Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)
pour l'instant, il n'a pas voulu en parler. En fait, c'est par la maîtresse que j'apprends comment il est puni, lui est très discret là-dessus (il a honte, pauvre bonhomme !). Pourtant, je suis compréhensive, et je lui ai dit qu'il pouvait se confier, qu'on ne pouvait pas bien l'aider s'il ne disait pas ce qui n'allait pas , que nous ne demandions qu'à l'aider, justement ... Mais le mot "école" le fait se fermer instantanément :-(

J'ai lu souvent qu'il ne faut pas dire aux enfants (surtout si jeunes) des choses comme "tu peux m'en parler". Les enfants qui sont un peu gênés d'en parler, qui ne savent pas par quel bout commencer, qui ont peur d'être ridicules, de ne pas être compris... ils ne vont pas oser. Ou alors tout simplement ils ne savent pas mettre des mots sur ce qu'ils ressentent. Ou alors ils se sentent tristes mais ils ont l'impression que c'est normal, que c'est de leur faute, et qu'ils connaissent la solution : il suffit qu'ils soient moins vilains et ils seront moins punis :( alors ils n'ont pas besoin d'en parler.

Bref, il parait qu'il ne faut pas leur dire "parle le moi". Il faut parler à leur place. Mettre des mots à leur place, sans avoir l'air de leur demander des comptes.

En disant "ouh, j'ai l'impression que mon petit homme il est tout triste en cemoment. Je vois bien que tu n'es pas très heureux à l'école hein ?" (s'il acquiesse, ne pas embrayer sur un pourquoi ? qu'est-ce qui se passe ? il se refermerait ausitôt) Et bien sûr ne surtout pas "nier" avec un "mais pouquoi ? c'est drolement chouette l'école !" en essayant de faire la liste de ce qui est bien à l'école. Là ce serait vraiment lui interdir de ressentir ce qu'il ressent.

Et tu peux poursuivre par "j'ai l'impression que tu es triste, et tu es encore plus triste parce que la maitresse elle te gronde quand tu es triste"

ou par "j'ai l'impression que quelquefois tu t'ennuies à l'école", "peut-être que tu te dis que la maitresse ne t'aime pas, et ça te rend triste" (ou bien, ou bien....)

Tout ça, sans mettre de points d'interrogation à la fin des phrases. Ce sont des remarques, pas des questions.

Et tu le laisses dire... ou ne rien dire... mais seulement absorber tes paroles. Rien qu'entendre, ça lui fera du bien. Si tu es "à côté", il te dira surement "non ce n'est pas ça du tout" (mais sans forcément savoir dire ce qui ne va pas)

L'objectif est qu'il se dise "ah, j'ai le droit de ressentir ça". Et puis aussi "maman, elle me comprend" (ou elle essaie), et elle ne trouve pas que je suis vilain d'être triste. Et petit à petit (dans quelques années?!) il va utiliser tes mots pour savoir dire.

  • Réponses 46
  • Created
  • Dernière réponse

Membres les plus actifs

  • JulieMarmotte

    12

  • PlantaBaja

    4

  • nanou69

    4

  • esterella

    4

Posté(e)
(...)

Bref, il parait qu'il ne faut pas leur dire "parle le moi". Il faut parler à leur place. Mettre des mots à leur place, sans avoir l'air de leur demander des comptes.

En disant "ouh, j'ai l'impression que mon petit homme il est tout triste en cemoment. Je vois bien que tu n'es pas très heureux à l'école hein ?" (s'il acquiesse, ne pas embrayer sur un pourquoi ? qu'est-ce qui se passe ? il se refermerait ausitôt) Et bien sûr ne surtout pas "nier" avec un "mais pouquoi ? c'est drolement chouette l'école !" en essayant de faire la liste de ce qui est bien à l'école. Là ce serait vraiment lui interdir de ressentir ce qu'il ressent.

Aïe ! J'ai tout faux alors :sad: J'ai essayé de le convaincre que l'école était un endroit sympathique où on rencontrait des copains, où on apprenait des chansons, de nouveaux jeux, etc. Effectivement, si ça le branche moyennement, il aura peut-être du mal à me le dire ensuite ... En même temps, j'ai un peu peur d'induire chez lui des explications toutes faites (les miennes, celles d'une adulte) en mettant moi-même des mots sur ce qu'il ressent. En même temps, le jour où son papa a mis les pieds dans le plat en lui demandant s'il s'ennuyait, il a répondu non (d'après ce que j'ai pu comprendre des explications de la maîtresse, il ne s'ennuie pas car il part dans son monde assez souvent ... On peut rêver parce qu'on n'a rien à faire, mais quand on rêve, on ne s'ennuie pas : c'est une occupation prenante, de rêver :lol:). Donc peut-être chercher de ce côté-là.

L'objectif est qu'il se dise "ah, j'ai le droit de ressentir ça". Et puis aussi "maman, elle me comprend" (ou elle essaie), et elle ne trouve pas que je suis vilain d'être triste. Et petit à petit (dans quelques années?!) il va utiliser tes mots pour savoir dire.

J'espère qu'il n'a pas cette impression. Cela dit, la maîtresse lui a aussi fait le coup de : "Mais ta maman, elle s'inquiète pour toi quand tu commences la journée comme ça ! Toute la journée, à son travail, elle se demande si tu vas bien, tu te rends compte ?" (je lui ai bien dit que je ne voulais pas qu'elle le culpabilise, j'espère que le message est passé ! ... et puis honnêtement, en classe, j'ai d'autres chats à fouetter aussi !)

Bon, on va dire qu'elle manque légèrement d'empathie ...

Ce matin, il n'a pas râlé. Il avait eu plein de responsabilités mardi, ça semble l'avoir boosté un peu. J'attends de voir comment ça se passe demain. Mais le vendredi, ils choisissent un livre à rapporter à la maison, ça aussi ça peut le motiver. :wub:

Posté(e)

bonjour,

je viens de parcourir votre post...

kje volais juste dire que chez nou la MS a été la classe qui a marqué le début des ennuis avec l'école....

pourtant moi aussi j'essayais de rassurer, de dire qu'il faut faire comme tout le monde, (et je culpabilisais!! la maitressse, désorientée, me faisait la liste de ses bisarreries chaques soir , j'en pouvais plus).

je pense que ton loulou est en soufrance et que ça ne s'arra,ngera pas tout seul. même avec autant de bonne volonté qu'il puisse y mettre.

mes 2 derniers sont eip, et ont eu des souçs en MS. (et dans les témoignages que je lis , c'est une classe déclencheuse du mal être scolaire...)le pire étant le petit.

le petit dernier a été malheureux au point d'en faire un refus total, de l'eczema purulent partout en période scolaire, de l'encopresie (à l'école uniqu.), bref.....

son cp a été un enfer (pour lui comme pour son instit....)et j'ai du désco par moments.puis il a changé de classe, (autre instit), et là....enfin, il y a eu u mieux!!(entr tps il avait été detecté thqi)parce que cette instit a "compris" le bonhomme, elle a cerné le loustic.( et elle a du mérite! :wink: )mais vers la fin de l'année il a recommencé à s'agiter.

il a un AVS cette année à mi tps (oui on peut avoir un AVS même sans souçis cognitif...la souffrance scolaire est un souçis. il souffre d'hyperactivité réactionnelle à un trouble anxieux.)et il semble sur la voie de la réconciliation avec l'école, (il doit sauter le ce2 l'an prochain dixit sa maitresse, car il est fortment demandeur, et n'aspire qu'à 1 chose, la 6è cham du coin)

bref, je raconet ça pour que tu n'en arrive pas à cet état de depression/rejet total de l'école avec ton loulou, il est encore tps de faire qulque chose!!

il saura peut être prendrre son mal aen patience mais il a besoin d'aide.

bon courage!!

Posté(e)
Au moins, en maternelle, il peut jouer, ou rêver, sans trop de conséquences.

mais ça n'a pas l'air d'être vraiment le cas puisque ça se passe mal...

encouragés par l'expérience de son aînée.

les enfants sont différents, les maîtresses aussi, donc il faut vraiment voir au cas par cas; certains enfants très décalés ne se plaisent vraiment pas en maternelle, autant écourter ce stade, surtout si l'école y a déjà fait allusion.

mes enfants ont tous fait un CP en étant déjà bon lecteur, et ça n'a pas posé de problème particulier (pour le dernier la maîtresse a cependant fait remarquer qu'il avait du bien s'ennuyer....)

tel que présenté par la psy (privée) dans son bilan (elle n'a pas fait que le tester, heureusement ;) ).

s'il a déjà vu une psy qu'en pense t elle ? conseille t elle un saut de classe ?

Posté(e)

Je vais te répondre en tant que maman d'EIP en GS qui en très en avance (CE1 voire même début CE2).

Elle sait qu'il sait lire depuis l'an dernier. Et qu'il lit bien (par exemple, elle me rapportait qu'elle voulait faire deviner une chanson à partir d'illustrations, que les enfants "séchaient", et que lui a résolu le problème en lisant les paroles ...). Les fiches de lecture sont adaptées : quand les autres doivent placer des étiquettes selon un modèle, lui n'a pas de modèle. Ce qui perturbe passablement certains camarades semble-t-il ... mais pas de remarques négatives de son côté, sur ce point-là.

La question que je me pose est : est-ce que ça perturbe réellement les autres ? Je ne crois sincèrement pas :wink: . Pour ce genre de travail mon fils n'a plus de modèle, la maîtresse accepte même qu'il écrive les mots de tête (il est entré dans l'écrit) et lui corrige ses erreurs. Il a le droit d'écrire en cursive, les autres commenceront après Noël. Il lit des histoires aux autres enfants. Les autres voient la différence, mais n'ont jamais fait aucune remarque. La maîtresse a amené le truc, comme naturel et aucun enfant ne se sent lésé. Tout dépend comment on présente les choses.

J'ai moi-même un EIP en classe, qui prépare des exposés etc... les autres ne se sentent pas lésés, au contraire eux aussi s'y mettent.

Je pense qu'il apparaît clairement que mon fils n'a pas été poussé à lire, et qu'il aime ça : donc que pourrait-on trouver à y redire ? Mais il est déstabilisant (même pour nous, les parents) de voir un tel décalage entre les aptitudes intellectuelles d'un enfant et son développement affectif, qui est celui d'un petit garçon de 4 ans, parfois encore un peu bébé (même s'il ne faut surtout pas lui dire :D ).

Tu as tout compris : un p'tit bonhomme avec le cerveau d'un enfant de 6ans, dans le corps et avec la maturité d'un enfant de 4ans.

Le problème, c'est que ce décalage fait peut-être qu'elle lui passe moins de choses qu'à un enfant du même âge qui aurait les mêmes comportements, alors que, aussi précoce soit-il, il est très sensible, et pas du tout dans une relation rationnelle à l'adulte (mais dans une relation où l'affectif est dominant - ce qui me semble tout à fait normal aussi à son âge).

Les EIP sont hyperaffectifs en effet, mais surtout hypersensibles. Les remarques qu'elle lui fait ne vont rien arranger à leur relation :sad: .

Tu soulignes un autre problème : la vision qu'ont les gens des EIP. Nos enfants sont vus comme des "génies", du coup on oublie leur âge mental, on ne leur passe rien (ben oui il sait lire etc... donc il est assez grand/intelligent pour ne plus faire ça) et effectivement on est plus exigent avec eux. Cette attitude est inconsciente, mais vient d'une sorte de mythe autour des EIP.

La grande soeur qui est précoce aussi n'a jamais posé problème dans sa classe, parce qu'elle était très adaptée, très mature, très débrouillarde. Et sa précocité était moins voyante (en MS, elle apprenait à lire en silence : je me suis aperçue qu'elle savait lire en fin de MS, et je suis tombée des nues !). C'est bien plus simple à gérer dans ces cas-là.

C'est une fille. Les filles sont plus discrètes, travailleuses, s'opposent moins que les garçons, en général :wink: .

En revanche, elle s'avoue un peu désarmée pour mettre en place d'autres aménagements dans le travail. Je proposerais bien des choses en maths (en ce moment, son grand jeu est de faire des petites additions avec ses doigts), mais jusqu'où aller dans les programmes des années supérieures ?

Pas trop loin, mais quand même répondre à un besoin de connaissances. Tu peux le faire chez toi, les EIP sont passionnés d'astronomie, de sciences, de musées, de cinémas etc... Si elle ne comble pas à l'école, tu peux le faire de façon ludique à la maison. Après il faut aussi différencier à l'école, c'est la Baba de notre fonctionnement actuel. On différencie pour les élèves en difficultés, mais elle doit aussi le faire pour les EIP. Rien ne l'empêche d'aborder l'addition sur les doigts, mais pas la technique experte comme ça elle n'empiète pas sur le CP.

Est-ce qu'il est possible de demander à rencontrer la directrice pour envisager des aménagements jusqu'à la fin de la maternelle, dès maintenant ? Se donner un plan commun à cette enseignante et à celle de l'an prochain pour qu'il puisse travailler à son niveau quand ce niveau est trop décalé par rapport à celui des camarades, tout en suivant le travail commun pour le reste (graphisme, motricité, arts plastiques, etc.) ? Dois-je passer d'abord par la psy scolaire ?

Je te répondrai simplement le test privé n'est pas reconnu par l'EN, seul le test du psy scolaire est accepté. Donc oui fait le venir :wink: . En plus de confirmer la précocité, il va relever le souci relationnel et fera peut-être comprendre à la collègue qu'elle n'est pas dans la bonne voie en réagissant aussi durement avec lui :wink: .

Posté(e)

bonjour,

Si ça peut aider, j'ai des problème avec la maîtresse de mon fils cette année (aussi en MS).

La maîtresse le puni de récréation et je l'ai appris par ma fille de 5 ans qui est en GS! Merci ma communication! Monfils refuse de s'appliquer pour colorier, ça ressemble plus à du gribouillage voire il refuse totalement le travail.

L'année dernière, ma fille l'avait et ça c'est très bien passé. Par contre , j'ai des amies qui avaient leurs fils dans sa classe et avec qui ça ne c'est pas bien passé du tout.

Je lui avait demandais un rendez-vous, elle a refusé, le lendemain, elle m'interpelle et me dit qu'elle peut me recevoir de suite, je lui est répondu que non, je voulais venir avec mon mari. Un peu choquée, elle me dit que ça ne pourra se faire que le matin et que mon mari ne pourra certainement pas venir. Et bien si, il peut mon mari, il s'arrange mon mari!

Nous sommes allés à ce rendez-vous, de là elle nous à montré le travail de mon fils qui ne m'a absolument pas étonnée ( je sais comment il colorie!). Nous lui avons dit que nous aurions aimé être au courant de la situation car nous avions bien vu un changement chez mon fils : dégradation du langage, mal de ventre pour aller à l'école, un peu de violence envers ses soeurs,...

Réponse : mais il n'a pas était puni toute la récréation (normalement c'est interdit de punir un enfant de récré, c'est la loi, j'avais appelé l'IA la veille sans donner le nom de l'école).

Tout pour dire que nous sommes restées toutes les 2 sur nos idéees, elle ne veut pas se poser de questions, Madame à 30 ans dans le métier, mais moi, je ne veux pas non plus que mon fils prenne.

Maintenant je dis à mon fils qu'il faut faire ce que la maîtresse lui demande s'il ne veut pas être puni et que de toute façon il va à l'école pour travailler, ce n'est pas à lui de décider de ce qu'il fait ou non!

Je ne vous cache pas que je suis malade d'emmener mon fils dans un endroit où il se sent mal mais ce ne serait pas bien de la déscolariser. Vivement les grandes vacances, qu'il soit débarrassé de cette instit!

J'espère que pour ton fils ça va s'arranger, essaie d'aller au rendez-vous avec le papa, ils ont souvent plus de poids, les maîtresses non pas vraiment l'habitude de les voir, et ça montre que vous vous occupez rééllement du devenir de votre enfant.

Posté(e)
Réponse : mais il n'a pas était puni toute la récréation (normalement c'est interdit de punir un enfant de récré, c'est la loi, j'avais appelé l'IA la veille sans donner le nom de l'école).

Une remarque :

La phrase "Un élève ne peut être privé de la totalité de la récréation à titre de punition" concerne l'école élémentaire.

Pour l'école maternelle, il est écrit :

"L'école joue un rôle primordial dans la scolarisation de l'enfant : tout doit être mis en œuvre pour que son épanouissement y soit favorisé. C'est pourquoi aucune sanction ne peut être infligée. Un enfant momentanément difficile pourra, cependant, être isolé pendant le temps, très court, nécessaire à lui faire retrouver un comportement compatible avec la vie du groupe. Il ne devra à aucun moment être laissé sans surveillance. Toutefois, quand le comportement d'un enfant perturbe gravement et de façon durable le fonctionnement de la classe et traduit une évidente inadaptation au milieu scolaire, la situation de cet enfant doit être soumise à l'examen de l'équipe éducative, prévue à l'article 21 du décret n° 90-788 du 6 septembre 1990, à laquelle participeront le médecin chargé du contrôle médical scolaire et/ou un membre du réseau d'aides spécialisées.

Une décision de retrait provisoire de l'école peut être prise par le directeur, après un entretien avec les parents et en accord avec l'inspecteur de l'Éducation nationale.

Dans ce cas, des contacts fréquents doivent être maintenus entre les parents et l'équipe pédagogique de façon à permettre dans les meilleurs délais sa réinsertion dans le milieu scolaire."

Source : http://www.ac-nancy-metz.fr/IA57/dir57/textes/Bull_dep.htm

Posté(e)
Une remarque :

La phrase "Un élève ne peut être privé de la totalité de la récréation à titre de punition" concerne l'école élémentaire.

Pour l'école maternelle, il est écrit :

"L'école joue un rôle primordial dans la scolarisation de l'enfant : tout doit être mis en œuvre pour que son épanouissement y soit favorisé. C'est pourquoi aucune sanction ne peut être infligée.

Tu as raison Dominique de faire un rappel à la loi : les sanctions appliqués à l'école primaire sont tellement épouvantables que ça fait froid dans le dos.

Posté(e)
Une remarque :

La phrase "Un élève ne peut être privé de la totalité de la récréation à titre de punition" concerne l'école élémentaire.

Pour l'école maternelle, il est écrit :

"L'école joue un rôle primordial dans la scolarisation de l'enfant : tout doit être mis en œuvre pour que son épanouissement y soit favorisé. C'est pourquoi aucune sanction ne peut être infligée.

Tu as raison Dominique de faire un rappel à la loi : les sanctions appliqués à l'école primaire sont tellement épouvantables que ça fait froid dans le dos.

Quelles sanctions font froid dans le dos...? :blink: :blink: :blink:

Posté(e)
Une remarque :

La phrase "Un élève ne peut être privé de la totalité de la récréation à titre de punition" concerne l'école élémentaire.

Pour l'école maternelle, il est écrit :

"L'école joue un rôle primordial dans la scolarisation de l'enfant : tout doit être mis en œuvre pour que son épanouissement y soit favorisé. C'est pourquoi aucune sanction ne peut être infligée.

Tu as raison Dominique de faire un rappel à la loi : les sanctions appliqués à l'école primaire sont tellement épouvantables que ça fait froid dans le dos.

Quelles sanctions font froid dans le dos...? :blink: :blink: :blink:

Connaissant le Dhaiphi, c'était son humour...

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...