu passes de temps en temps nous faire un petit coucou ? ;)

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Salut,

ben il s'en passe des choses sur ce post !

Pour Samuel : c'est l'enorme travail à fournir qui te fais peur et fuir ou bien tu as simplement réflechi à ce qui tu voulais vraiment faire et dans un sens prof des ecoles ne te convient pas. Moi j'admire ton geste dans la mesure où beaucoup de presonnes veulent enseigner mais une fois dedans ils ne sont pas du tout epanoui. Je suis tout à fait d'accord avec toi, dans ce sens là mais il ne faut surtout pas que tu changes d'avis parce que la masse de travail t'effrayes !!!

De toute façon tu es un grand garçon et tu sais prendre tes decisions, et je pense que tu as murement reflechi avant de la prendre (du moins j'espere).

Courage à toi !

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Bonjour les gens (dis Samuel qui émerge...)

harpège > disons que c'est difficile de se résoudre (après avoir passé des années (j'en suis à un dizaine) à faire des choix allant toujours dans le sens d'un épanouissement personnnel purement égotiste (salut henri...) et, de fait, d'assumer une certaine marginalité d'esprit et de corps) à intégrer le système en se mettant délibérement, et de la manière la plus ingrate qui soit, à son chevet.... je pensais qu'il était temps pour moi de ranger mes petits couteaux dans leurs étuis et de rentrer dans le cadre pour devenir un petit quelqu'un résigné au milieu de ce grand n'importe quoi... mais nan: il est surtout temps pour moi de ranger mes petits couteaux, de sortir l'épée et de jeter mes gants (je me comprends... :P )... et merci... et à toi aussi... :)

vero > les deux : je vais t'harceler pour que tu réussisses ce 'tain de concours et je viendrais te botter le cul par ici de temps en temps (ce n'est pas ce que tu voulais dire?.... :P )

zappi > ça n'a pas grand chose à voir avec la masse de travail (si ce n'est qu'elle aurait été une perte de temps bien sûr...)... d'autant que ça aurait sans doute été pour moi la solution la plus facile et la moins "effrayante" (parce qu'il est, dans un sens, plus facile d'apprendre et d'appliquer que de comprendre et d'expliquer (je me comprends (encore))... mais, comme je l'ai dit plus haut, l'évidence est une question de courage... et je vais me faire violence... :cry:

Samuel

J'essaie de comprendre ce que tu as écrit (dans les lignes, et derrière les lignes). Je ne sais pas si je comprends juste ou pas, mais je comprends quelque chose en tout cas. Et puis ça se connecte avec ce que je crois percevoir de toi : la marginalité, une certaine marginalité...J'ai jamais bien compris comment des gens de cette marginalité-là pouvaient trouver leur compte à être enseignants...ou alors, juste pour certains, mais ce sont des Titans, suffisamment forts et déterminés pour résister contre vents et marées, et ceux-là, je ne pense pas que les parents d'élèves les tolèrent, à moins d'être déjà eux-mêmes dans des pensées parallèles...

Bon, bref, assumer sa marginalité, c'est pas facile : faut de la foi (et pas trop de lucidité) et/ou une sérénité exceptionnelle, et/ou beaucoup de talent, et/ou beaucoup de courage effectivement.

Edit : bon, peut-être que je fantasme trop...

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je refuse de ne pas prendre mes fantasmes pour des réalités en devenir... ;)

Yeah, j'adore cette phrase de grand rêveur !!!! et t'as bien raison car ils y a ceux qui vont au bout de ce qu'ils veulent et d'autres qui s'arrêtent en pleins chemins. Applause pour Samuel, et on te souhaite pleins de bonnes choses dans tes futurs aventures.

Tout simplement grand M..., et pour prendre une telle decision, c'est sûre c'est qu'on est lucide !!!

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J'essaie de comprendre ce que tu as écrit (dans les lignes, et derrière les lignes). Je ne sais pas si je comprends juste ou pas, mais je comprends quelque chose en tout cas. Et puis ça se connecte avec ce que je crois percevoir de toi : la marginalité, une certaine marginalité...J'ai jamais bien compris comment des gens de cette marginalité-là pouvaient trouver leur compte à être enseignants...ou alors, juste pour certains, mais ce sont des Titans, suffisamment forts et déterminés pour résister contre vents et marées, et ceux-là, je ne pense pas que les parents d'élèves les tolèrent, à moins d'être déjà eux-mêmes dans des pensées parallèles...

Bon, bref, assumer sa marginalité, c'est pas facile : faut de la foi (et pas trop de lucidité) et/ou une sérénité exceptionnelle, et/ou beaucoup de talent, et/ou beaucoup de courage effectivement.

Edit : bon, peut-être que je fantasme trop...

... il ne s'agit pas de résister contre vents et marées mais de souffler assez fort pour faire des vagues en espérant un raz de marée... je ne prétends pas quoi que ce soit (ni talent particulier ni courage extraordinaire) mais juste de l'enthousiasme à revendre au service de mes maigres qualités et surtout une volonté de bien faire ce qui doit être fait (tu constateras que je suis, malheureusement (si j'en crois tes conseils), déjà un peu trop lucide (peut-être que ça me perdra... :cry: )

Edit (c'est qui celle là encore?): je refuse de ne pas prendre mes fantasmes pour des réalités en devenir... ;)

Souffler assez fort, oui, d'accord...mais le "système" souffle lui aussi (et c'est pas rien!).

Pour faire ce métier, soit, il ne faut pas être trop lucide, soit il faut accepter de se contenter de faire le mieux possible ce qui doit être fait (à la place de le faire bien, tout court). Bref, faut accepter des compromis (sans aller jusqu'à la compromission, ce qui n'est pas une mince affaire).

Et pour tes fantasmes, pour qu'ils deviennent réalité (une réalité sans trop de déception quand même)....bonne chance (cela dit sans ironie aucune)...

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Souffler assez fort, oui, d'accord...mais le "système" souffle lui aussi (et c'est pas rien!).

Pour faire ce métier, soit, il ne faut pas être trop lucide, soit il faut accepter de se contenter de faire le mieux possible ce qui doit être fait (à la place de le faire bien, tout court). Bref, faut accepter des compromis (sans aller jusqu'à la compromission, ce qui n'est pas une mince affaire).

Et pour tes fantasmes, pour qu'ils deviennent réalité (une réalité sans trop de déception quand même)....bonne chance (cela dit sans ironie aucune)...

Ce n'est pas parce que la fin de la partie est plus qu'incertaine que l'on ne doit pas s'en donner les moyens ("la vie n'a qu'un charme vrai, c'est le charme du jeu. Mais s'il nous est indifférent de gagner ou de perdre")... et puis le système souffle sur ce qu'il peut... le tout c'est de savoir ce que l'on est prêt à se faire souffler avant de rentrer dans la tempête (et la plupart du temps il ne s'agit que du superflu (que l'on considére nécessaire), de son petit confort...))...

Il y a ceux (et les enseignants qui font ce métier par conviction (et pas pour les avantages de la fonction) sont de ceux là) qui choisissent d'être un de ces grains sur lesquels se construisent les chateaux (en espagne) de sable et puis il y a ceux qui choisissent de se glisser dans les rouages de la grosse machine pour la faire grincer des dents... le tout c'est de ne pas oublier que l'on n'est jamais qu'un grain de sable ;)

Yes... analyse intéressante...

Bon, pour les autres, les candidats à la fonction, les futurs petits grains de sable...faites gaffe à ne pas vous laisser écraser par la machine...ne restez pas tout seuls.

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Yes... analyse intéressante...

Bon, pour les autres, les candidats à la fonction, les futurs petits grains de sable...faites gaffe à ne pas vous laisser écraser par la machine...ne restez pas tout seuls.

Y'a pas à dire mais ce post c'est vraiment du grand n'importe quoi* et **!!! ... à force de dériver, on en est arrivé à échouer sur les plages désertées du syndicalisme... et dans 2 minutes, on se met à chanter l'Internationale...

* : et j'en suis fier :D

** : il était temps que je m'en aille... *** et **** (pour la peine...)

*** : et que karst arrive pour prendre la relève :applause:

**** : d'ailleurs il semblerait que j'ai du mal à m'en aller... :cry:

Ben, reste alors, surtout que Karst, il n'a même pas accompli son devoir dominical, donc je sais pas si on peut vraiment lui faire confiance pour assurer la relève mâlesque. <_<

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