Aller au contenu

Exemples de situation-probleme


léane97

Messages recommandés

J'ai fait une recherche et je n'ai pas trouvé de post relatif à des exemples concrêts. Si ce n'est pas le cas, désolée par avance...

Etes-vous capable de proposer une situation-problème dans toutes les disciplines ?

Pas si facile que ça !!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben, ouai, moi je peux :angel_not::lol:

Non mais, en maths oui, sciences oui...enfin je trouve que ça convient mieux aux activités scientifiques qu'aux autres...euh quoi que...non, en ORL aussi...nan en fait j'en vois un peu partout oui..

qu'est ce qui te pose problème?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben, ouai, moi je peux :angel_not::lol:

Non mais, en maths oui, sciences oui...enfin je trouve que ça convient mieux aux activités scientifiques qu'aux autres...euh quoi que...non, en ORL aussi...nan en fait j'en vois un peu partout oui..

qu'est ce qui te pose problème?

Merci pour ton aide.

En fait j'essayais de répondre à cette question et je doutais de mes exemples. Si c'est pour mettre des situations-problème partout sans ce que cela soit vraiment justifié (juste faire de l'habillage...), je trouve cela inutile .

Le problème, c'est que je n'est pas vraiment d'expérience professionnelle et pas trop d'exemples concrêts (et intéressants de surcroît). Je pense que c'est vraiment une question avec laquelle le jury peut nous coincer si on n'y réfléchit pas avant.

Je me lance dans une proposition en littérature (pourquoi pas ?) : Comment reconnaître la présence de l'auteur dans son texte ?

- les élèves ne disposent pas de solutions expertes (ils ne connaissent pas tous les moyens)

- plusieurs propositions peuvent émerger des discussions collectives (les termes péjoratifs, affectueux, les commentaires explicites, les verbes modalisateurs (bien sûr ils n'ont pas à employer ce terme !-, ...)

- cette recherche va aboutir à une nouvelle connaissance

Je ne sais pas si cela convient.

La porte est ouverte à toute critique, apport et à d'autres exemples dans d'autres matières ...

Peut-on proposer des situations-problème en maternelle ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben, ouai, moi je peux :angel_not::lol:

Non mais, en maths oui, sciences oui...enfin je trouve que ça convient mieux aux activités scientifiques qu'aux autres...euh quoi que...non, en ORL aussi...nan en fait j'en vois un peu partout oui..

qu'est ce qui te pose problème?

Merci pour ton aide.

En fait j'essayais de répondre à cette question et je doutais de mes exemples. Si c'est pour mettre des situations-problème partout sans ce que cela soit vraiment justifié (juste faire de l'habillage...), je trouve cela inutile .

Le problème, c'est que je n'est pas vraiment d'expérience professionnelle et pas trop d'exemples concrêts (et intéressants de surcroît). Je pense que c'est vraiment une question avec laquelle le jury peut nous coincer si on n'y réfléchit pas avant.

Je me lance dans une proposition en littérature (pourquoi pas ?) : Comment reconnaître la présence de l'auteur dans son texte ?

- les élèves ne disposent pas de solutions expertes (ils ne connaissent pas tous les moyens)

- plusieurs propositions peuvent émerger des discussions collectives (les termes péjoratifs, affectueux, les commentaires explicites, les verbes modalisateurs (bien sûr ils n'ont pas à employer ce terme !-, ...)

- cette recherche va aboutir à une nouvelle connaissance

Je ne sais pas si cela convient.

La porte est ouverte à toute critique, apport et à d'autres exemples dans d'autres matières ...

Peut-on proposer des situations-problème en maternelle ?

Ben voilà, moi quand je pense situation problème, je pense direct au maths...j'en n'ai pas entendu parler ailleurs , ou pas de la même façon...du coup, je ne parleai pas en littérature de 'solution experte", à la limite je dirai qu'ils n'ont pas toutes les connaissances ou du moins, c'est une situation qu'ils découvrent...

Après c'est bien, tu fournis une piste: le travail collectif et tu expliques pourquoi, ok.

Mais tu devrais rajouter une phase intermédiaire entre celle là et la dernière...je te laisse chercher, c'est ma situation problème à moi :wink:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben, ouai, moi je peux :angel_not::lol:

Non mais, en maths oui, sciences oui...enfin je trouve que ça convient mieux aux activités scientifiques qu'aux autres...euh quoi que...non, en ORL aussi...nan en fait j'en vois un peu partout oui..

qu'est ce qui te pose problème?

Merci pour ton aide.

En fait j'essayais de répondre à cette question et je doutais de mes exemples. Si c'est pour mettre des situations-problème partout sans ce que cela soit vraiment justifié (juste faire de l'habillage...), je trouve cela inutile .

Le problème, c'est que je n'est pas vraiment d'expérience professionnelle et pas trop d'exemples concrêts (et intéressants de surcroît). Je pense que c'est vraiment une question avec laquelle le jury peut nous coincer si on n'y réfléchit pas avant.

Je me lance dans une proposition en littérature (pourquoi pas ?) : Comment reconnaître la présence de l'auteur dans son texte ?

- les élèves ne disposent pas de solutions expertes (ils ne connaissent pas tous les moyens)

- plusieurs propositions peuvent émerger des discussions collectives (les termes péjoratifs, affectueux, les commentaires explicites, les verbes modalisateurs (bien sûr ils n'ont pas à employer ce terme !-, ...)

- cette recherche va aboutir à une nouvelle connaissance

Je ne sais pas si cela convient.

La porte est ouverte à toute critique, apport et à d'autres exemples dans d'autres matières ...

Peut-on proposer des situations-problème en maternelle ?

Ben voilà, moi quand je pense situation problème, je pense direct au maths...j'en n'ai pas entendu parler ailleurs , ou pas de la même façon...du coup, je ne parleai pas en littérature de 'solution experte", à la limite je dirai qu'ils n'ont pas toutes les connaissances ou du moins, c'est une situation qu'ils découvrent...

Après c'est bien, tu fournis une piste: le travail collectif et tu expliques pourquoi, ok.

Mais tu devrais rajouter une phase intermédiaire entre celle là et la dernière...je te laisse chercher, c'est ma situation problème à moi :wink:

oui je suis d'accord ac lenig2, il te manque une phase, ton idée est bonne mais en fait il y a 5 phases dans une "séquence" problème : 1/ phase de découverte ou d'appropriation du problème : la question (expliquer ce qu'on leur demande si ils ont des difficultés

2/ phase de formulation collective : hypothèses : on note aux tableaux

3/ phase de validation ou verification des hypo

4/phase d'institutionnalisation des connaissances construites

5/ phase de réinvestissement dans des situations similaires et différentes (complexification)

voilà, en gros..... mais des situations problèmes tu peux en faire partout : maths (problèmes pour chercher), français (littérature, compréhension...), histoire (étude de docs), sciences (démarche scientifique).......

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est vrai que tout ça me paraît flou et je ne suis pas convaincue par mes exemples ...

A première vue, je répondrais que les sciences et particulièrement les maths sont les seules matières où les situations-recherche sont applicables (car en maths, les élèves ont des conceptions initiales qui ne leur permettent pas de résoudre tel ou tel problème, ou pas de manière efficace en tout cas, le problème posé va les destabiliser et les pousser à mettre en place de nouvelles stratégies de résolution et leur permettre d'acquérir de nouveaux savoirs).

Je pense, mais il ne faut pas le dire le jour du concours, que dans les autres matières, c'est un peu difficile à mettre en place (vos éclairages vont peut-être m'aider à transposer ...)

Je crois que je cherche un peu trop loin et que je n'arrive pas à appliquer cette pratique à des cas simples et concrêts.

J'ai trouvé dans une interview de P.Meirieu (qui a formalisé le concept en 1987 dans Apprendre... oui mais comment ?- c'est ma modeste contribution à l'édifice!) un exemple qu'il a proposé à des élèves de maternelle : "Pourquoi le mot “train” n’est-il pas, à la grande surprise des enfants, plus long que le mot “locomotive”, alors que c’est l’inverse en ce qui concerne les réalités qu’ils désignent ? Voilà une vraie situation-problème pour découvrir comment l’écriture diffère du dessin."

Et alors là, je ne comprends plus rien !!!!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi je répondrais que les situations problème sont partout, et pas spécialement dans le domaine scientifique. Dès qu'on aborde une nouvelle leçon en quoi que ce soit, on peut créer une situation problème vu que le but de la situation problème est de provoquer un conflit cognitif ; il faut que l'élève soit véritablement en face de son manque, qu'il se rende compte que ses connaissances actuelles ne lui permettent pas de répondre au problème. Après c'est justement ça, la magie de l'enseignement, se casser la tête à trouver tout ça pour que les élèves apprennent de manière efficace !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi je répondrais que les situations problème sont partout, et pas spécialement dans le domaine scientifique. Dès qu'on aborde une nouvelle leçon en quoi que ce soit, on peut créer une situation problème vu que le but de la situation problème est de provoquer un conflit cognitif ; il faut que l'élève soit véritablement en face de son manque, qu'il se rende compte que ses connaissances actuelles ne lui permettent pas de répondre au problème. Après c'est justement ça, la magie de l'enseignement, se casser la tête à trouver tout ça pour que les élèves apprennent de manière efficace !

tout à fait d'accord : la situation problème est possible PARTOUT: même en education civique ou en EPS ou en Histoire...etc...

le principe est que l'élève réfléchisse, ce que les pédagogues et psychologues de l'apprentissage appellent scientifiquement le conflit socio cognitif ; le problème est une activité proposée aux élèves qui vise, à partir des connaissances dont ils disposent (décalage optimale), à leur faire résoudre un problème qu'ils n'ont pas encore résolu mais qu'ils PEUVENT résoudre à partir des comp et conn déjà acquises : ex. : les élèves savent faire une addition mais savent ils la réitérer (choix et calcul) lors d'un problème nécessitant cette opération : cad qu'un élève peut savoir additionner 45 et 62, mais si on lui demande comme suit : j'ai acheté un livre à 45 euros et ma copine une chemise à 62 euros, saura t il voir qu'il faut additionner

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi je répondrais que les situations problème sont partout, et pas spécialement dans le domaine scientifique. Dès qu'on aborde une nouvelle leçon en quoi que ce soit, on peut créer une situation problème vu que le but de la situation problème est de provoquer un conflit cognitif ; il faut que l'élève soit véritablement en face de son manque, qu'il se rende compte que ses connaissances actuelles ne lui permettent pas de répondre au problème. Après c'est justement ça, la magie de l'enseignement, se casser la tête à trouver tout ça pour que les élèves apprennent de manière efficace !

tout à fait d'accord : la situation problème est possible PARTOUT: même en education civique ou en EPS ou en Histoire...etc...

le principe est que l'élève réfléchisse, ce que les pédagogues et psychologues de l'apprentissage appellent scientifiquement le conflit socio cognitif ; le problème est une activité proposée aux élèves qui vise, à partir des connaissances dont ils disposent (décalage optimale), à leur faire résoudre un problème qu'ils n'ont pas encore résolu mais qu'ils PEUVENT résoudre à partir des comp et conn déjà acquises : ex. : les élèves savent faire une addition mais savent ils la réitérer (choix et calcul) lors d'un problème nécessitant cette opération : cad qu'un élève peut savoir additionner 45 et 62, mais si on lui demande comme suit : j'ai acheté un livre à 45 euros et ma copine une chemise à 62 euros, saura t il voir qu'il faut additionner

- Attention quand tu parles de conflit socio-cognitif, cela implique une interaction entre pairs en plus. C'est bien pour ça que là j'ai juste parlé de conflit cognitif afin de marquer une rupture afin de déconstruire les modèles explicatifs initiaux

- Et la définition de base d'une situation-problème est la construction de nouvelles connaissances, je ne suis pas d'accord avec ta situation problème pour moi c'est juste un exercice de réinvestissement, tu ne fais pas vraiment de rupture.

Exemple pour bien bien saisir les nuances :

Question : Que faut-il qu'un repas contienne comme aliment ?

Problème fermé : Faites un menu pour chaque repas de la journée en précisant les aliments choisis

Problème ouvert : Faites un menu pour chaque repas de la journée. Quels problèmes devez-vous résoudre ?

Situation-problème : Faites un menu uniquement avec de bons aliments

Ici les enfants diront plein de trucs (genre bonbons etc), et le maître les corrigera "je ne suis pas d'accord avec vous". Si c'est un autre élève qui lcorrige au sein d'un même groupe, c'est un conflit socio-cognitif. Dans tous les cas il y a une rupture ici, puisque leurs représentations initiales ne sont pas correctes.

La SP aboutit donc sur un nouveau-savoir, et non pas un réinvestissement.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi je répondrais que les situations problème sont partout, et pas spécialement dans le domaine scientifique. Dès qu'on aborde une nouvelle leçon en quoi que ce soit, on peut créer une situation problème vu que le but de la situation problème est de provoquer un conflit cognitif ; il faut que l'élève soit véritablement en face de son manque, qu'il se rende compte que ses connaissances actuelles ne lui permettent pas de répondre au problème. Après c'est justement ça, la magie de l'enseignement, se casser la tête à trouver tout ça pour que les élèves apprennent de manière efficace !

tout à fait d'accord : la situation problème est possible PARTOUT: même en education civique ou en EPS ou en Histoire...etc...

le principe est que l'élève réfléchisse, ce que les pédagogues et psychologues de l'apprentissage appellent scientifiquement le conflit socio cognitif ; le problème est une activité proposée aux élèves qui vise, à partir des connaissances dont ils disposent (décalage optimale), à leur faire résoudre un problème qu'ils n'ont pas encore résolu mais qu'ils PEUVENT résoudre à partir des comp et conn déjà acquises : ex. : les élèves savent faire une addition mais savent ils la réitérer (choix et calcul) lors d'un problème nécessitant cette opération : cad qu'un élève peut savoir additionner 45 et 62, mais si on lui demande comme suit : j'ai acheté un livre à 45 euros et ma copine une chemise à 62 euros, saura t il voir qu'il faut additionner

- Attention quand tu parles de conflit socio-cognitif, cela implique une interaction entre pairs en plus. C'est bien pour ça que là j'ai juste parlé de conflit cognitif afin de marquer une rupture afin de déconstruire les modèles explicatifs initiaux

- Et la définition de base d'une situation-problème est la construction de nouvelles connaissances, je ne suis pas d'accord avec ta situation problème pour moi c'est juste un exercice de réinvestissement, tu ne fais pas vraiment de rupture.

Exemple pour bien bien saisir les nuances :

Question : Que faut-il qu'un repas contienne comme aliment ?

Problème fermé : Faites un menu pour chaque repas de la journée en précisant les aliments choisis

Problème ouvert : Faites un menu pour chaque repas de la journée. Quels problèmes devez-vous résoudre ?

Situation-problème : Faites un menu uniquement avec de bons aliments

Ici les enfants diront plein de trucs (genre bonbons etc), et le maître les corrigera "je ne suis pas d'accord avec vous". Si c'est un autre élève qui lcorrige au sein d'un même groupe, c'est un conflit socio-cognitif. Dans tous les cas il y a une rupture ici, puisque leurs représentations initiales ne sont pas correctes.

La SP aboutit donc sur un nouveau-savoir, et non pas un réinvestissement.

autant pour moi pr le conflit socio cogn, c'est conflit cognitif que je voulais dire (socio cogn = pr un travail en groupe)

en fait la phase de réinvestissement se situe dans le prolongement de la situation problème : la situation problème permet de construire les savoirs par les élèves (conflit cogn interne ou socio cogn si on propose un travail de groupe), ainsi elle s'arrête à la phase 3 à savoir la phase de validation, ensuite les phases d'institutionnalisation et de réinvestissement sont complémentaires à la phase purement "problème" (=élève acteur...)

me fais je bien comprendre?

mais tes remarques sont justes, j'ai manqué de précision dans mes propos. merci

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 années plus tard...

up je remonte

Comment envisagez vous les situations problèmes dans votre enseignement ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...