Aller au contenu

Supprimer la classe le samedi matin.


Supprimer la classe le samedi matin  

1 092 membres ont voté

Vous n’avez pas la permission de voter dans ce sondage, ou de voir les résultats du sondage. Veuillez vous connecter ou vous inscrire pour voter dans ce sondage.

Messages recommandés

Posté(e)
Je viens de lire ta proposition.

Je suis dans une grosse école et les conflits arrivent très très vite quand tu dépasses 15/20 minutes de récré.

De plus, dans ma région, les hivers peuvent être rudes et parfois les gamins traînent les pieds pr aller en récré quand il neige ou fait très froid (les enseignants aussi d'ailleurs). Quant aux écoles sans préau, quand il pleut...parfois les récrés ont lieu en classe.

Pas évident de trouver la bonne solution.

Un peu plus loin sur le post, je proposais des ateliers "à l'intérieur" surtout sur les grosses écoles. J'ai déjà testé et c'était vraiment très bien pour gérer (même éviter) les conflits. Les enfants s'inscrivaient pour la récréation soit en BCD, soit en ateliers jeux de société... c'était vraiment sympa.

  • Réponses 892
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • Sophie 37

    45

  • JBB

    45

  • del140330

    38

  • matelot

    36

Posté(e)

bon je m'incruste.

Comment fait-on pour organiser le soutien dans les secteurs ( comme le mien) où la plupart des élèves sont en difficultés? ( non, j'exagère pas)

SI faut faire du soutien avec quasi toute sa classe , je vois pas l'intêret. D'ailleurs, à partir de quand décide t-on qu'un élève est en difficulté?

Bon d'accord, en prenant les résultats aux évals nationales . Soit. Ben si on prend les résultats aux évals, c'est bien ce que je dis, quasiment tous les élèves des deux groupes scolaires où j'interviens sont en difficultés. Les quelques élèves qui sortent du "lot" seraient -ils aussi "bons" dans un autre milieu??? Je suis pas sûre.

Et dans les secteurs où peu d'élèves ont des difficultés, on fait quoi? Les rares élèves concernés seront chouchoutés : y'aura autant d'adultes que d'élèves ( oui, bon, là, j'éxagère! )

Vous en pensez quoi?

Posté(e)

la zep ou j'ai enseigne il y a deux ans pratiquait le "club coup de pouce" avec les CP, c'etait apres la classe, cela comprenait un temps de pause / gouter et 1 h de travail en lecture, hyper cible, et le resultat etait etonnant!

Posté(e)
Comment fait-on pour organiser le soutien dans les secteurs ( comme le mien) où la plupart des élèves sont en difficultés? ( non, j'exagère pas)

Quand se posera-t-on la question des rythmes différents d'apprentissages ? Bien malheureusement, la solution n'est pas "au tout pédagogique", ce qu'on veut nous faire croire avec les heures de soutien, sauf si l'on s'adresse à des élèves qui ont des difficultés ponctuelles et ciblées.

La grande difficulté scolaire n'est souvent que le révélateur de facteurs extérieurs à l'Ecole... Le temps de la remédiation pédagogique et le temps d'une prise en charge psy, orth, etc ... ne se comptent pas avec la même unité... Si l'on s'attaque à ces fameux 15% d'élèves en grande difficulté scolaire, au fonctionnement atypique face au travail scolaire, souvent très malheureux à l'école, il faudra que nous nous adaptions à leurs compétences du moment et être patient pour les faire progresser à leur rythme en visant la zone proxymale, certainement abandonner la notion de programme, de cycles, etc... pour ne pas bâtir pour eux un socle commun sur du vent.

C'est certainement une révolution par laquelle on devra passer, mais qui sera déchirante pour nous, pour les parents et pour nos hommes politiques qui devront annoncer la "nouvelle" . En outre, ces décideurs devraient avoir l'obligation d'assister à quelques journées de classe avec un maître E, dans une CLAD, dans des classes "normales" au moins pour savoir de quoi on cause.

JBB

Posté(e)
La grande difficulté scolaire n'est souvent que le révélateur de facteurs extérieurs à l'Ecole... Le temps de la remédiation pédagogique et le temps d'une prise en charge psy, orth, etc ... ne se comptent pas avec la même unité... Si l'on s'attaque à ces fameux 15% d'élèves en grande difficulté scolaire, au fonctionnement atypique face au travail scolaire, souvent très malheureux à l'école, il faudra que nous nous adaptions à leurs compétences du moment et être patient pour les faire progresser à leur rythme en visant la zone proxymale, certainement abandonner la notion de programme, de cycles, etc... pour ne pas bâtir pour eux un socle commun sur du vent.

On abandonne la notion de programmes, de cycles, etc... Et les autres 85 % que deviennent-ils dans cette révolution intellectuelle et pédagogique ?

Posté(e)

anne so: j'anime moi-même ces clubs coup de pouce ( adieu les 18€ /h pour l'an prochain: sniiiif) mais attention : les élèves que l'on cible sont ceux en difficultés légères !!! Et j'en ai que 5 !!! Donc effectivement, les progrès sont là .

j'édite : et c'est sûr que pour les élèves en très grande difficulté, c'est pas avec deux heures de soutien qu'on va résoudre tous leurs problèmes!!! Ca se saurait sinon !!

Posté(e)
anne so: j'anime moi-même ces clubs coup de pouce ( adieu les 18€ /h pour l'an prochain: sniiiif) mais attention : les élèves que l'on cible sont ceux en difficultés légères !!! Et j'en ai que 5 !!! Donc effectivement, les progrès sont là .

Bien sûr que c'est efficace de travailler avec 5 élèves au lieu de 27 mais ce n'est pas une raison suffisante pour retirer ces deux heures d'école aux autres.

Posté(e)
Comment fait-on pour organiser le soutien dans les secteurs ( comme le mien) où la plupart des élèves sont en difficultés? ( non, j'exagère pas)

Quand se posera-t-on la question des rythmes différents d'apprentissages ? Bien malheureusement, la solution n'est pas "au tout pédagogique", ce qu'on veut nous faire croire avec les heures de soutien, sauf si l'on s'adresse à des élèves qui ont des difficultés ponctuelles et ciblées.

La grande difficulté scolaire n'est souvent que le révélateur de facteurs extérieurs à l'Ecole... Le temps de la remédiation pédagogique et le temps d'une prise en charge psy, orth, etc ... ne se comptent pas avec la même unité... Si l'on s'attaque à ces fameux 15% d'élèves en grande difficulté scolaire, au fonctionnement atypique face au travail scolaire, souvent très malheureux à l'école, il faudra que nous nous adaptions à leurs compétences du moment et être patient pour les faire progresser à leur rythme en visant la zone proxymale, certainement abandonner la notion de programme, de cycles, etc... pour ne pas bâtir pour eux un socle commun sur du vent.

C'est certainement une révolution par laquelle on devra passer, mais qui sera déchirante pour nous, pour les parents et pour nos hommes politiques qui devront annoncer la "nouvelle" . En outre, ces décideurs devraient avoir l'obligation d'assister à quelques journées de classe avec un maître E, dans une CLAD, dans des classes "normales" au moins pour savoir de quoi on cause.

JBB

Tout a fait d'accord

Posté(e)
Comment fait-on pour organiser le soutien dans les secteurs ( comme le mien) où la plupart des élèves sont en difficultés? ( non, j'exagère pas)

Quand se posera-t-on la question des rythmes différents d'apprentissages ? Bien malheureusement, la solution n'est pas "au tout pédagogique", ce qu'on veut nous faire croire avec les heures de soutien, sauf si l'on s'adresse à des élèves qui ont des difficultés ponctuelles et ciblées.

La grande difficulté scolaire n'est souvent que le révélateur de facteurs extérieurs à l'Ecole... Le temps de la remédiation pédagogique et le temps d'une prise en charge psy, orth, etc ... ne se comptent pas avec la même unité... Si l'on s'attaque à ces fameux 15% d'élèves en grande difficulté scolaire, au fonctionnement atypique face au travail scolaire, souvent très malheureux à l'école, il faudra que nous nous adaptions à leurs compétences du moment et être patient pour les faire progresser à leur rythme en visant la zone proxymale, certainement abandonner la notion de programme, de cycles, etc... pour ne pas bâtir pour eux un socle commun sur du vent.

C'est certainement une révolution par laquelle on devra passer, mais qui sera déchirante pour nous, pour les parents et pour nos hommes politiques qui devront annoncer la "nouvelle" . En outre, ces décideurs devraient avoir l'obligation d'assister à quelques journées de classe avec un maître E, dans une CLAD, dans des classes "normales" au moins pour savoir de quoi on cause.

JBB

Tout a fait d'accord

Comme tu parles bien JBB. :noelbiggrin:

Moi aussi j'adhère à tes propos.

Posté(e)
On abandonne la notion de programmes, de cycles, etc... Et les autres 85 % que deviennent-ils dans cette révolution intellectuelle et pédagogique ?

Bien sûr que c'est efficace de travailler avec 5 élèves au lieu de 27 mais ce n'est pas une raison suffisante pour retirer ces deux heures d'école aux autres.

Je te rassure tout de suite, il n'est pas question de choisir entre égalitarisme et élitisme, chacun doit y trouver son compte, si tu lis mes précédentes interventions, je déplore la suppression des heures du samedis matins pour tous qui se fait dans l'allégresse générale (long week-end pour nous), sans régler ou tenter de régler "l'échec scolaire massif".

Je persiste à penser que certains élèves vivent un vrai enfer avec leur échec à l'école et que les solutions pédagogiques ne sont pas la panacée. Les quelques réponses (classes spés) qu'on pouvait apporter il y a dix ou quinze ans, ne sont plus possibles. (voir plus loin). Alors on continue le vernissage intellectuel , l'empilement branlant de connaissances sans se préoccuper de ce qu'il va leur arriver au collège ou même au c3 ?

Quant à, je cite en mettant au pluriel, "ces révolutions intellectuelles et pédagogiques", depuis plus de 30 ans, j'en ai vu à l'oeuvre, depuis les cycles, l'apprentissage de la lecture sur deux ans (pas si mal), la transformation des classes de perf en CLIS et CLAD, fermeture des mêmes classes spés au nom de la non stigmatisation, du non enfermement, de l'intégration, des stuctures intermédiaires (4, 3ième pro).

En faisant le bilan, on s'aperçoit que le problème de l'échec scolaire est toujours là. Et s'aggrave, je pense, faute de prendre en compte la réalité des élèves à moins que tu considères que tous les élèves sont capables de faire la même chose au même moment (c'est pas possible).

Le malheur, c'est que les structures spécialisées (je n'ose pas dire filière) ont toujours été dévoyées et le sont encore.

Les maîtres E ont souvent en charge des élèves 2 ou 3 fois par semaine des élèves (échec massif) qui nécessiteraient une classe à petit effectif.

Lis les post sur les SEGPA, dans à quelles on ne devrait pas trouver des élèves à troubles du comportement.

J'ai connu Perf, et Clad maintenant : 70 à 80% de mes élèves en échec lourd (sans pb de comportement) ne correspondant pas au profil énoncé par les textes et les 20% restant arrivent à regagner une classe dite normale. Ce qui veut dire que les élèves (en difficulté temporaire) qui pourraient bénéficier de mes services sont dans vos classes.

Les freins et mauvais coup portés à l'ASH (ex AIS), fermetures ou changement de public pour les CLIS, la priorité donnée au Handicap (ce qui est encore une fois une très bonne chose) à fait bouger les lignes en ce qui concerne la prise en charge de la difficulté scolaire dans notre grande Maison.

Elle vous revient maintenant et il faudra bien encore une fois, je me répète, pour que tous les élèves soient pris en compte et travaillent selon leurs possibilités individualiser plus ( allez, j'ose le gros mot : groupes de niveau, au risque de faire hurler) et que nos politiques annoncent la couleur auprès des parents (ce sera une vraie révolution culturelle !!!...)

JBB

Posté(e)
Ce qui veut dire que les élèves (en difficulté temporaire) qui pourraient bénéficier de mes services sont dans vos classes.

Cet état de fait est regrettable et ce n'est pas un progrès.

Avant tout, préside à tout cela une volonté de réduire les moyens (matériels et humains) et les stuctures.

Posté(e)

sur le site du snuipp 59, les dernièes infos :

Suppression du samedi matin : quel bilan ?

Article publié le vendredi 25 janvier 2008.

La 7ème réunion du protocole de discussions a eu lieu aujourd’hui. Elle devait consister en une réunion conclusive mettant un terme aux nombreux échanges depuis octobre sur la réaffectation des deux heures libérées par la suppression du samedi matin.

Elle a été précédée de réunions bilatérales entre le Ministère et les organisations syndicales impliquées dans le protocole de discussions : SE-UNSA, Sgen et Snuipp, réunions qui se sont déroulées mercredi et jeudi.

Le SE-UNSA s’y est rendu dans l’objectif de faire clairement des contre-propositions au projet de répartition des 108 heures qui, en l’état, était pour nous inacceptable. Pour mémoire, le Ministère proposait :

- 20h de travaux au sein des équipes pédagogiques et relations avec les parents

- 14h de formation

- 6h de conseils d’école

- 68h consacrées à des actions directes auprès des élèves en difficulté

Suite à cette proposition du Ministère, le SE-UNSA a livré son analyse à la profession et a demandé l’avis aux collègues sous forme de sondage : « Suppression du samedi matin : quelles conséquences sur l’exercice du métier ? Donnez votre avis sur les 108 heures ! »

Les premières remontées ( 5158 ) mettent nettement en exergue deux dimensions :

- la demande d’une meilleure prise en compte des besoins de concertation (avec l’apparition, notamment, des projets personnalisés de scolarisation pour les élèves en situation de handicap) au sein de l’ équipe

- mais aussi la reconnaissance de la charge de travail qu’allaient demander ces nouvelles actions en direct auprès d’élèves en difficulté, hors temps scolaire (besoin de concertation avec tous les partenaires concernés, de préparation, d’évaluation, de suivi, de formation spécifique …).

Cette validation de notre demande d’un capital-temps, laissé à disposition des équipes, s’est trouvée confortée et c’est ce que nous avons défendu lors de la bilatérale en faisant des propositions de répartition des 108 heures déclinées ainsi :

- 22h pour travaux au sein des équipes pédagogiques et relations avec les parents

- 6h de conseils d’école

- 12h de conférences pédagogiques

- 68 heures dévolues à l’aide aux élèves rencontrant des difficultés d’apprentissage ; heures consacrées au repérage des élèves, à des actions directes auprès d’eux, à la concertation et à l’organisation de ces aides (réunions d’équipe éducative, réunions de synthèse RASED …), aux rencontres avec les familles dans le cadre de ce suivi spécifique, aux actions de formation liées au dispositif d’aide aux élèves en difficulté.

Lors de cette bilatérale, nous avons évoqué aussi particulièrement la situation des enseignants de maternelle en contestant le fait que ces enseignants n’auraient rien à faire vis à vis de leurs élèves. Pour nous dépistage, prévention, relation avec les familles, accueil des enfants en situation de handicap offrent largement de quoi s’occuper sans être « sommé » d’aller en élémentaire sur les deux heures à effectuer. Nous avons aussi pointé la charge que ces activités nouvelles vont faire peser sur les directrices et directeurs d’école : quel temps supplémentaire eu égard à leur rôle de coordination et de pilotage dans ce dispositif ?

Pour commencer la réunion aujourd’hui les organisations se sont exprimées sur le contexte social :

Le Snuipp a fait état d’un « climat de morosité et d’un peu d’inquiétude » sur le terrain : « morosité, doute, perplexité ».

Le SE-UNSA a souligné le contexte délicat dans lequel les discussions se menaient et nous avons vivement critiqué les déclarations récentes du Ministre qui ont blessé les enseignants. Apprendre à travers une interview au Figaro, donnée par Mr DARCOS, qu’on allait désormais « faire de l’école à l’école », c’est non seulement méconnaître le quotidien du métier mais aussi, n’en déplaise au chanoine de Latran, ignorer les sacrifices qu’ils consentent pour cela, parfois.

Vous trouverez en pièce jointe la déclaration complète du SE-UNSA.

Le Sgen a aussi souligné que le contexte décrit par le SE-UNSA « allait peser » sur le dossier : « Le signal d’alerte est lancé »

Sans commenter nos propos introductifs, le Ministère n’a pas fait la synthèse qu’on aurait pu attendre suite aux 6 plénières et aux bilatérales. Il nous a demandé, à nouveau, de repréciser nos propositions. Celle du SE-UNSA étant claire (nous avions même fait une contribution écrite), le secrétaire général a interrogé le Sgen et le Snuipp pour connaître leur demande de répartition des 108 heures.

Leurs réponses ont été les suivantes :

- pour le Snuipp, une indication « précise mais souple » doit être faite sur les heures d’actions directes auprès des élèves. Pour le Snuipp ces indications horaires sont nécessaires pour prendre en compte les situations diverses et éviter les inégalités sur le terrain. Le Snuipp a fait part d’une nouvelle demande : une consultation des collègues

- pour le Sgen, l’idée d’un capital-temps est à retenir mais les propositions du Ministère en l’état semblent convenir.

Suite à notre insistance, le Ministère a tenté une synthèse en faisant la proposition suivante :

- 22h pour travaux au sein des équipes pédagogiques et relations avec les parents, permettant la préparation des 68h

- 6h de conseils d’école

- 12h de conférences pédagogiques

- 68 heures dévolues à l’action directe auprès des élèves qui pourraient correspondre à trois blocs identifiés :

 les heures de soutien (actions directes auprès des élèves)

 les prises en charge de petits groupes de besoins en maternelle notamment (actions directes auprès des élèves)

 actions de formation pour les enseignants,

avec la volonté exprimée que cela se traduise en répartition horaire précise déclinée dans les textes réglementaires.

Pour le ministère le nouveau dispositif qui donne deux heures de plus aux enseignants pour la prise en charge d’élèves en difficulté est une amélioration des conditions de travail.

Le SE-UNSA a clairement exprimé son désaccord sur ce découpage horaire artificiel qui méconnait la réalité de notre métier. Pour l’illustrer, le SE-UNSA a utilisé une image : Suffit- il de décréter d’arroser une plante pendant 2 heures pour qu’elle pousse ?

Nous avons donc à nouveau explicité les raisons de notre désaccord :

*

Il est incompréhensible, pour nous, de « décrocher » arbitrairement le temps de préparation et de mise en œuvre du temps d’action auprès des élèves. De plus accorder seulement 4h en plus pour faire ce travail frise le ridicule.

*

Il faut faire enfin confiance aux équipes et au professionnalisme des enseignants pour organiser au mieux les 68h en y incluant le temps de concertation nécessaire. C’est le sens de la liberté pédagogique que nous défendons. C’est aux enseignants d’apprécier ce qui doit être mis en œuvre dans le cadre de ces heures.

*

La prescription horaire trop précise, de la part du Ministère, est un non sens pédagogique vu la diversité des situations.

S’agissant de l’amélioration des conditions de travail annoncée par le ministère le SE-UNSA a mis en garde contre l’alourdissement de la charge de travail que ces heures pourraient représenter en fonction des choix qui seront faits parle ministre.

.

La balle est maintenant dans le camp du Ministre : c’est lui qui devrait trancher le débat. On nous annonce une proposition définitive en début de semaine prochaine, nous vous tiendrons bien sûr informés comme nous l’avons toujours fait depuis le début.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...